JUILLET 2016 - CARNETS DE VOYAGES

Carnet de voyage, c’est parti !

Avion de ligne droite

Bagage à main gauche

Carnet de voyage aux îles vierges

Départ immédiat

Evasion futile

Festival endiablé

Gare de Lyon et tigre

Harmonie du paysage municipal

Il(e) déserte le coin

Je suis là

Kangourou avec ticket en poche

Latitude à la mode

Montagne au nez pelée

Nu sur la plage ou presqu’île

Oasis orange et pamplemousse

Paradis artificiel aux plumes irisées

Rêverie en hamac sur le lac

Sieste en sombre héros

Terminus tout l' monde descend !

Utopie : Et si c'était permanent !

Voyage organisé à nos frais

Wapiti en tipi

Xylophage en Amazonie

Yab-yum, Yale, Yamaguchi ou yainville

Zèbre en fluo maillot...

Par Philippe Belleney

Je ne sais pas si j'aurai le temps de faire tout ça cet été, et vous ?

Toulouse - Saint-Louis-du-Sénégal - Dakar

Texte et photos Didier Leplat

A l’image de Mermoz et des grands de l’Aéropostale, avec un collègue de travail, nous avons eu l’idée de refaire ce parcours en s’inscrivant dans le rallye créé par André Sabas en 1983. Pour nous, c’était en 1989, et 10400 km en Robin DR400, on s’en souvient !

 

http://www.rallyetoulousesaintlouis.com/ 

http://www.rallyetoulousesaintlouis.com/prep_rtsl2015/html/images250915.html

 

Eric venait d’avoir son brevet de pilote, et par sécurité nous avons réussi à convaincre Alain Touchard, l’instructeur de l’aéroclub de Dreux de nous accompagner. Moi je serai « le sac de sable » comme on dit ! Ma fonction au sein de l’équipe était simple, filmer et prendre des photos de l’expédition et aussi être le « Monsieur histoire de l’aviation » afin de répondre avec brio aux nombreuses questions posées à ce sujet durant le rallye.

 

Une active recherche de sponsors fut lancée afin de pouvoir financer notre projet. Eric en bon commercial qu’il était avait réussi à obtenir suffisamment d’argent pour que notre départ puisse se faire. Notre principal sponsor était l’imprimerie Sager où nous travaillions tous les deux, la Lyonnaise des eaux où travaillait Alain, plus quelques autres entreprises qui nous ont bien aidé comme par exemple mon ami Philippe Govin avec ses « Lapinsgovin » qui nous avait offert un lot de films pour faire les photos.

Et bien sûr l’aéroclub de Dreux qui nous avait prêté ce Robin DR400.

 

Le départ était prévu pour début novembre et nous étions parti ainsi de Dreux pour rejoindre les autres équipages à Toulouse pour le départ officiel.

Le départ de Toulouse fut retardé pour cause de mauvais temps et c’est à la fin de la deuxième journée qu’une opportunité de décollage se présenta avec une demie heure seulement pour faire partir les 23 avions formant le rallye.

Direction l’Espagne : Alicante. Le survol des Pyrénées ne se fit pas dans la douceur entre les vents violents et les orages. C’était une bonne façon de se mettre dans le bain !

Arrivés à Alicante deux heures plus tard sans soucis par une belle soirée ensoleillée.

 

Le lendemain, c’était Gibraltar et sa traversée pour finalement se poser à Tanger. Là, ce fut la visite de S.A. le Prince Héritier du Maroc, puis le lendemain matin, épreuves d’atterrissage de précision avant de mettre le cap ensuite direction Casablanca. Là, déjeuner sur le tarmac avec les chats avant de repartir sur Agadir où nous passerons la nuit.

 

Pour l’instant, pas trop de dépaysement si ce n’est la façon de négocier l’achat de l’essence aviation ou même la manière de savoir la quantité qu’on a prise avec un bâton gradué. Mais demain direction Tarfaya (Appelé aussi Cap Juby) en plein désert où les habitants nous attendent avec impatience pour faire la fête car la piste ne sert qu’une fois par an pour les besoins du rallye.

