AOUT 2016 - C’est au mois d’août qu’on met les bouts !

Le mot de la rédac

Amis lecteurs, vous avez pu remarquer le double envoi de « L'égo de juillet ». Ce n'était pas une erreur de notre part mais après une petite enquête autour de nous, il s'avère que vous êtes encore nombreux à ne pas « recevoir » l'égo du moi(s).

A cela, plusieurs raisons, suivant les systèmes d'exploitations, le mail arrive dans plusieurs endroits possibles dont « messages indésirables ». Vous êtes aussi nombreux à recevoir quantité de mails journaliers, ainsi le notre passe inaperçu ou « à la trappe avec les autres ».

Le double envoi a donc pour but de faire ressortir « l'égo du moi(s) », astuce qui s'est avérée payante puisque de nombreux retours de satisfaction nous sont parvenus lors du deuxième tour.

Nous continuerons donc ainsi dans les prochains mois et nous prions ceux qui n'aiment pas les doublons de nous excuser pour notre ténacité.

Amicalement à tous, Philippe Belleney.

La route du soleil

Texte et dessin François Lebert

Après avoir dévalé de bon matin

Des routes poussiéreuses et des chemins

Déshabillons-nous et jetons-nous

Sous la lumière du soleil estival

Dansons la carmagnole

Celle de la fête, du plaisir et de la liberté

En jetant au feu de notre joie retrouvée

le ronron tristement banal du quotidien...

Puisqu'il est enfin revenu le temps

Des corps et des esprits libres,

Nous jurerons cracherons

Que personne ne nous y reprendra plus

À faire ce que bon leur semble,

À ces patrons si assoiffés de notre sang...

Nous danserons comme des gitans,

Nous danserons jusqu'à la dernière goutte,

Au milieu des plages, des forêts, des herbes hautes,

Et les autoroutes deviendront des parkings.

Ensemble on chantera l’internationale

Des convois d'anges heureux et

Les portières de nos bagnoles

Resteront ouvertes jusqu'à ce que le plaisir

De vivre redevienne un transport en commun...

L’exil

Texte Anselme Isidore et dessin Rogousky

Sur le même quai partaient deux trains, dans deux directions opposées, j'ai pas pris le bon. Descendu à la prochaine j'étais perdu entre deux lignes espace-temps peuplées d'étranges habitants. Le premier, un vagabond irascible, vociférant contre la mauvaise organisation des lignes, me murmura entre deux borborygmes :« Dans une demeure sans miroir LA FILLE DE LA NUIT, se tient debout AU BORD DU MONDE, il est temps d'aller PLUS LOIN».

 

Disparu comme il était venu, je suivis son conseil et allais plus loin. Un vieillard au seuil d'une maison irréelle sortant à moitié de l'ombre de son porche, voûté et ricanant s'exclama entre deux dents : « Au delà des murailles... tu marcheras seul, avec  l'ivresse de SE FONDRE DANS LE SILENCE, que se passe-t-il à L'INTERIEUR ? ».

 

Pas envie d'entrer voir ce qui se passe à l'intérieur, je fuis dans le silence vers les murailles, qui s'éloignent à mesure que j'avance. Sur cette route, de Memphis ou de Madison où se croisent des véhicules sans conducteurs, virevoltent comme des feuilles mortes des papiers imprimés. J'en attrape un premier sur lequel je lis « Affranchis des racines de l'espace, s'engager sur cette route dans l'air du matin, il semble que l'heure soit DEJA VENUE ! », un deuxième se pose sur ma main comme un papillon messager qui délivre ces mots « La tentation est grande de TOUT abandonner, si tu déchires ton futur ce sera UN PRESENT, de l'horizon en péril apparaît cette DIRECTION ».

