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Février 2017 - Vous avez dit surréaliste

Edito

Par Philippe Belleney

Dans notre monde où l’utopie régresse, où le stéréotype devient roi et où l’effet de masse prime sur l’individu, pouvons-nous encore employer le mot « surréalisme » ?

 

Quelqu’un qui nous offre du rêve au dessus de la réalité est-il fréquentable ?

Où peut bien nous mener tout cela ?

 

Après avoir lu ces quelques pages vous aurez peut-être une petite idée de ce que les artistes ont dans la tête quand ils prononcent le mot surréaliste avec un léger sourire provocateur sur les lèvres.

Le con et le potiron

Texte et dessin Alain Isenegger

J’aime pas les cons

Mais j’aime le potiron

Etre cucurbitacée

C’est avoir un don

Ohé petit avorton

Arrête de regarder mon bidon

Et retourne dans ta maison

Tu es vêtu en haillons

Tu marches comme un limaçon

Arrête de te gratter le nez

Réfléchis donne moi des idées

Et retourne le paillasson

Dans la chambre sous l’édredon

Se cache le vilain dindon

Allume la cheminée

Fait attention aux tisons

C’est la complainte du potiron

Du texte des chansons

Des cons

De l’amitié des baisers

Des casseroles des poêlons

Qu’importe les paroles

Il faut donner le ton

L’important c’est la vision

L’équilibre

La  créativité

Pour éviter de mourir trop con…

Hasta la vista ! 

 

Tuer le temps

pour ne pas mourir d'ennui,

n'est-ce pas un tant soit peu surréaliste ?

 

Se tuer à la tâche pour gagner sa vie,

n'est-ce pas proprement surréaliste ?

 

Tuer des hommes par centaines

pour remplir un seul compte en banque,

n'est-ce pas scandaleusement surréaliste ?

 

Tuer un homme

à cause de sa couleur,

n'est-ce pas complètement surréaliste ?

 

Tuer quelqu'un au nom d'une religion qui dit :

« Tu ne tueras pas »,

n'est-ce pas incroyablement surréaliste ?

 

Tuer un médecin qui pratique des IVG

au nom du respect de la vie humaine,

n'est-ce pas monstrueusement surréaliste ?

 

Tuer quelqu'un,

n'est-ce pas l'acte le plus surréaliste qui soit,

sachant que de toutes façons, on va tous mourir ?

 

Tuer chaque jour, comme ça, sans prévenir,

des hommes, jeunes ou vieux, des femmes, des enfants,

ce n'est pas surréaliste,

c'est la vie !

Par François Lebert

Graphic Systhem

Texte et photos Didier Leplat

Dreux, fin des années 70, une bande de copains et copines, nous faisions une belle équipe et chacun essayait d’épater l’autre !

 

A chacun sa spécialité, Philippe Govin, dessinateur et peintre en lettre de formation, Mickael François - dit Tartempion ou Mimi -, dessinateur de bande dessinée et poète rêvant éternellement d’un nouveau monde, et moi-même, créatif, graphiste et photographe.

 

La rencontre avec René Maltête, le célèbre photographe roi de la photo gag, nous émoustilla un peu durant une exposition qu’il avait organisée au nom de l’association « Art en Dreux ». Cela nous donna l’élan nécessaire pour nous lancer dans ce projet fou de réserver l’ancienne chapelle à Dreux pour y créer une exposition. Se joignirent à nous, Brigitte Maillard « Bribri », Christiane « Kiki », Xavier Mermeulen, Gabriel Peytour et bien d’autres personnes dont j’ai perdu le nom.

La salle est immense, très haute de plafond et ce n’est que le défi et la fougue de la jeunesse qui nous motivèrent pour assumer ce challenge.

 

Déjà, notre premier souhait était de « couper » la salle pour la rendre moins haute de plafond. Pour ce faire j’ai eu l’idée de tendre des fils de fer et d’y accrocher des feuilles de rouleau de papier Sopalin. Ce fut un travail fastidieux qui nous prit une bonne partie de la nuit mais qui en valait le coup. Cela métamorphosait complètement la salle qui paraissait bien plus grande.

