Octobre 2016 - Danger : chasse !

Le mot de la rédac

Par Philippe Belleney

Avertissement : il n'est pas conseillé de lire cet éditorial quand on est végétarien ou trop sensible.

 

Hé ! Oui ! Après la rentrée des classes fin septembre, c'est la rentrée des chasseurs. Ils s'échauffent le dernier week end pour être fin prêt en octobre.

Les fusils brillent, les chiens aboient, l'écologiste passe... Avis aux amateurs de champignons et de promenades champêtres, le plomb vibre dans l'air et secoue poil et plumes de toutes espèces. Enfin presque car depuis le milieu du vingtième siècle, la réglementation a bien changé. Les espèces disparues ou presque qui faisaient « l'coup d'feu » du chasseur quand il était bredouille sont protégées, hérons, chouettes, chats sauvages, écureuils et bien d'autres recommencent à montrer le bout de leur nez, la preuve en est des corps régulièrement trouvés écrasés sur la route : restez discrètes !

Beaucoup d'animaux qui étaient nuisibles sont devenus fréquentables voir utiles. Il reste bien sûr ces vilains « voleurs de poules » comme le renard et autres sur lesquels on crie « Harrau ! » ou encore « Ha ! Roux ! ».

 

« Est-ce que je vous parle du loup ? Pan, Pan ! Euh !, non, trop sensible. Ah ! Bon ! Et de l'ours ? Pan ! Pan ! Pan ! Ah ! Grrr ! Euh ! Ben pas çà non plus ! … De l'homme alors ! Non mais c'est quoi ce délire, Pan ! Pan ! Chassez moi cette idée que l'homme est un prédateur... nuisible ! »

 

Il me reste quoi pour finir mon édito ? Et bien, le pâté bien sûr car si on le sais bien, il y a le bon et le mauvais chasseur, moi, j'en connais un bon. Celui qui me donne de bons pâtés et qui m'invite à déguster un bon râgout de sanglier ou un rôti de chevreuil aux airelles !

Pour les champignons … il n'y a plus qu'à espérer qu'ils poussent en dehors des heures d'ouverture du chasseur. Guettez la lune ! Et si vous vous impatientez et y allez quand même mettez un pull rouge, on ne sait jamais.

Illustrations tirées du catalogue de la manufacture française d’Armes & Cycles 1929 (St-Etienne)

Les chasseurs schizophrènes

Texte et dessin : Anselme Izidore

La chasse est ouverte il faut tirer la chasse

 

Messieurs les présidents je vous fais une lettre, car la chasse est ou verte... ou rouge ! La chasse est ouverte depuis l'ennui des temps, certains disent qu'elle est toute verte et marche au pays des animaux comme des académichiens camouflés en habits verts. Mais nous savons tous que le gibier le plus recherché de l'homme est l'homme, les femmes, les enfants, les vieillards, les malades, et aussi les réfugiés, mais pas les animaux qui ont déjà leurs propres abattoirs. Messieurs les présidents vous savez bien que l'homme est un animal comme les autres, ils en deviennent des amis mal, et ne le pensent pas à mi maux.

Messieurs les présidents, vous faites ostensiblement des efforts de discours désapprobateurs, de coups de fil diplomatiques, de coups de gueule humanitaires, de déclarations offusquées, car le gibier le plus recherché des présidents à réélire c'est la sainte opinion, fabriquée par les opineurs de chef et les masse merdias pas très cathodiques. Alors vous les pourvoyeurs d'armes de toutes sortes, schizophrènes professionnels et antipersonnels, vendez nos engins de mort en rafale, augmentez notre PIB, pleurez les morts des autres, rejetez les exilés qui fuient devant nos munitions et n'oubliez pas que l’œil était dans la tombe et regardait Caïn, car la chasse est toujours ouverte mais pas toujours pour les mêmes.

 

Anselme Izidore

L’ami, le bon et le mauvais chasseur

Par Philippe Belleney et Didier Leplat

Est-ce un bon ou un mauvais chasseur ?

Ouf ! Nous avons eu peur, c’est un BON chasseur !