Je retourne à la station, un train arrive juste et me ramène à mon point de départ, lorsque je descends du wagon, dix années se sont écoulées, une fillette me tire la manche et me montre une ardoise où estécrit « Avant la fin du jour... déjoue LE PIEGE ! Il n' y a pas de DIFFERENCE entre nous, dans le LABYRINTHE DU PRESENT. » Je lui réponds sans réfléchir « Agite les parfums de ta MEMOIRE !!! Respire le silence du futur, et cache-toi en PLEINE LUMIERE. » Je passais les mains sur mes yeux et me frottant le visage je me souvenais de cette phrase qu'un soir tu m'avais chantée « Le DANGER ne se couche jamais, l'obscurité qui nous réunit nous a pris comme UNE ENVIE DE VOYAGER ».

Un Minolta et du scotch !

Texte et photos Didier Leplat

1966, l’année de mes 14 ans, déjà à fond dans la photo, le tirage noir et blanc, l’agrandissement… mais pas d’appareil photo « sérieux » ! Tout était possible, mais en fait, rien n’était possible !

Mes parents n’avaient pas les moyens à cette époque de m’acheter un bel appareil photo tels ceux qui me faisaient rêver : le Nikon F, l’hasselblad 6x6, l’Asahi Pentax, le Minolta SRT 101… Tous ces boîtiers étaient hors de prix, ce montant correspondait largement à plus du double d’un mois de salaire de l’époque.

 

Je tombais sur des annonces-presse dans les magazines spécialisés comme « Photo-Ciné Revue » ou « l’Officiel de la Photo », des magazines disparus depuis bien longtemps maintenant.

J’aimais aussi flâner dans les boutiques de la gare St-Lazarre, il y avait dans la galerie marchande la boutique « Photo-Play » dans laquelle je pouvais récupérer des catalogues ou bien en remontant par la rue de Rome, j’allais scruter la boutique « Photo Europe » au numéro 43 et demander des documentations.

Une fois revenu à la maison, je me faisais des plans en choisissant tel boîtier avec les objectifs qui vont bien… Mais rien à faire ce n’était pas possible.

 

C’était en plus un moment où mon papa inventeur était en pleine étude d’une nouvelle invention. Dans ces cas là, il fallait attendre que le brevet soit déposé et qu’il l’ai vendu pour récupérer de l’argent.

 

Parfois, c’était assez long et dans ces moments là ma maman partait travailler pour assurer les fins de moi !

Le travail à cette époque n’était pas difficile à trouver et cette fois-ci elle fut embauchée comme « démonstratrice » de ruban adhésif « Scotch » au « Bon Marché », un grand magasin parisien.

 

Le scotch était distribué en France par la société « 3M Minnesota de France » et en tant qu’employée, ma maman avait droit à 50 % sur tous les achats des produits de la marque.

 

Un jour, en consultant des plaquettes de cette société, quelle ne fut pas ma surprise en voyant que 3M était le distributeur en France de Minolta, la marque d’appareils photo !

 

Et paf, je me voyais déjà avec mon Minolta SRT 101 tout neuf avec quelques optiques pour aller avec… Je faisais ni une ni deux ma commande à ma mère en pensant qu’avec cette réduction tout serait possible !

Malheureusement, c’était sans compter (dans les deux sens du terme) que 2000 NF de l’époque, même divisés par deux… cela était encore supérieur à un mois de salaire… et que c’était davantage le moment de se serrer la ceinture pour mes parents et de mieux travailler à l’école pour moi !

 

Re paf ! Je dus repartir avec mes beaux catalogues et mes documentations dans mes rêves… et attendre des jours meilleurs…

 

Nous étions en 1968, j’étais en troisième, et un ami de la famille m’avait offert en cadeau un « Foca sport », je dus m’en contenter, et sans remords, c’est avec lui que j’ai fait pratiquement mon premier reportage au moment des événements de mai dans les rues de Paris.

L’objet de ma convoitise : un Minolta SRT 101 avec un 58mm 1.4

La page du Minolta SRT 101 dans le catalogue « Cinéphotoguide »

de Grenier Natkin de 1967

Une publicité de l’époque dans le magazine « Photo »

J’aurai pu la découper et la laisser trainer dans la maison !

Une de mes photos de Mai 68 - Rue de Lille à Paris le long de l’école des langues orientales

Le temps a bien passé, et quarante ans plus tard, adepte de l’achat en ligne sur Ebay, je tombe sur un Minolta SRT 101 d’occasion à 20 euros… Et là, je n’hésite pas, je craque et je le commande pour pouvoir assouvir ma frustration ! Il a un objectif 58 mm 1.4, celui dont je rêvais !

