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Mai 2017 - Peuple et gouvernants

Edito

Par Philippe Belleney

 

Drôle de réunion, le peuple met à sa tête des gouvernants qui l'exploitent. Par élection, par dynastie, par tradition, le chef guide la masse vers son porte-monnaie pour s'enrichir de la sueur des exploités. De loi en loi, la pression se fait plus intense, d'impôts en impôts le peuple s'appauvrit et inévitablement éprouve le besoin de renverser le chef.

 

Dans notre beau pays très riche, les remises à niveau ont commencé il y a longtemps avec les «Jacqueries» et puis se sont succédées à une cadence de plus en plus rapprochée : 1789 la grandiose, 1848 l'inachevée, 1870 la commune, 1936 la populaire, 1968 l'intellectuelle, tout cela entrecoupé d'une bonne guerre. Le monde est agité, tout de même !

 

De toute cette contestation, il fallait en sortir. Un rusé renard, à défaut de pouvoir supprimer la guerre, se pencha sur la révolte. Réfléchissant sur la maxime qui coûta la tête à Louis 16, « le peuple n'a pas de pain ?, donnez-lui de la brioche !», ce fieffé goupil se dit : « si le peuple a toujours du pain, l'estomac plein, il sera docile ». Ainsi, le troisième jour créa-t-il le « rmi ».

 

De cette merveilleuse idée est née une période plutôt calme, où les pauvres restent pauvres mais n'ont plus faim et même deviennent obèses, où les riches s'enrichissent encore plus en augmentant lentement le nombre de semi-pauvres, où le CAC 40 explose ses dividendes. Bravo, Renard !

 

Mais voilà, du haut de son nuage, notre savant calculateur voit avec effroi des grains de sable envahire sa belle mécanique. L'explosion de son parti, la totale pagaille démocratique, la gauche ne sait plus si elle est de droite, la droite ne sait plus si elle est de gauche et vice versa. Que faire ?

Et ce nouveau virus qui apparaît, « la Macronite » qui pousse les gens à livrer leur argent aux banquiers. Que se passe-t-il ! Comment cela va-t-il finir ?

 

Dans ces moments-là, vaut-il mieux être le peuple ou le gouvernant ?

Le mois de mai

Texte et dessin Alain Isenegger

Le mois de Mai

C’est le mois du muguet

C’est la fête du travail

Celui des batailles

 

A choisir

Je préfère le muguet

Les bars et estaminets

C’est pas le mois des patrons

Mais celui des chansons

Des oiseaux

Des coquelicots

Des manifestations

Des concerts et klaxons

Des défilés

Toujours de la productivité

Des embouteillages

Parfois des blocages

D’un nouveau gouvernement

D’un grand chambardement

 

Mai bon

Dans mon jardin

Tout le monde mange à sa faim

Parce que régulation

Et non compétition

Plaisir

Et désir

C’est mon secret

Et à jamais je le garderai...

La journée d’un prolétaire

Texte et dessin de François Lebert

« L’un : Tu es le plus intelligent, c'est ça ?

Bien au-dessus de nous tous ? Tu ne seras jamais au-dessus.

Ce n'est pas parce que l'on a le dessus que l'on est au-dessus.

Si tu te débrouilles bien, si tu as beaucoup de chance, tu peux éventuellement être dedans. Jamais au-dessus, juste dedans, et être dedans c'est déjà pas mal, parce qu'être dedans, c'est ne pas être en dessous...

et si tu refuses d'être dedans, si tu objectes quoi que ce soit,

ce système te mettra en dessous, encore plus bas.

Tu as beau trouver triste ce constat, je ne vois pas comment tu peux y réchapper.

A part un grand bouleversement du monde, à part une gigantesque révolution, je ne vois pas comment tu peux y réchapper... Et une révolution – n'y compte pas de sitôt.

Tant que nous serons dans la trappe démocratique – aucune révolution possible.