Le départ à Dreux

Le Robin à Toulouse

prêt pour le départ

Le passage au dessus des Pyrénées très mouvementé

la visite de S.A. le Prince Héritier du Maroc à Tanger (André Sabas en rouge le fondateur du rallye)

Déjeuner sur le tarmac de Casablanca avec les chats

Vol à radada au dessus des flots (en tee-shirt bleu, c’est moi !)

Photo prise d’un autre avion concurrent

Les vieilles carcasses de bateaux rouillés qui longent la côte et qu’il faut éviter de percuter quand on vole trop bas !

Après avoir décollé, nous longeons la côte en vol à très basse altitude et cette côte est magnifique, avec ses oiseaux qui s’envolent à notre passage. J’avais peur que l’un d’eux se prenne dans notre hélice ! Après ce fut les vieilles carcasses de bateaux rouillés abandonnées qui faisaient tâche et qu’il fallait survoler. D’un côté le désert, de l’autre l’atlantique, les deux à perte de vue.

 

http://desert-maroc.com/tarfaya/ 

 

L’atterrissage à Tarfaya n’est pas très simple car très prêt de la piste, comme elle ne sert plus que pour le rallye, ils ont installé une grande antenne qu’il faut contourner avant de poser les roues ! Accueil très chaleureux où ces gens du désert qui semblent manquer de tout nous ont préparé un super repas sous les tentes, couscous de poisson que nous mangeons en toute convivialité avant d’aller dormir sous les tentes au milieu du sable.

Le lendemain départ pour Dakhla une presqu’île du Sahara Occidental. Encore une ville au milieu des sables mais cette fois-ci avec une piste en dur et quelques avions militaires basés devant un bel aéroport où se trouvent de magnifiques toilettes… sans eau !

Les enfants qui nous accueillent à Tarfaya

Promenade le soir sur les plages de Tarfaya

Accueil et chants des femmes sous la tente à Tarfaya

Dans le sable de Tarfaya

Dakhla avant l’atterrissage

Le lendemain, c’est le départ pour Nouadhibou en Mauritanie, là où le front Polisario se manifeste et le passage de ce front est toujours difficile. Deux jours d’attente et de négociations pour nous laisser passer !

Nouadhibou, deuxième ville de Mauritanie est sur la droite de cette bande de sable coupée en deux par la frontière avec le Sahara Occidental.

 

http://www.sahara-online.net/Sahara-Occidental/Histoire-du-conflit-du-Sahara-415.aspx

 

Cette frontière passée, nous voilà rassurés sachant que nous pourrons continuer notre périple jusqu’au bout sans problème politique !

Ce sera donc Nouakchott notre prochaine étape, la capitale de la Mauritanie.

Ici, la ville est assez loin de l’aéroport et le seul moyen d’aller en ville, c’est le taxi. Mais ici, attention, les taxis font le plein de clients qu’ils déposent au fur et à mesure de leur destination.

Le mien, c’était une vieille 4L verte toute pourrie et il y avait déjà trois personnes à bord. On m’avait dit de négocier le tarif avant de monter car quand ils voient des touristes, ils ont tendance à multiplier par 10 leur tarif ! D’autant plus que l’ouguiya est une monnaie très changeante qui n’a pratiquement pas de valeur au change. D’ailleurs il était interdit de garder des billets une fois sorti du territoire.

Bref, après avoir tourné et tourné en ville en prenant de nouveaux passagers et en en déposant d’autres, notre taxi fini par tombé en panne sèche et j’ai du terminer à pied !

L’époque faisait que nous étions confiants envers les habitants car ils avaient ici la panoplie complète pour nous faire peur : de grands noirs, habillés avec des djellabas blanches et un magnifique poignard courbé attaché à la ceinture ! Bref une fois rentré au campement autour de l’aéroport, cela ne m’a pas empêché de dormir.

Au fond, Nouadhibou dans le renfoncement de cette bande de sable

Nouadhibou et toujours des carcasses de bateaux !

Durant la visite de la ville

Le plein d’essence !