 

A la réception du boîtier, j’étais content de l’avoir dans les mains de le palper, de le maintenir fermement dans mes mains, mais un peu déçu par quelques marques qu’il avait sur le prisme !

 

Et c’est donc quelques temps après que j’en recommandais un autre…

Cette fois il était très beau, mais ne fonctionnait pas correctement !

 

De fil en aiguille, j’en ai commandé 6 dont un noir de toute beauté, comme neuf.

Entre temps j’ai trouvé et commandé de belles optiques, du fisheye de 16 mm au télé de 300 mm.

J’ai, bien sûr, fait quelques photos avec, mais l’idée de les photographier était la plus forte pour moi, sans doute pour prouver que je l’avais eu enfin ce Minolta SRT 101 !

 

Je recherchais toutes les documentations de l’époque, les publicités, les modes d’emploi, les accessoires… Puis je décidais de faire un site internet en mémoire de ce fabuleux appareil : http://www.didio.biz/minolta/minolta.html

 

Et puis comme on est au mois d’août, le mois où on met les bouts… En corrélation avec un dessin éclaté de l’appareil paru à l’époque dans « Phot Argus » j’ai décidé de démonter un de mes boîtiers qui fonctionnait mal et de répartir toutes les pièces par petit bout pour faire une belle photo d’ensemble. (voir ci-contre, n’hésitez pas à grossir l’image).

 

Pour terminer l’aventure et clore le sujet, je me suis rabattu sur le mode d’emploi dont j’ai refait une édition couleur avec des photos récentes. J’ai tout redessiné, du logo, en passant par un dessin en coupe. Le plus dur fut de refaire les photos exprimant la profondeur de champ sur lesquelles sont représentées des autos miniatures qu’il a fallu que je retrouve pour être raccord avec l’édition du mode d’emploi original…

 

Face à ce travail, on m’a souvent traité de malade ! mais il fallait que ça se fasse et cette thérapie m’a complètement ôté ma frustration !

Tous les mois dans le magazine « « Phot Argus » le dessinateur Le Hedan représentait un appareil photo en dessin écorché, ici bien sûr le Minolta SRT 101.

Ma contribution à la mise en avant de ce merveilleux appareil photo.

Les deux images que j’ai réalisées pour exprimer la profondeur de champ. Images identiques à celles qui étaient sur le mode d’emploi original. Le plus dur fut de trouver les mêmes voitures miniatures et les panneaux !

Reproduction du mode d'emploi du Minolta SRT 101, photo et réalisation Didier Leplat

Profondeur de champ à pleine ouverture

Profondeur de champ diaphragme fermé

La page originale du catalogue concernant la description de

la profondeur de champ et du contrôle de diaphragme

Le fameux boîtier noir avec le fisheye  de 16 mm

La page d'acceuil du site Minolta Mania, photo Didier Leplat

Une partie de ma gamme de boîtiers et d’objectifs

En août, on met les bouts

Texte et photos par Philippe Belleney

En août, on met les bouts pour oublier le gris de chez nous

On se fait prendre dans des embouteillages pour retrouver le bleu de là-bas.

Le gris de chez nous

Le bleu de là-bas avec traces de mouettes

L’embouteillarbre

Pour s'occuper, on rend visite à l'embouteillarbre contemporain.

Et puis, voilà ... ne rien faire en attendant septembre.

Les embouteillages

La zone sauvage (suite)

Texte et photos par Philippe Belleney

En août, des sauterelles? Que nenni, elles ne seront pas de retour cette année. Mais à la faveur de la nuit, un bébé grenouille s'est aventuré en terrain découvert. Les herbes hautes lui offrent une fraîcheur bienfaisante lors de la journée et un abri tranquille jusqu'au soir.