Tu ne t'en sortiras pas tout seul, parce que note ça, tu es tout seul, tout seul dans ton coin. »

 

Scène 10, l'Un et l'Autre « Erich Von Stroheim »

une pièce de théâtre de Christophe Pellet

mise en scène par Stanislas Nordey 

 

Mercredi 3 mai 2017 

Toujours un ciel couvert sur mon trajet...

C'est en suivant la silhouette gracieuse de Sophran, princesse d'origine cambodgienne, puis en écoutant le chant d'un oiseau que je suis rentré dans l'atelier...

Mais qu'ont-ils fait de ma révolution ?

La révolution, c'est Macron !

Alors reprends au plus vite ton train train quotidien et fait nous plus chier !!!

On n'en a rien à branler de la misère galopante !!!

 

6h30 

Sur la machine à usiner, rien n'a bougé, j'ai devant moi une journée de production, ça devrait être tranquille...

Vous savez que ma vie est belle, ne vous l'ai-je pas déjà dit ?

J'ai été faire un petit tour d'atelier, saluer comme il se doit la beauté de Nathalie, de Sylvie, d'Annabelle, de Jennifer, mais pas de traces d'Isabelle...

 

7h 

Je suis en panne ! Enfin la machine plutôt !!!

La panne 21, un détecteur sur le boîtier des cames qui gèrent la remontée de l'attelage supérieur, il est plus ou moins HS...

 

8h 

Chouette, un jeune mécano est intervenu rapidement, et ça repart !

La prière du petit prolo :

tout ce qui aide à vivre est béni,

tout ce qui empêche la vie de s'épanouir est maudit à jamais.

 

8h35 

Ce qui est quand même dingue, c'est qu'aujourd'hui, le simple fait d'avoir à manger, un toit, un travail, un accès à des soins médicaux de base, tout ça, même dans l'un des 8 pays les plus riches du monde, c'est devenu un privilège !

Je suis donc un pauvre privilégié, et j'ai même quelques amis.

Hier après-midi, Christian, mon copain le metteur en scène de films d'animaux, est passé me voir, on a bien papoté, il m'a montré des images d'oiseaux qu'il a tourné dans son jardin, et moi, durant mes promenades, j'enregistre le chant des oiseaux, c'est cool !!!

Je lui ai passé un CD de Higelin, le dernier album, il est superbe, le journal Fakir, un livre de mon copain Didier Leplat et un CD des Inrocks... Après son départ, je suis passé en mode repos...

 

8h40 

Isabelle est passée, son sourire est la confirmation d'un bonheur personnel.

Hurle le loup !

Tremble sombre mortel !

Les mots d'un fou s'enfuient à tire d'ailes...

 

9h45 

Incident sérieux :

la broche du poste 2 a décroché avant la fin du brochage,

comme si elle avait des difficultés au niveau de la finition du brochage, j'ai bien vu qu'il manquait plusieurs dents à ce niveau de l'outil...

La vétusté de ma bécane ne fait aucun doute.

Et parfois je me demande si moi aussi je ne serais pas en train de prendre du jeu.

N'anticipons pas, à chaque jour suffit sa peine...

 

10h30 

Petit casse-croûte, mais gros plaisir !!!

 

11h23 

Entre la poussière que je soulève et celle qui se reposera sur moi,

j'ai le temps d'écrire n'importe quoi et je ne me gêne pas !

Saute sur ton cheval de joie et retourne chez toi, là-bas au fin fond de la Bretagne, là où la mer s'élance vers le ciel, envole-toi comme un goéland, en poussant des cris démentiels, on ne meure qu'une fois, mais c'est pour la vie.

 

13h 

J'ai été rejoindre des collègues, Sophie et JMB, pour discuter un peu.

Dehors le ciel est gris...

Condamner l'accusé, à purger lourde peine, casser des cailloux à Cayenne...

 

13h20 

C'est finit pour aujourd'hui le bagne :

à moi la liberté provisoire !

L’aphorisme du moi(s)

Par Guy Coda

Présidentielle 2017 : ne nous Fillon pas à l’arrogance des républicains, ils avaient trop de casseroles pour gagner !