Notre avion au milieu des sables du désert, photo réalisée par un autre équipage

Saint-Louis du Sénégal : le quai Masseck Ndiaye juste avant le coucher du soleil

Le lendemain matin, c’était le départ pour Saint-Louis du Sénégal, l’étape la plus représentative de notre expédition.

Durant le vol, nous quittions le désert et le sable pour avoir de plus en plus de végétations jusqu’à l’arrivée à St-Louis où un comité d’accueil nous attendait. Un super bus tout décoré nous transporta jusqu’au centre ville en passant sur le célèbre pont Faidherbe au dessus du fleuve Sénégal.

 

http://www.saintlouisdusenegal.com/pontfaidherbe.php 

http://www.senegal-online.com/hotel-de-la-poste-saint-louis/ 

 

Pour les plus nostalgiques d’entre nous, c’était de pouvoir dormir dans la fameuse chambre 219 de l’hôtel de la poste, celle où l’aviateur Jean Mermoz avait coutume de dormir avant de faire sa traversée vers le Brésil.

 

http://aerostories.free.fr/pilotes/france/mermoz/ 

 

La ville est magnifique, coupée en plusieurs parties au milieu de l’embouchure du fleuve Sénégal dans l’océan Atlantique. La ville conserve de très nombreuses maisons, typiques de l'époque coloniale, avec leur façade de chaux, leur double toiture en tuile, leur balcon en bois et leur balustrade en fer forgé. La communauté des pêcheurs de Saint-Louis est l'une des plus importantes de l'Afrique de l'Ouest et comprend plus de 4 000 équipages. Guet Ndar est le quartier des pêcheurs, où vivent plus de 25 000 personnes, sur une étroite langue de sable. C'est aujourd'hui la plus importante activité économique de la ville. L’accueil y est très chaleureux et nous y sommes restés 3 jours. Visite des quartiers des pêcheurs, course de pirogue sur le Sénégal à côté du pont Faidherbe, promenade le long de la Langue de Barbarie, occupée par une communauté de pêcheurs très actifs à Guet N’Dar. Cette bande de sable est l’aboutissement d’une plage longue de près de 600 km s’étirant depuis Nouadhibou en Mauritanie, jusqu’à Saint-Louis.

 

Elle sépare pendant 25 kilomètres le fleuve Sénégal de l’océan Atlantique. A l’embouchure, les eaux se rencontrent avec force. D’un côté l’agitation de l’océan et de l’autre le calme du fleuve, Après une baignade dans l’océan, nous nous envolerons demain pour Dakar, l’ultime étape de notre voyage.

Le super camion décoré qui assurait la navette entre l’aéroport

et le centre ville

L’accès du fleuve à l’Hôtel de la Poste où dormait souvent Mermoz

En passant sous le métal du fameux pont Faidherbe

qui surplombe le Sénégal

Course de pirogue sur le Sénégal aux abords du pont Faidherbe

Soleil du soir à Saint-louis face à l’océan Atlantique

Le quartier des pêcheurs

Le poisson qui sèche

260 km séparent saint-Louis de Dakar et durant le vol à basse altitude, nous avons pu découvrir de nombreux petits villages de pêcheurs le long de la côte, certains nous faisant des « coucou » à notre passage !

L’atterrissage très impressionnant sur la piste de l’aéroport international avec notre petit avion, nous aurions pu nous poser en travers de la piste.

C’est encore en taxi (une simca 1100 toute délabrée) que nous rejoignîmes le centre ville avec un chauffeur qui nous demandait avant l’argent pour mettre de l’essence dans le réservoir : 5 francs !

Il se proposa de nous attendre pour le retour et là forcement il opéra de la même manière : 5 francs avec lesquels il s’empressa de trouver une station service pour remettre de l’essence !

 

C’était la fin de notre voyage et entre les épreuves de navigation, d’histoires de l’aviation, de repérage de site (pas de GPS à l’époque !) nous avions fini 9e sur 23. Pas trop mal pour des débutants et puis ce n’est pas le score que nous cherchions.