La Naincropole de nains de jardin à Montjean-sur-Loire (49)

Asseoir le fantasque, la bonne humeur, l'humour déjanté et la fête sur le socle de la culture et plus particulièrement sur la mise en valeur de l'art contemporain, c'est le pari que des artistes plasticiens, détourneurs de nains de jardins, ont construit en proposant l’enterrement de leurs nains de jardin à la commune de Montjean-sur-Loire qui a relevé le gant. Commune qui, le 2 juillet, a inauguré la première « naincropole » de nains de jardins, lors de festivités insolites sur les rives du fleuve royal.

Oeuvre d’Alain Ponçon - Photo Paul Leibenguth

Oeuvre de Catherine Roelant-Pryen - Photo Paul Leibenguth

La grande histoire  par Michel Mortier 

 

La création des nains de jardin remonte à la Renaissance, mais leur développement date essentiellement du 19e siècle. Elle est  liée à la culture des pays d’Europe du nord, c’est à dire à celle des contes germaniques, dans la lignée de ces figures chtoniennes représentées par les lutins et kobolds, gnomes et autres trolls, c’est à dire par ces êtres fabuleux liés aux forces surnaturelles de la terre et qui devaient être des éléments protecteurs contre les forces maléfiques du monde souterrain. Créés à l’image des hommes, ils sont toutefois plus petits qu’eux, afin de pouvoir partager discrètement leur vie, à l’inverse des géants, autres figures chtoniennes, qui alimentent une tradition plutôt liée à la culture gréco-latine.

 

Le trio actif du collectif Nainchronicales est Bruno Antony, Véronique Wibaux et Alain Ponçon, avec une mention spéciale pour Dominique Bellanger natif de Montjean.

 

Site internet :

http://www.synchronicales.eu/nainchronicales.htm 

 

Page facebook :

https://www.facebook.com/groups/117785361594485/?fref=ts

Photo Thibault Roussel

Photo Thibault Roussel

Au premier plan une oeuvre de Jean-Pierre Faurie

Photo Paul Leibenguth

Dessin de François Lebert

Expositions et manifestations

Rémalard ( 61) Centre d'art du tilleul - 22 juillet au 15 août

"L'art se livre" est le titre de l'exposition estivale  de l'association "Ombres et Lumières" à Rémalard.

Quinze artistes se retrouvent autour de ce thème pour vous faire découvrir leurs univers créatifs.

Cette année, l'association propose deux démonstrations dont une participative avec Françoise Valade qui vous proposera de réaliser des feuilles de papier à la cuve.

 

Ouverture 

les vendredis, samedis et dimanches de 16h à 19h.

 

Animation dimanche 31 juillet : 

papier à la cuve de 15h30 à 18h30

participation 5 euros par personne

Réservation: 06 15 24 01 91

 

Animation samedi 6 août : 

découvrir la reliure de 17h à 18h 

 

 

Suite : du 20 août au 18 septembre

avec Bernard Delprat 

Une expo qui ne porte pas de titre mais qui pourrait s’intituler « du bleu à l’ocre », car on y trouve des toiles de bords de mer de Bretagne ou de Normandie où domine le bleu, et aussi  des paysages percherons, des villages, des vieilles pierres ocre…  Le tout, traité dans un style résolument figuratif.

Pour être complet, l’exposition comportera également des natures mortes, bouquets de fleurs et autres scènes de vie.

Exposition « Titré » avec

Patrick Crossonneau et Laurence Monceau

à Nogent-le-Roi (28)

du 13 août au 13 septembre

Histoires d’eau 

aux Muséales de Tourouvre (61)

Exposition d’aquarelles de Jean-Pierre Champdavoine à Tourouvre (61).

Du 1er juillet au 30 septembre 2016

Les Muséales de Tourouvre

15 rue du Québec - 61190 Tourouvre.

Exposition « Accumulations +++ »

de Jean-Pierre Faurie à Brou (28)

Appel à candidature pour « Créatif à Conie »

Après une année consacrée au sentier artistique SacVal, l’association renoue avec l’organisation de son Salon de Printemps mais cette année le salon de Printemps se tiendra en Automne du 17 au 25 Septembre 2016 !!

 

Le thème :

« Portrait, autoportrait de l’autre »

 

A quoi rime ce thème ? 