Quant aux socialistes, faute d’avoir assez regardé en Hamon, le peuple ne leurs a pas donné son aval !

Alors ne Mélenchon pas tout : ceux qui ne veulent pas s’engager dans la marine n’ont plus qu’à se mettre en marche !

Billet d’humeur post-électoral

Par Guy Coda

Quand je vois, à chaque échéance électorale, une droite déliquescente nous rabâcher depuis quarante ans que son programme est le meilleur et qu’il faut voter pour elle, avec les résultats que l’on sait !...

Quand je vois un parti socialiste faire la même chose en essayant en plus de nous faire croire qu’il est de gauche !...

Quand je vois une extrême droite atteinte de paranoïa aigüe fouler aux pieds les valeurs humaines les plus élémentaires !...

Quand, donc, je suis forcé de constater que tous ces gens là ne se battent – à coups de mensonges et de promesses non  tenues - que pour la défense de leurs privilèges,

Je me dis qu’il faut décidément être aveugle ou alors très con pour continuer à voter pour eux !

Quand je vois écoliers ou lycéens régler maintenant leurs comptes au couteau,

Quand je vois les ravages que la sacro sainte télé - à coups d’émissions people, téléréalité, politique spectacle et autres films où le muscle remplace les cerveaux – provoque sur notre quotidien,

Quand je vois la barbarie la plus épaisse progresser à pas de géant un peu partout dans le monde,

Je me dis que le seul outil, -mais le plus sûr, le plus évident- est de défendre et développer le plus possible, le plus vite possible, et le plus profondément possible, la culture et l’éducation.

Faute de quoi nous périrons.

Mes moments « Mai 68 »

Texte et photos de Didier Leplat

Mai 68... J'avais 16 ans, j'étais en classe de 3e au lycée de Bois-Colombes et c'était l'année du BEPC… 

 

A côté de chez mes parents, il y avait une station service et je me souviens des queues interminables de voitures. Leur conducteur les poussait manuellement pour ne pas gaspiller le peu d’essence.

 

Je me souviens aussi des discours du Général de Gaulle à la télé.

 

Ma soeur, 3 ans plus âgée que moi et inscrite à la fac de Nanterre était aux premières loges avec Daniel Cohn-Bendit. Elle se rendait presque tous les jours au quartier latin pour assister aux conférences et aux meetings (AG), le tout entre deux manifestations…

 

A mon niveau, la rigueur familiale avec ma mère qui me couvait énormément, fit que je fus interdit d'y aller... prudence oblige !

 

De La Garenne-Colombes, il fallait prendre le train « aux Vallées » direction St-Lazare. Un jour où il n’y avait pas grève des trains et sous un prétexte quelconque qui ne me revient pas, je passais outre les ordres maternels et me rendis dans les quartiers « chauds »... l'Odéon, la Sorbonne, l’école des langues « O ».

 

Pas de chance pour moi ce jour là, il n’y avait pas de manifs ! Cette déception, plus la pluie qui s’était invitée, ne m’empêchèrent pas de capturer quelques images glanées par ci par là, surtout entre l’Odéon, le théâtre de la Sorbonne et la rue de Lille.

Pour les manifs, en fait, je dus me contenter de celles (bien sages !) des employés de l'usine Hispano Suiza de Courbevoie qui défilaient à La Garenne-Colombes juste à côté de chez moi. Là, je fus aux premières loges pour immortaliser ces supers moments.

 

Bien évidemment, j'ai eu mon BEPC... Je me demande d'ailleurs qui ne l'a pas eu cette année !

 

Ce furent ces événements de mai 68 qui me permirent ainsi de découvrir la photo de reportage.

 

Vidéo sur Cohn-Bendit et la CIA : 

https://www.youtube.com/watch?v=oa3vkP412gA 

 

Mai 68 - La contestation : 

https://www.youtube.com/watch?v=BcDCsCGdOm4 

 

Discours du 24 mai 1968 du Général-de-Gaulle : 

https://www.youtube.com/watch?v=dIZ6cpQzjoM 

 

Discours du 30 mai 1968 du Général-de-Gaulle :

https://www.youtube.com/watch?v=mfSN462bKMc

Licenciez l’armée !