Pan-Pan-Pan - Qui vient de traverser le bois ? Une rafale de photos, l’animal est dans la boîte.

Mince, l’ami Philippe était en train de se promener…

… Et l’animal est passé derrière.

Finalement, c’était un mauvais chasseur !

Ah bin j’l’avais pas vu.

La chasse aux gaspis… à fond les batteries !

Texte et photos Didier Leplat

Salon de l’auto 2016, grande (re)ouverture sur la voiture électrique…  Ségolène annonce son enthousiasme pour la voiture rechargeable et les aides gouvernementales qui vont avec.

Carlos Ghosn le P.d-g du groupe Renault Nissan est très fier d’annoncer l’amélioration de l’autonomie de la Zoé…

 

C’est aussi le jour de l’ouverture du salon de l’auto 2016 que l’OPEP (Organisation des pays exportateurs de pétrole) annonce que l’association des pays producteurs se sont mis d’accord pour restreindre la production de pétrole. Une augmentation des prix des carburants est donc à prévoir dans les prochains mois.

 

Pourtant la voiture électrique n’en est pas à ces débuts. A chaque fois le lobby du pétrole a tout fait pour garder le pouvoir de leurs intérêts sur cette énergie. Dépassée, non renouvelable et polluante, elle va sur son déclin.

 

D’un autre côté, le tout électrique pose aussi des problèmes, surtout quand on sait en France que notre énergie électrique est produite en grande partie par le nucléaire et les énormes risques qui en découlent. Et puis les batteries sont aussi très polluantes aussi bien durant leur fabrication qu’après quand il faut les recycler.

 

Reprenons depuis le début ! 

C’est « La jamais Contente » en 1905 qui ouvrit le bal des voitures électriques et qui en plus inscrit un record de vitesse de 105 km/h à l’époque.

 

Une petite page sur l’histoire de la voiture électrique 

 

Bref, beaucoup de tentatives avec de magnifiques produits, mais jamais de production de masse.

 

Au début des années 90, aux états-Unis et notamment dans l’état de Californie, certains gouverneurs ont essayé de faire bouger les choses avec cette résolution qui prévoyait une limitation du rejet d’émissions polluantes et incluait un programme à zéro émission (ZEV) opérationnel dès l’an 2000.

 

Pour lutter contre la pollution atmosphérique sur son territoire, l’Etat de Californie décide début 1990 d’une loi qui obligera les constructeurs automobiles à produire et vendre des voitures sans émission. Le texte se traduira en quotas minimum exprimés en pourcentage des nouvelles immatriculations : 2% en 1998, 5% en 2001, et 10% en 2003.

Certains constructeurs ont joué le jeu et créé des modèles 100% électriques comme Ford, General Motors aux USA, Honda et Toyota au Japon et Bombardier au Canada.

 

Le texte de la résolution  

 

Des pionniers ! 

Et bien figurez-vous que nous étions pionniers en 1998 lorsqu’avec mon ami Emmanuel Lupé dit « Manu », nous avons créé le premier salon de la voiture électrique… et cela se passait à Los Angeles !

 

Cela se déroulait carrément au « Petersen automotive museum » de Los Angeles.

Le conservateur nous loua la terrasse concomitante au musée avec ses rampes d’accès qui nous permit d’exposer nos modèles. Manu, grand spécialiste de la voiture et très connu du monde sportif automobile américain avait réussi à convaincre les constructeurs de venir exposer leur production.

La « Jamais Contente » en 1905, une des premières voitures électriques.

Le programme Californien

L’arrivée à Los Angeles sous un ciel tout gris

Un ciel bien nuageux à Los Angeles

La nouvelle façade du Musée de l’auto de Los Angeles

Ma mission dans cette opération était double, dans un premier temps, je me suis occupé de la communication en réalisant les affiches, flyers, bannières, et en préparant les annonces presse pour les journaux et magazines. A cette époque, je travaillais à « Souris Verte » et tous ces documents étaient badgés et signés « Souris Verte » ! C’était rigolo de savoir qu’une petite entreprise de La Loupe signait des parutions dans toute la Californie !