 

Je m’occupais de la communication, de la réalisation des affiches et des cartons d’invitation. Il fallait prévenir la presse, mais là, c’était facile pour moi vu que je connaissais tous les rédacteurs des trois journaux locaux puisque j’y travaillais ou y avais travaillé.

Le travail éprouvant de la pose du faux plafond. Ici c’est Christiane (Kiki) qui s’y colle aidée par Philippe Govin.

Philippe Govin

Didier Leplat

Mimi sur l’escabeau et Philippe

Accrochage des œuvres

Le carton d’invitation de la première exposition d’après des dessins de Mimi et Philippe Govin

L’accrochage sur les palissades de chantier

Un dessin de Mimi qui représente bien la synthèse de ces expositions

La caméra utilisée

Une vue globale de l’exposition 1980

L’équipe de choc avec Gabriel Peytour et Mimi en repos !

Mes premières bissections symbolisantes exposées ici en 3D dans des petites vitrines

A Dreux, on tourne en rond !

Nos CV étaient rédigés sur de très grandes cartes postales dont les timbres étaient à nos effigies !

Une parodie des idées noires de Franquin avec des têtes réalisées par Brigitte

La fameuse chaise qui vous fait réfléchir !

Le coin de l’acceuil

Que la lumière fut !

Tiens, un nouveau monde ! 

 

Chaque exposition avait pour thème central un petit film d’une vingtaine de minutes autour duquel chaque artiste travaillait selon ses idées et ses domaines de compétences.

 

C’était « Mimi » qui centralisait tous les projets de scénario pour les films et nous les réalisions ensemble. Pour l’occasion, il avait acheté une caméra Fujica Single 8 ZC1000 de chez Fujifilm. C’était le top à cette époque. La vidéo qui commençait à percer n’était pas accessible pour nous niveau budget d’une part et d’autre part les possibilités de trucages limités ne nous convenaient pas.

L’avantage du film « Single 8 » qui avait la même taille que le « Super 8 » était surtout dans la cartouche car il y avait deux bobines l’une au dessus de l’autre et non côte à côte comme dans celle du « Super 8 ». Le positionnement de ces bobines permettait de pouvoir bobiner et rembobiner le film en avant comme en arrière sur toute sa longueur et ainsi de pouvoir filmer aussi en marche arrière, bien pratique pour réaliser nos trucages. C’était moi le spécialiste et j’avais élaboré un compendium à placer devant l’objectif avec quatre caches. De sorte que nous pouvions filmer en superposition quatre fois de suite. Idéal pour dédoubler et même quadrupler des personnages sur la même image. La caméra possédait un compteur d’images précis qui nous permettait de travailler à l’image près.

 

Les trucages étaient réalisés selon les méthodes de Gorges Méliès, directement à la prise de vue. A cette époque nous étions encore loin d’imaginer que ces trucages pourraient se faire plus facilement avec un ordinateur.

Notre méthode de création était essentiellement orientée sur la prise de vue image par image et même, grâce à l’intervalomètre, de filmer en pixilation. Cela consiste à filmer en direct mais en décomposant les mouvements filmés, image par image, à intervalle régulier. Pour parfaire le tout, nous avions construit un mini cyclo en bois et en plâtre pour servir de studio lors des prises de vues d’objets animés ou même de personnages en pâte à modeler que Mimi, le spécialiste, transformait image par image.

 

A la réception des films du laboratoire, nous procédions au montage, une fois que nous étions d’accord sur le montage final, nous renvoyions la bobine au laboratoire pour qu’il nous couche une bande magnétique dessus afin d’y rajouter le son en post synchro. Après réception, nous procédions aux prises de son. C’était toujours très rigolo car chacun apportait sa touche, ses idées, et ses petites voix.

 

Il y avait des très courts métrages expérimentaux réalisés ainsi qui étaient projetés avant le film de base.

 

L’exposition globale, tournait autour du thème choisi, renforcée par la projection du film dans la salle obscure prévue à cet effet. Dès qu’il y avait assez de monde pour remplir la salle, nous lancions la projection qui durait entre vingt minutes et une demi heure.