Nous n’avons mis ensuite que 3 jours pour rentrer sur Dreux.

Petit village entre Saint-Louis et Dakar

Entre Saint-Louis et Dakar

Notre avion à Dakar

Le retour, ici au dessus de l’Espagne avec Alain aux commandes

Le trio à bord de l’avion, un selfie avant même que cela existe !

Les soleils de François Lebert

Petit bout d'histoire entre toi, moi, et le soleil 

 

Quand on regarde autour de soi

par le petit bout de la lorgnette

on voit sa famille, ses amis, sa région,

son pays, parfois même l'Europe...

Si on change de côté,

on peut voir la terre, le ciel, le soleil,

la lune, les étoiles, les constellations, les galaxies...

 

Nous appartenons tous au monde du visible et à celui de l'invisible.

 

Il y a déjà bien longtemps de cela,

le ciel et la terre se sont mariés,

de leurs bonheurs du jour ils ont pris le soleil comme témoin, et pour garder le secret de leurs nuits pleines d'harmonie, ils ont choisi la lune...

 

Depuis l'aube des temps, une alliance est scellée

entre le visible et l'invisible.

 

Le langage du soleil, c'est la lumière.

Alors si on écoutait enfin ce qu'il a à nous dire ?

Soyons fous !

Laissons de côté les bavardages inutiles

pour mieux percevoir l'éloquence de son silence.

Laissons nous incendier par la voix de la vie.

 

Personne ne peut mettre en prison

le soleil, le vent, ou la poussière...

 

Même quand ils sont invisibles,

l'amour, la vie, l'univers,

c'est plus fort que toi !

Les fous alliés du soleil 

 

Où sont-ils, ces fous alliés du soleil et autres cinglés de liberté qui se laissent pousser les ailes avec une plume pour échapper aux lois de la gravité ?

 

Ces drôles d'oiseaux sont tous condamnés, condamnés à l'opprobre et au scandale, l'effervescence de leurs lumières qu'ils agitent sous nos yeux délavés effrayent les petits animaux que nous sommes... Nous n'aimons point les réveils de nos cœurs déjà vieux...

 

On rencontre parfois des gens qui ont le cœur sur la main,

mais ceux qui ont le soleil à portée de main sont beaucoup plus rares, ils sont capables de faire passer à l'extérieur

ce qui les brûle à l'intérieur, on les retrouve souvent au fond

des asiles, des hospices, des hôpitaux psychiatriques,

pour l'homme de la rue, ce ne sont que des allumés,

mais le simple d'esprit n'est pas toujours celui que l'on pense...

La fin de la terre

Texte et photos par Philippe Belleney

Une courbe de la côte,

le sable blanc s'étale à mes pieds.

Visiteur étonné d'un si bel endroit...

Aux yeux, caché.

Quelques pieds plus au large

le brouillard s'ankylose

autour d'une voile d'apparât.

Toujours plus loin, une corne

s'embrume dans une brume

épaisse et phosphorescente,

jouant avec le soleil.

Cache...cache...

qui l'emportera.

Pris d'un vertige côtier,

Je m'imagine dévalant

les pentes de la cité d'Is.

Gros cailloux de géants

Pierres levées au garde-à-vous !

Sentinelles des solstices

ravivant dans nos mémoires

ces instants imaginés sauvages

où la mer, le ciel, la terre dirigeaient

le temps et les hommes.

De ces cités fantomatiques,

nous restent ces vestiges

gardiens du rivage et des vaisseaux

passant au large.

De cette fin des terres austères

s'échappe le chapelet des prières aux marins,

îles-cailloux jetées au hasard des filets.

Sur ces abrupts vierges de conquête

s'accrochent depuis des siècles        des petites fleurs,

couronne de la princesse disparue.

De ces brisures de rocs,

aux anfractuosités refracturées,

de ce bleu du ciel à intermittence,

de ce jet d'encre aux marées polluantes,

cette terre finie,

ce Finistère rageur

reste pour le visiteur fatigué

une pensée vagabonde

« L'éternité de ces pierres soulage en bleu et noir »

Photos prises à Plougonvelin, la Pointe-Saint-Mathieu et Plouescat dans le Finistère en juin 2016.