 

Ma deuxième mission était celle d’organiser le salon à l’image de l’organisation des expositions comme j’ai toujours su le faire. Et pour l’occasion j’ai dû aller sur place.

 

C’était la première fois que je mettais les pieds sur ce continent. Los Angeles est assez mythique et cela m’enthousiasmait. Mon vol de départ transitait par Londres, pendant le transit en Duty free j’en profitais pour contrôler mon anglais et acheter des havanes à Manu et j’étais assez content car je me faisais comprendre et je comprenais ce qu’on me disait.

 

Remplir dans l’avion le petit papier vert pour l’immigration et confirmer que je n’étais pas un terroriste (déjà !) et aussitôt l’atterrissage sur le tarmac de L.A. !

Déjà au passage du contrôle de l’immigration, j’ai eu du mal à comprendre ce que le fonctionnaire me demandait. « Surtout donner l’adresse de l’hôte et dire qu’on vient en touriste », c’est ce que m’avait dis Manu pour éviter les problèmes. Bref, malgré l’ambiance très froide et l’antipathie du fonctionnaire, me voilà sur le sol américain ! Heureusement Manu m’attendait et il m’emmena chez lui à Santa Monica.

En plus du travail d’installation et de préparation, Manu avait prévu de me faire visiter Las Vegas. Nous devions y aller en voiture.

Généralement en mai, le temps en Californie est fabuleux, température de 25 degrés, soleil, palmiers… le rêve quoi !

Et bien figurez-vous que le lendemain de mon arrivée, tempête de neige, vent et pluie diluvienne sur la Californie ! Des coulées de boues et autres ravines se sont retrouvées sur la route en créant des embouteillages monstres et de nombreux accidents car les gens conduisent très mal leur gros 4x4 ou pick-up qui dérapent et glissent sur la chaussée. En plus la neige étant tombée sur la route qui va à Las Vegas, nous empêcha d’y aller ! Bien ma veine, du Perche à la Californie, même temps, même combat avec les pulls et les imperméables !

Los Angeles downtown depuis la colline d’Hollywood

L’enseigne mythique « Hollywood »

La brochure de la Honda EV Plus

La brochure de la Chevrelet S-10 Electric

L’intérieur de la brochure de la Honda EV Plus

La terrasse toute mouillée des pluies de la veille

Réunion de chantier sous les directives de Manu (personnage en haut et à droite du groupe de 4)

Les barnums sont installés, le ciel bleu est revenu et déjà les « Nissan » sont arrivées

On aperçoit au fond l’entrée du Musée de l’automobile

Cela ne nous empêcha pas d’installer les barnums, bâches et signalétiques sur notre terrasse.

Pour les matériaux, nous sommes allés dans un magasin « Ace  Hardware » le magasin de bricolage pour acheter ce dont nous avions besoin. Là-bas, c’est impressionnant, je n’avais jamais vu un magasin aussi grand, même les caddies sont démesurés ! Celui qui veut construire sa maison, peut acheter tout les matériaux et même embaucher du personnel mexicain à la sortie !

 

Bref, trouver du ruban jaune avec écrit dessus « Caution » ne fut pas simple, surtout  qu’en fait je me suis aperçu que je ne comprenais rien de ce que les gens me disaient, même en leur faisant répéter !

 

Après une dure journée, tout fut installé et il ne restait plus qu’à accueillir les véhicules. Le soir nous étions invité chez un ami de Manu à Pasadena, c’était « le » spécialiste Porsche de Californie et j’avais bien du mal à le comprendre ! J’ai compris qu’il aurait souhaité aller aux 24h du Mans en juin. Quand je lui ai annoncé que j’habitais à 90 km du Mans et que je n’irais pas aux 24 heures… j’ai cru qu’il allait devenir fou !

 

Bref, le lendemain, ce fut l’arrivée des véhicules et des prototypes, il y avait entre autre, un pick-up Chevrolet S-10 electric, des Honda Pick-up ainsi quune EV Plus, des voitures Bombardiers, un prototype de voiture de sport  la T Zero avec en option une remorque contenant un générateur pour augmenter l’autonomie, et bien sûr l’EV1 de chez General Motors.