Dans la presse, on pouvait lire : « C’est une série d’exercices explique Mimi. Nous avons utilisé la caméra comme un crayon, mais ce crayon-là va au-delà du visuel, c’est la raison pour laquelle le mouvement est presque toujours accéléré… »

« Tout le monde peut en faire autant poursuit Philippe Govin, c’est seulement une question d’idées… »

 

La partie expo était constituée de dessins, de photos, de sculptures et agrémentée d’objets en phase avec le décor et le thème. Pour l’expo de 1981 dont le thème était le chantier, nous avions récupéré auprès des services techniques de la ville tout un lot de palissades en bois et de panneaux de chantier. Les palissades étant agencées pour nous faire des panneaux d’accrochage.

Pour la première exposition nous avions choisi comme thème les aléas de l’application du nouveau plan de circulation dans la ville de Dreux.

Et à cette occasion j’avais réalisé pour l’exposition un mobile qui fonctionnait avec un petit panneau solaire (voir photo). La lumière faisait tourner inexorablement une voiture, représentée par une roue, autour du beffroi de Dreux symbolisé par une silhouette blanche en bristol.

 

Une autre création de Gabriel Peytour représentait un ring de boxe avec, pour symboliser les boxeurs, deux simples boules qui tournaient aléatoirement en s’entrechoquant de temps en temps à l’image des véhicules qui circulaient en rond dans la ville.

 

Gabriel était plus âgé que nous mais tout aussi créatif. C’était un ingénieur qui avait travaillé chez le pétrolier BP et un jour, il en a eu marre de ce travail qui ne le gratifiait pas et qui allait à force à l’encontre de ses idées. Ses loisirs consistaient à créer des robots et mécanismes futuristes en inox (Imaginox) mus par des champs magnétiques. Sa rencontre avec un commercial lui permit de lui confier la distribution de ces machines. Ce commercial multicartes visitait essentiellement les opticiens de la France entière.

 

Il leur proposait la location des «Imaginox » de Peytour durant un certain temps pour décorer leur vitrine.

 

Plus le catalogue de Peytour augmentait, plus il en louait. Un moyen simple pour lui d’enfin vivre de son art.

Notre force était de ne pas se prendre au sérieux et de proposer des créations étranges qui plaisaient par leur originalité à un large public. Telle cette chaise affublée d’un panneau d’interdiction de stationner.

Dans un article de presse, mon ami le photographe René Maltête écrivait : « Ces quatre là méritent le grand prix du n’importe quoi (catégorie professionnelle) ! »

Nous faisions aussi des parodies avec notamment la réalisation de Bribri autour d’une imitation « des idées noires » d’André Franquin.

 

Nous avions placé un système pour compter les visiteurs, et comme le dit à nouveau René Maltête : « …L’ex-chapelle est plus fréquentée que le hall de la gare SNCF ! On y rentre jusqu’à oublier d’en ressortir. On y revient croyant toujours y être ! A tout moment on prend son pied dans l’invention qui traine. On se roule dans ce self-service de l’imprévu et d’en repartir le chariot plein de drôleries à terminer chez soi ».

« C’est bien c’est chouette, original…

Il fallait y penser » 

 

Le thème pour l’année 1981 tournait autour des grimaces à notre image, puisque nous nous étions portraiturés ainsi.

 

Le thème pour l’année 1982 tournait autour des clowns avec les magnifiques aquarelles de Mimi en raccord avec le film tourné durant le nettoyage du chapiteau du cirque Zavatta de passage à Dreux.

 

Pour ma part, c’est durant ces expositions que j’ai pu présenter mes premières bissections symbolisantes, j’y ai exposé mes photos sur les gitans, mes premières photos déformées à la photocopieuse et moult expérimentations comme cet œil géant dont la pupille tournait doucement comme pour vous hypnotiser… Cela m’a permis de me familiariser avec le principe de l’exposition, à savoir comment organiser, comment répartir et comment homogénéiser, tout en diversifiant, les choses pour plaire au plus grand nombre et que chaque personne en ressorte avec les pupilles remplies.