Le bal des tondeuses (suite)

Y aura-t-il des sauterelles cette année ? Après un beau développement herbacé, la zone sauvage s’avance vers la maturité de ses graines. La hauteur des tiges permettra-t-elle à quelques sauterelles disparues de se réinstaller dans la pelouse pendant les chaudes nuits étoilées d’été ?

On peut toujours rêver…

… aux chaudes nuits et aux sauterelles !

Expositions et manifestations

Dans mon jardin : l’exposition de Brigitte Cordier à Moutiers-au-Perche (61)

Brigitte Cordier nous invite dans son jardin pour découvrir ses tableaux-sculptures. Son univers, où atelier et potager se côtoient harmonieusement, ne manquera pas de vous charmer, moment de poésie à partager en toute simplicité !

 

Ouverture le samedi 23 et dimanche 24 juillet

de 10h à 19h.

 

Jardin derrière la mairie.

Rémalard ( 61) Centre d'art du tilleul - 22 juillet au 15 août

"L'art se livre" est le titre de l'exposition estivale  de l'association "Ombres et Lumières" à Rémalard.

Quinze artistes se retrouvent autour de ce thème pour vous faire découvrir leurs univers créatifs.

Cette année, l'association propose deux démonstrations dont une participative avec Françoise Valade qui vous proposera de réaliser des feuilles de papier à la cuve.

 

Ouverture 

les vendredis, samedis et dimanches de 16h à 19h.

 

Animation dimanche 31 juillet : 

papier à la cuve de 15h30 à 18h30

participation 5 euros par personne

Réservation: 06 15 24 01 91

 

Animation samedi 6 août : 

découvrir la reliure de 17h à 18h

Montmirail (72) Fête médiévale 6 et 7 Août 2016

Dans le cadre de la fête médiévale se déroulant autour et dans le parc du château, des artisans d'art offrent une démonstration de leur savoir-faire au public.

Parmis ceux-ci, Françoise Valade vous proposera de réaliser des feuilles de papier à la cuve et « Métal vacarme » fondeur réalisera des fontes traditionnelles à la cire perdue.

Ambiance garantie, feu et fumées !

 

Entrée de la fête payante, renseignements : www.monsmirabilis.org

Démonstration par « Métal Vacarme » lors de l’édition 2015

Guéret (23)

Histoires d’eau aux Muséales de Tourouvre (61)

Exposition d’aquarelles de Jean-Pierre Champdavoine à Tourouvre (61).

Du 1er juillet au 30 septembre 2016

Les Muséales de Tourouvre

15 rue du Québec - 61190 Tourouvre.

Des nouveaux paysages du Perche par Didier Leplat

Et toujours notre dernier Hors-Série

L’étrange histoire de Zela’r Mor

Par Philippe Belleney

et Didier Leplat 

 

Douze sculptures pour une histoire, douze signes pour l’aboutissement. Du haut des chapiteaux de l’abbatiale de nos pensées se sont détachées les stances de Zéla.

Les sculptures en pierre de Philippe Belleney et les univers 3D virtuels de Didier Leplat sont deux mondes pourtant très éloignés mais finalement si proche !

Ce fut un sacré challenge de rassembler les univers de ces deux artistes !

Cette promenade que Philippe et Didier vous proposent a plusieurs sens, à vous de découvrir les vôtres.

Brochure 28 pages plus couverture

Format 21 x 29,7 cm

12 euros + port (3 euros)

Alors... Voilà...

Entrer en « L’étrange histoire

de Zéla’r Mor »

ne peut se faire

en toute innocence...

Te voilà prévenu !

Les deux compères en pleine préparation et cogitation chacun dans son domaine d’activité.

L’un avec sa massette et ses ciseaux,

l’autre avec sa souris et son appareil photo

A commander sur le site de l’Aéropage : www.lareopage.com

N’hésitez-pas à cliquer sur les photos pour les agrandir

 

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