Nissan était aussi présent avec l’Altra EV.

Un petit lien sur la Nissan : http://www.altfuels.org/events/testdriv/altra.shtml

Avec des motos et patinettes cela faisait un peu plus d’une vingtaine de véhicules.

 

Une fois installé, il ne restait plus qu’à recevoir les visiteurs. Ils pouvaient accéder directement depuis l’intérieur du musée ou de l’extérieur par les rampes d’accès prévues à cet effet.

Des démonstrations étaient organisées et les visiteurs pouvaient même essayer les véhicules.

La moto électrique était impressionnante, son propriétaire pouvait accélérer jusqu’à faire des roues arrières… sans faire aucun bruit ! A leur demande, les visiteurs pouvaient se déplacer sur la terrasse sur une patinette électrique !

 

La presse et la télé furent de la partie et choisirent le moment Jay Leno était là pour l’interviewer !  Jay Leno est un présentateur télé spécialiste de l’automobile et très connu aux Etats-Unis. Il était même diffusé en France jusqu’il y a peu de temps dans l’émission Jay Leno's Garage. Ici une émission où il essaye une Panard PL17 de 1960.

Sur l’exposition, Jay Leno était très intéressé par la T Zero, une voiture de sport conçue par le groupe AC Propulsion. Celle-ci pouvait atteindre 60 Miles/h (environ 100 km/h) en 3,6 secondes. Son autonomie pouvait même être prolongée quand on on y accrochait une remorque muni d’un générateur qui pouvait recharger les batteries. Le point d’accroche et d’équilibre était tel qu’il n’entravait pas l’équilibre de la voiture.

Une petite vidéo de la T Zero : https://www.youtube.com/watch?v=gb9E222QsM0

 

Après deux jours d’exposition, les visiteurs n’étaient pas vraiment nombreux, mais tous étaient très intéressés.

 

Pour augmenter l’audience et faire du buzz, nous avons décidé d’utiliser les véhicules électriques et de faire une parade dans Los Angeles. Après accord de la police locale, la vingtaine de voiture circula à travers les rues et notamment sur le « Rodeo Drive » de Beverly Hill, l’équivalent des champs Elysée à Paris, où je conduisais l’EV1 ! A chaque carrefour un policier en Harley faisait la circulation avec une méthode cowboy ! à l’américaine quoi !

 

L’EV1 que j’ai conduis, était une voiture fantastique, dans un silence parfait elle accélérait comme une voiture de sport (0 à

Une des petites voitures Bombardier avec à son bord un cameraman de la télévision

La moto électrique capable de faire des roues arrières dans le silence le plus total !

La couverture de la plaquette de l’EV1 de General Motors

Une autre plaquette de l’EV1 découpée en forme arrondie à l’image de la voiture

Une autre plaquette de l’EV1 où l’on voit davantage la forme de la voiture et son profil.

Jay Leno au volant de la « T Zero »

Jay Leno interviewé par la télévision sur le stand de la « T Zero »

Notre défilé à travers les rues de Beverly Hill et notamment sur « Rodeo Drive »

100km/h en 8 secondes) mais sans à-coups ni brusquerie. Cette voiture de deux places, construite de 1996 à 1999, était uniquement disponible en location longue durée et non à la vente. GM loua plus de 800 voitures EV1 sur les 1 117 produites, les véhicules loués devant contractuellement être restitués à GM après le terme de la location de trois ans.

 

En 2001, GM annula le programme EV1. Malgré des listes d'attente de clients et un retour positif des locataires, GM déclara qu'il ne pourrait écouler assez de voitures pour rendre ce programme rentable. GM détruisit la majorité de celles-ci et demeura silencieux par la suite. Le prix du véhicule utilisé pour le calcul des loyers variait de 34 à 44 mille dollars, ce qui représentait des loyers mensuels de 299 à 574 dollars. Un officiel de l'industrie automobile déclara que chaque EV1 coûtait à GM environ 80 000 dollars, incluant les coûts de recherche et de développement. Le prix de location des véhicules dépendait également des remises pratiquées par les États.