 

Nous avons réalisé ainsi quatre expositions. Point de subvention, tout était financer par nos sous, « les sous à bibi » comme disait Mimi et nous avons dû quand même arrêter. Ce n’était pas par faute d’idées ni de moyens financiers, mais simplement parce que nous nous sommes tous, à part Mimi, dispersés dans d’autre villes. Qui de Philippe Govin sur Paris, Xavier Vermeulen au Canada, Brigitte en Ardèche, moi-même à La Loupe et quant à Gabriel Peytour, lui, malheureusement c’est la maladie qui l’a gagné et il nous a quitté rapidement.

 

Ces quatre expositions nous ont tous apporté une expérience et un savoir faire qui nous incita à poursuivre nos activités, dessinateur, graphiste ou photographe… Et toujours au service de la création et de l’art.

Les artistes devant leur grimaces avec de gauche à droite : Mimi, Xavier, Didier et Philippe durant l’expo 1981

La fin d’un vernissage sous mon œil qui hypnotisait les gens !

Quelques « Imaginox » de Gabriel Peytour

Le « making of » avant et après l’expo

Philippe en pleine forme pour affronter la nuit d’accrochage du faux plafond !

Mimi reprenant des forces devant l’Ancienne chapelle avant l’installation

Philippe dans mon bureau pour les derniers préparatifs

Gabriel Peytour en train de filmer ses œuvres

Le décrochage du faux plafond

La « Divine » histoire surréaliste de Saint-Pol-Roux

Par Philippe Belleney

Sa vie 

Etrange histoire que la vie de ce poète aujourd'hui méconnu qui commence à Marseille pour finir au bout du monde, à Camaret (presqu'île de Crozon, Finitère).

 

Né en 1861 dans une famille d'industriels marseillais, il monte à Paris, études de lettres en poche et fréquente les milieux littéraires parisiens où il rencontre Mallarmé. Trouvant ce milieu trop 'snob', il part pour Bruxelles puis pour Camaret ! Où il s'établit dans une petite maison encore visible appelée « La chaumière de Divine ». Divine, cette fille qu'il a chérie et qui sera son flambeau jusqu'à la fin, fin tragique, on ne peut plus tragique.

 

Pour concrétiser son vers « Ici, j'ai découvert la vérité du monde », il fait construire à l'extrême pointe de ce monde un manoir où il s'établit pour écrire, écrire et encore écrire.

Pourtant  dans cet univers paisible qu'il passe entre son bureau et les pêcheurs du village de Camaret recevant fréquemment des artistes et des poètes dont André Breton, le drame se prépare inexorablement.

 

Juin 1940, les allemands arrivent en Bretagne et dans la nuit du 22 au 23 juin, un soldat allemand entre dans le manoir isolé, tue la femme de chambre, blesse et viole Divine et roue de coups le poète. Le 14 octobre, les allemands finissent de piller le bâtiment et détruisent l’œuvre littéraire et les manuscrits de Saint-Pol-Roux.

Apprenant l'élimination de toute sa vie, le poète décline et meurt quelques jours plus tard.

Le manoir est détruit par l'aviation alliée en 1944.

Visitant les lieux, les traces laissées par Saint-Pol-Roux sont encore emplies de mots et de phrases oniriques.

 

Prédécesseur des surréalistes, ceux-ci l’encensèrent grâce à sa poésie à cheval entre le classicisme naturaliste et le modernisme. De nombreuses rencontres se noueront entre les peintres et les écrivains de ce mouvement et le poète déjà âgé pour cette jeunesse en pleine explosion.

 

Extrait d’une poésie de Saint-Pol-Roux 

« L’ange de ma solitude »

Mage aux longs diamants cueillis dans le mystère

Et que ma foi propose à l'homme encore obscur

J'ai reçu ta beauté de la magique terre

En laquelle m'espère mon sceptre futur...

Saint-Pol-Roux dans son manoir en compagnie de Stéphane Mallarmé et André Breton. Collage virtuel de Philippe Belleney et Didier Leplat (2017)

J'allais, plein d'elle.

Son nom ?

Le sais-je !

L'inconnue.

Existait-elle seulement ?