Portrait, trait, trait pour trait

Attrait, parfait ou imparfait

Auto (mobile) portrait : attention la pose… pas bouger   (immobile ?)

Auto portrait de groupe

de l’autre, portrait de l’autre moi-même,

de l’autre que je rêve d’être,

ou bien vu par un autre

Loto portrait

…….

Quelques réflexions qui peuvent servir de pistes de travail

 

A vous vous d’inventer votre interprétation !

 

Le salon de Printemps 2016 prendra une forme rénovée ; après plusieurs années avec un thème, il nous semble utile de faire évoluer à nouveau ce salon.

Ceux qui nous connaissent bien, savent que notre association suit une charte écrite. Nous voudrions en 2016 nous recadrer sur deux axes : « rencontre » et « partage ».

 

Le salon 2016 doit garder son aspect multi disciplinaire, toutes les disciplines artistiques sont les bienvenues : arts plastiques, dessin, peinture toutes techniques, sculpture, photographie, écrits, poésies, musique pourquoi pas.

Les œuvres doivent être originales et créées pour le salon.

 

Les œuvres collectives aussi sont attendues

Nous nous adressons à toutes les associations d’artistes : arts plastiques, musique, atelier d’écriture, collectif de poésie…

 

Si vous désirez participer faites le savoir dès maintenant, nous vous adresserons un dossier d’inscription.

 

Nous sommes à votre disposition pour tout renseignement complémentaire ;

Association Créatif à Conie   

creatifaconie@wanadoo.fr - Tél 02 37 96 18 94

80 foultitudes et totems seront exposés à la Chapelle

St-Marc de Brou du 2 au 27 août rue de la Chevalerie.

Du mardi au samedi de 10h-12h et 15h-18h.

Vernissage samedi 13 août à 11h30.

Résidence d’artistes

Ferme de la Basse Cour

28310 Arnouville

Aujourd'hui plus que jamais, une urgence se fait sentir, créons du lien !

 

« Tâchez de vivre attaché, les cœurs approchés, accrochés par un fil sacré. Si le monde est démanché, tâchez de ne pas le lâcher... Oh,le fil, tout est gâché, empêché, presque arraché. Alors faut s'amouracher, s'aimer, vivre attaché...Oh, le fil tendu entre nous, comme un lien, le fil qui nous relie » (merci Souchon). Le lien sera donc notre élément commun présent dans toutes les créations. Claire Garros.

 

Parallèlement, cela fait 12 ans que « Prise de terre » a lieu les années paires, une deuxième piste de travail a donc été proposée aux artistes «12 ans pairs- 12 ampères ».

 

La ferme de la basse cour et son équipe vous donne donc rendez-vous les 17 et 18 septembre pour les journées « Public » qui vous permettront de découvrir les œuvres réalisées par les artistes en résidence.

 

http://www.bassecour.fr

Et toujours notre dernier Hors-Série

L’étrange histoire de Zela’r Mor

Par Philippe Belleney

et Didier Leplat 

 

Douze sculptures pour une histoire, douze signes pour l’aboutissement. Du haut des chapiteaux de l’abbatiale de nos pensées se sont détachées les stances de Zéla.

Les sculptures en pierre de Philippe Belleney et les univers 3D virtuels de Didier Leplat sont deux mondes pourtant très éloignés mais finalement si proche !

Ce fut un sacré challenge de rassembler les univers de ces deux artistes !

Cette promenade que Philippe et Didier vous proposent a plusieurs sens, à vous de découvrir les vôtres.

Brochure 28 pages plus couverture

Format 21 x 29,7 cm

12 euros + port (3 euros)

Alors... Voilà...

Entrer en « L’étrange histoire

de Zéla’r Mor »

ne peut se faire

en toute innocence...

Te voilà prévenu !

Les deux compères en pleine préparation et cogitation chacun dans son domaine d’activité.

L’un avec sa massette et ses ciseaux,

l’autre avec sa souris et son appareil photo

A commander sur le site de l’Aéropage : www.lareopage.com

N’hésitez-pas à cliquer sur les photos pour les agrandir

 

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