 

Un documentaire diffusé sur la chaîne publique PBS en juillet 2006 met en cause les lobbies pétroliers et l'administration Bush pour pousser GM à arrêter le programme de l'EV1. Le documentaire explique, entre autres, comment GM à soudainement décidé de détruire l'ensemble des EV1, malgré les propositions d'achat faite par les consommateurs qui sont allés jusqu'à proposer 1,9 million de dollars et manifester pendant plus de 15 jours devant les 78 modèles restants dans le parc de GM à Burbank.

 

Ce film documentaire, intitulé « Qui a tué la voiture électrique ? », peut être visualisé dans son intégralité, en cinq parties ici : http://www.dailymotion.com/video/x3ahxi_qui-a-tue-la-voiture-electrique-4_news

 

Quant à nous, certainement nous étions-nous pris un peu tôt pour lancer ce genre de salon. Mais on constate que les lobbies du pétrole ont certainement influencé les politiques pour retarder la diffusion de la voiture électrique. On le voit encore maintenant !

 

C’était une bonne expérience, nourrissante et passionnante mais qui laisse un goût d’amertume quant aux politiques et aux hommes de la finance qui influent toujours en faveur de leurs intérêts.

Et malheureusement, cela n’a « guerre » évolué.

Didier Leplat

Le dessin de François Lebert

Une maison de la chasse, c’est un endroit

dans lequel on peut tirer dans tous les coins

Anagama - Mathilde Clerc à Arrou (28)

(A suivre)

Si vous ne savez pas ou peu ce qui se cache derrière ce nom étrange, Mathilde Clerc vous invite  à suivre dans les prochains numéros de l'égo du moi(s), la construction de son nouveau four à poterie dit «  Anagama ».

 

Mathilde Clerc était présente à l'exposition « Cotê cour » à Arrou lors des JEMA 2016. Elle vous propose désormais outre sa production, des cours ou stages de poterie tout au long de l'année.

Renseignement : www.poteriedelavigne.wordpress.com

Première étape : terrassement de la partie souterraine du four

Ebauche des marches pour descendre dans le four

« Temps d’orages », le livre de Xavier Delorme

dispo à partir du 22 octobre

Le livre Temps d'orages est terminé !

96 pages format ouvert 86 x 31 cm. 

Encore merci à Didier Leplat, Alain Escourbiac Asnières et Tsumi Cellier pour leur aide !

 

En tout cas grâce à vos pré-commandes, j'ai pu monter le tirage à 500 ex et non 300 comme prévu initialement. Vous pouvez y aller, y en a encore un peu plus de 300 mais ça devrait vite partir après les 6 expositions qui arrivent. Ne traîner pas pour le commander car il ne va pas en avoir pour tout le monde :

http://www.temps-orages.pro/boutique-en-ligne/livre/

 

Attention, il ne reste plus qu'une dizaine d'édition limitée !

Xavier Delorme

Le site internet de Xavier Delorme : www.temps-orages.pro

Xavier Delorme nous présente la maquette de la couverture ouverte Photo Didier Leplat

Expositions et manifestations

Festival « Prise de terre » 12 ans pairs, 12 Ampères !

Après la résidence, les artistes ont pressenté leurs oeuvres à un public très enthousiaste.

 

Vous n’avez pas pu y aller ?

Alors voici quelques images prises pour vous sur le parcours par « L’ego du moi(s) »

Christian Pichard - Trom al ruoma’l eiv al

L’allée du bois avec Ch. Dumont, C. Salomoni et R. Plunian

Anne Boutin-Coutin - D’un papillon à une étoile

Sabine Barthelemy - Trans-Mission

Philippe Belleney « Gaïa Magnéto B »

Claire Garros et le compteur Bruno

Festival Photo-Graphie#9 au château de La Loupe (28)

du 24 septembre au 9 octobre

Très bon cru que cette neuvième édition du festival Photo-Graphie de La Loupe. De nombreux visiteurs qui sont tous repartis avec la tête remplie de rêves et de belles images.