Elle, sans plus.

J'allais...

 

Je m'arrêtaisv devant une porte, la porte d'une

chambre, dans un logis, en une ville, que je ne

Saurais retrouver, ni la ville, ni le logis, ni la

Chambre, ni la porte.

 

M'avait dit, à la première marche de l'escalier,

un nain si parvule que j'étais comme aveugle

Le bref instant de sa phrase.

 

Je frappe.

Toc...

Rien !

Saint-Pol-Roux

Le port de Camaret au temps du poète

Mélanie Casano entre au musée d’art religieux de Sées (61)

Suite à son exposition très remarquée dans la magnifique église de Saint-Céneri-le-Gérei (61) lors du week-end de la Pentecôte 2016, les « Amis du musée d'art religieux » de Sées se sont portés acquéreurs de la toile « Présences » pour faire découvrir au public des œuvres d'art contemporain traitant le thème très cher aux artistes « l'âme et le spirituel ».

 

Après une visite à son atelier de Nogent-le-Rotrou, le choix s'est porté sur cette belle grande toile qui a été présentée aux membres de l'association le 5 février en présence de l'artiste.

Pendant la cérémonie

« Présences » de Mélanie Casano

Exposition

Bonneval (28), Espace Martial Taugourdeau 

 

Marie VDB nous présente son univers très particulier, issu des rêves et des mondes parallèles que l'on côtoit ou pas. Parti d'un chapitre de son livre  « Claire de lune », l'artiste a imaginé un cube, installation lumineuse et sonore dans lequel on pénètre pour s’immerger dans un autre espace. « Le cœur diamant » narré par la petit Claire nous peint la rencontre des différents éléments et des esprits de la nature qui tissent des liens avec les dimensions de l'invisible.

 

Les esprits quant à eux sont bien visibles sur leurs socles dans cette belle salle aux pierres séculaires, « petites bestioles » étranges à la peau brillante et transparente de profondeur.

Le cube a été créé pour abrité des œuvres différentes, modulables, en participation pour certaines avec l'artiste Mélanie Casano dans le but de proposer ce concept en location aux services culturels.

 

Cette exposition est à voir et à revoir sans modération.

Ouverture aux heures de l'office de tourisme de Bonneval.

Les  samedis de 14 à 18 h en présence de l'artiste.

 

Espace Martial Taugourdeau

Square Westerham - 28800 Bonneval

(Derrière la mairie)

Pour exposer aux Indépendants du Perche, vous pouvez vous inscrire jusqu’au 10 mars en cliquant ici

Chapelle-Guillaume (28) 

Lazelle’s culture organise sa 8e exposition de peintures et sculptures à la salle les Sinelles les 20 et 21 mai 2017. 5 prix seront remis lors de l’inauguration.

Renseignements et inscriptions avant le 6 mai 2017.

gerout.bernard@orange.fr - 0624438806

Et toujours notre dernier Hors-Série

L’étrange histoire de Zela’r Mor

Par Philippe Belleney

et Didier Leplat 

 

Douze sculptures pour une histoire, douze signes pour l’aboutissement. Du haut des chapiteaux de l’abbatiale de nos pensées se sont détachées les stances de Zéla.

Les sculptures en pierre de Philippe Belleney et les univers 3D virtuels de Didier Leplat sont deux mondes pourtant très éloignés mais finalement si proche !

Ce fut un sacré challenge de rassembler les univers de ces deux artistes !

Cette promenade que Philippe et Didier vous proposent a plusieurs sens, à vous de découvrir les vôtres.

Brochure 28 pages plus couverture

Format 21 x 29,7 cm

12 euros + port (3 euros)

Alors... Voilà...

Entrer en « L’étrange histoire

de Zéla’r Mor »

ne peut se faire

en toute innocence...

Te voilà prévenu !

Les deux compères en pleine préparation et cogitation chacun dans son domaine d’activité.

L’un avec sa massette et ses ciseaux,

l’autre avec sa souris et son appareil photo

A commander sur le site de l’Aéropage : 

www.lareopage.com

N’hésitez-pas à cliquer sur les photos pour les agrandir

 

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