Entre deux cars de CRS devant l’Odéon, belle image évoquant bien les moments de Mai 1968

Le quartier de la Sorbonne et de l’Odéon sous haute surveillance

Le Général-de-Gaulle à la télévision

Mai 68 à La Garenne-Colombes - Défilé de revendication des ouvriers de l’usine Hyspano-Suiza de Courbevoie

La queue aux pompes à essence à la station de La Garenne-Colombes

Une R8 brûlée la veille

Un lot d’affiches révolutionnaires de Mai 68

Où du bon usage des pavées !

De nombreux visiteurs « Aux Indépendants du Perche »

L’exposition s’est déroulée du 15 au 23 avril dans les sous-sols du château de La Loupe comme les années précédentes. 

 

Beaucoup d’artistes cette année avec 50 participants qu’il a fallu placer au mieux dans une harmonie globale répartie selon les pièces du château.

 

Un vernissage au top avec pas loin de 90 personnes qui ont comme de coutume « refait le monde », surtout en cette période pré-électorale. La clôture de l’exposition se faisant le jour du premier tour des élections présidentielles !

 

La période des vacances scolaire ne fut pas toutefois propice à nous apporter beaucoup de visiteurs en semaine. Heureusement ceux-ci se sont davantage pressés pour venir les week-ends.

 

Une œuvre fut vendue tout de même et les artistes ont tous été satisfait du bon déroulé très convivial de cette manifestation. 

De bons contacts ont été noués et de nouveaux artistes ont été contactés pour participer à l’édition 2018 qui se fera comme tous les deux ans en même temps que le festival d’aquarelle organisé par l’Office de tourisme.

Merci Marie VDB pour cette petite vidéo

Alain Isenegger nous recevait pour ses journées

« Portes ouvertes » les 6-7-8 mai

Les portes ouvertes sont terminées. 170 visiteurs sont entrés dans son atelier et ensemble, ils ont pu discuter « Art », et échanger sur leur façon de voir le monde.

 

Alain va se replonger aussitôt dans la création, il pense réaliser une dizaine de peintures sur l’hôpital.

Il compte aussi rouvrir son atelier pour présenter d’autres travaux.

L’information sera publiée sur sa page Facebook, sur son site alain-isenegger.com, aussi dans l’Ego du moi(s) et peut-être dans la presse locale, mais si vous voyez la porte de son atelier ouverte, n’hésitez pas, entrez. Vous serez toujours bien accueillis.

Les expositions et manifestations à venir

Conie-Molitard (28) Le jardin des contes

L'édition 2017 du jardin des contes se prépare d'arrache-pied. Après avoir subit un contre-temps sérieux, il a fallu abattre un grand saule qui menaçait la sécurité du public, le jardin des contes est bientôt prêt pour l'ouverture aux scolaires. Jean Jacques Silvestre, conteur et les deux artistes intervenants Chloé Dumontaud et Philippe Belleney ont transfiguré le lieu en tirant parti de cet arbre coupé qui a donné plusieurs stères de bois et mètres cubes de copeaux éparpillés sur le terrain.

 

Le thème choisi pour cette année est le conte allemand Hansel et Grethel, proche de celui du petit poucet qui fait allusion à l'époque pas si lointaine où les enfants n'avaient pas la même valeur morale qu'actuellement. Abandon, esclavagisme voir canibalisme, il était dangereux d'être un enfant pauvre à cette époque.