 

Quelques citations relevées sur le livre d’or : 

« Photographe poète… ou poète photographe ! Superbe ! »

 

« Eblouis, conquis par la qualité, l’originalité et les sourires bienfaisants provoqués par tous ces artistes : une des meilleures impressions depuis que nous venons. Super ! »

 

« De l’originalité, de l’humour, de la poésie… que àa fait du bien ! »

 

« Un rendez-vous annuel toujours aussi magique ! Merci de faire venir l’image, aussi belle, drôle et inattendue dans nos petits villages. »

Beaucoup de monde au vernissage

Didier Leplat pendant son discours d’ouverture entouré des artistes photographes : de gauche à droite, Anne-Laure Etienne, Patrick Jacket, Yann Pendariès, Julie de Waroquier, Julie Poncet, Gérald Vidamment (rédacteur en chef de Compétence Photo), Samsofy, Martin Schreiber.

Au deuxième plan, la salle des Triangles Invisibles, puis celle de Samsofy et ensuite celle des « Photos de l’année »

Le couloir où était exposées les photos d’Elsa Linguini

La salle du fond avec les photos de Martin Schreiber et les photos de l’année

Les photos de Samsofy avec ses petits Lego® en personnage… et qui dit Lego… dit l’égo… du moi(s) !

Les « Triangles Invisibles »

d’Anne-Laure Etienne

Anne-Laure Etienne, Julie de Waroquier, Julie Poncet et Gérald Vidamment en plein délire !

Durant la conférence de Bruno Albertoni

La série des photos de l’Infrascope

« Les tout petits métiers » de Yann Pendariès

La grande salle avec les 360 degrés de Patrick Jacquet

Les photos du concours de photo auprès des écoles de photo - Efet et ce3p

La visite des écoles

Sofiane de Samsofy en train de préparer ses Lego®

Merci à Kathia pour la table du buffet du vernissage

Alain Ponçon au St-Jacques à Yèvres (28)

jusqu’au 31 décembre

Bruxelles : les piquets danseurs de Nathy

Il a garé son caddie le long du mur, est entré avec ses toiles, les a accrochées aux murs et s'est installé boire un verre au « bistrot »  avec ses amis. Scènes de la vie urbaine, brèves de comptoir et autres toiles hautes en couleur à l'ambiance aigre douce sont à voir pendant trois mois au café restaurant

« Le Saint Jacques » à Yèvres.

Le vernissage s'est déroulé dans une ambiance conviviale et nombre de ses amis avaient répondu à son invitation. Orchestré par l'association « Le Cap » et par les propriétaires, amateurs d'art, le St-Jacques devient un lieu incontournable pour les artistes dans notre région.

Pour les 50 ans des quartiers nords de Bruxelles, Naty a créé des piquets danseurs. Présentation avec le maire de Bruxelles Yvan Mayeur le 2 octobre.

Et toujours notre dernier Hors-Série

L’étrange histoire de Zela’r Mor

Par Philippe Belleney

et Didier Leplat 

 

Douze sculptures pour une histoire, douze signes pour l’aboutissement. Du haut des chapiteaux de l’abbatiale de nos pensées se sont détachées les stances de Zéla.

Les sculptures en pierre de Philippe Belleney et les univers 3D virtuels de Didier Leplat sont deux mondes pourtant très éloignés mais finalement si proche !

Ce fut un sacré challenge de rassembler les univers de ces deux artistes !

Cette promenade que Philippe et Didier vous proposent a plusieurs sens, à vous de découvrir les vôtres.

Brochure 28 pages plus couverture

Format 21 x 29,7 cm

12 euros + port (3 euros)

Alors... Voilà...

Entrer en « L’étrange histoire

de Zéla’r Mor »

ne peut se faire

en toute innocence...

Te voilà prévenu !

Les deux compères en pleine préparation et cogitation chacun dans son domaine d’activité.

L’un avec sa massette et ses ciseaux,

l’autre avec sa souris et son appareil photo

A commander sur le site de l’Aéropage : 

www.lareopage.com

N’hésitez-pas à cliquer sur les photos pour les agrandir

 

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