« Paysage, de l’urbain au maritime » :

Annick Maroussy à l’Espace Photo du Perche

Depuis sa reconversion comme photographe, en 1993, Annick Maroussy partage son temps entre Paris et Étretat où elle a créé l'association Sténop'Amy et dans laquelle elle transmet ses connaissances sur le sténopé. À Paris, elle enseigne le reportage photographique le soir au CMA Mairie de Paris et travaille dans la journée à l’un des nombreux livres qu’elle a publiés, la plupart avec sa complice Lucienne Deschamps, sur l’art des jardins, la botanique ou les procédés photographiques alternatifs, une autre de ses passions.

L’exposition « Paysage, de l'urbain au maritime », présentée à l’espace photo du Perche jusqu’au 29 juin, propose un voyage onirique, de Paris jusqu'à Ouessant en passant par Étretat et Belle-Île-en-Mer. Vingt-cinq photographies composent ce voyage dont une vingtaine de sténopés. Les tirages sont réalisés en procédé Fresson, numérotés et limités à cinq exemplaires. Quelques monotypes, sténopés 8"x10" sont proposés en tirage Lith avec virage sélénium/or, réalisés par l'auteure.

 

Exposition du 6 mai au 29 juin 2017

Espace Photo du Perche - 9 rue Ville Close – 61130 Bellême

Du mardi au samedi de 10h à 12h et de 14h à 18h30

Le premier dimanche de chaque mois de 11h à 15h.

Pour plus de renseignements sur la photographe : www.annickmaroussy.com

Les photos de Carol Descordes

à Bois Landry (28)

Françoise Valade à la Librairie du Coin à Châteaudun (28) en mai

Françoise Valade expose son travail autour du papier à la forme et de ses papiers découpés, à la librairie du coin à Châteaudun.

 

Vous pourrez la rencontrer tous les vendredis de 17h à 18h30 ou sur rendez-vous.

Elle fera à cette occasion une démonstration de paper cut.

Et du 6 au 17 juin à l’Espace Musique de la médiathèque de Châteaudun 

 

contact : 

Françoise Valade : 02 37 97 12 04

Librairie : 02 37 45 71 49

Les « actus » de nos jeunes artistes : ça bouge !

Mélanie Casano, du 18 mai au 22 juin à la boutique de décoration « De rouille et de bois » rue de Chartres à La Loupe (28).

 

Mélanie Casano et Marie VDB :

 

- Samedi 20 mai, marché artistique de Nottonville (28)

dans le parc du château.

 

- Du 22 mai au 22 juin au syndicat d'initiative

de Courville-sur-Eure (28)

 

- 3 et 4 juin, festival d'art singulier de Meauregard (61)

 

suivons également leurs traces sur facebook.

Mélanie : https://www.facebook.com/melanie.casano?fref=ts

Marie VDB : https://www.facebook.com/marie.vdb.14?fref=ts

Et toujours notre dernier Hors-Série

L’étrange histoire de Zela’r Mor

L’étrange histoire de Zela’r Mor

Brochure 28 pages plus couverture

Format 21 x 29,7 cm

12 euros + port (3 euros)

Alors... Voilà...

Entrer en « L’étrange histoire

de Zéla’r Mor »

ne peut se faire

en toute innocence...

Te voilà prévenu !

Par Philippe Belleney

et Didier Leplat 

 

Douze sculptures pour une histoire, douze signes pour l’aboutissement. Du haut des chapiteaux de l’abbatiale de nos pensées se sont détachées les stances de Zéla.

Les sculptures en pierre de Philippe Belleney et les univers 3D virtuels de Didier Leplat sont deux mondes pourtant très éloignés mais finalement si proche !

Ce fut un sacré challenge de rassembler les univers de ces deux artistes !

Cette promenade que Philippe et Didier vous proposent a plusieurs sens, à vous de découvrir les vôtres.

L'ennui : L’étrange histoire de Zela’r Mor
Philippe Belleney et Didier Leplat en pleine cogitation

Les deux compères en pleine préparation et cogitation chacun dans son domaine d’activité.

L’un avec sa massette et ses ciseaux,

l’autre avec sa souris et son appareil photo

A commander sur le site de l’Aéropage : 

www.lareopage.com

N’hésitez-pas à cliquer sur les photos pour les agrandir

 

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