Pas d’inquiètude ! 

Vous ne recevez pas/plus notre newsletter, vérifiez dans vos messages indésirables (spam)

si elle n’y est pas.

Dans tous les cas vous pouvez aller sur notre site pour la lire : www.lareopage.com

 

Nous remercions tous les lecteurs qui nous encouragent à chaque parution.

L’Ego du moi(s) Vidéo

sur

 

- Avec l’actualité des expositions

- Avec des petites vidéos

Cliquez sur la photo pour y accéder

Octobre 2017 - La forme du monde

Edito

Texte et photos Philippe Belleney

La forme du monde 

 

La forme du monde est-elle liée à notre position initiale, présente ou future ? 

 

Placés à l'extérieur, au grand air, nous n'en avons pas la même vision que si nous le regardons de l'intérieur.

 

Dans un grand télescope à miroir ou par le petit bout de la lorgnette, notre reflet perpendiculaire à l'axe de rotation donnera le vertige si nous nous laissons dériver dans l'espace-temps.

 

Assis au bord de la mer, la grande, la ligne de l'horizon lointain est plate, plate, plate. La terre ne serait-elle pas ronde comme le montre les photographies satellite ? D'abord, si elle était ronde, la mer descendrait, descendrait, mais ne pourrait jamais remontée sauf par un effet de bilboquet. Nous serions obligés de la suivre pour profiter du bienfait de ses eaux salées. Par là même, dans les profondeurs obscures des gouffres souterrains, la vision disparaît, il n'y a plus d'horizon, le temps s'efface, les formes s'estompent, le silence envahit les cavités. Passer de l'un à l'autre, de l'autre à l'un, réveille les traces infinitésimales de nos passés cellulaires. De l'amibe à nous même, les formes se sont différenciées jusqu'aux confins de l'univers, de manière aléatoire ou pas.

 

Aléatoire, j'aime bien cette vision, elle laisse une jolie place au rêve.

Je vous dis qu’elle est plate !

J’enfonce dans la boue du gouffre

Textes et dessin de François Lebert

J'enfonce dans la boue du gouffre,

et rien où prendre pied ;

je suis entré dans les profondeurs des eaux,

le courant me submerge.

Je me fatigue à crier,

mon gosier est en feu,

mes yeux se consument d'espérer en mon Dieu.

Plus nombreux que les cheveux de ma tête

ceux qui me haïssent sans raison.

La mort est leur métier... 

 

Patrons, banquiers, hommes politiques, ils ne veulent tous qu'une seule chose, notre mort ! Ils nous prennent pour de la merde afin de mieux nous marcher dedans, du pied gauche évidemment !

 

Ils sont même capable de nous transformer en bêtes immondes et racistes si ça peut leur rapporter gros... De supprimer des lits d’hôpitaux pour mieux remplir des coffres dans leurs paradis fiscaux...

 

Leurs sourires ne sont que des grimaces pour nous endormir

juste avant de nous administrer un coup fatal. La mort est au bout de leurs matraques, de leurs grenades,  de leurs 49/3, de leurs ordonnances...

 

Notre mort, c'est leur ouvrage principal, un travail à plein temps... Dans un monde où l'argent est roi, toute preuve d'humanité doit impérativement se transformer en espèces sonnantes et trébuchantes...

 

Je fais le mort parce que la seule réponse que mon envie de vivre reçoit de cette société, c'est un silence, un silence de mort...

Société de l'absurde qui ne secrète que de la mort...

Aucune vie n'est possible sous les roues des voitures,

entre les mains d'un trader ou sous le joug d'un dictateur.

Dans ce monde-là, toute forme d'humanité est condamnée à mort.

 

Plus le chômage s'impose, plus le CAC 40 explose ! 

 

Mon désir de joie et de paix n'est qu'un combat permanent

contre cette volonté de tuer toute humanité en nous...

 

La mort est leur métier, ils veulent tous nous sucer jusqu'à la moelle, nous faire crever à petit feu est le plus cher de leurs désirs... Ils n’ont même pas besoin de nous élever puisque l'on se reproduit tout seul !

Alors nous allons et venons pour regarder partir notre vie en vague fumée noire... Pas un bruit, pas un mot, pas une pensée qui dépasse, de toutes façons, dans ce monde-là, penser, c'est dépassé...

 

Des branches tombent des arbres, la terre tremble, se lézarde,

des cris, des corps, des vies s’enfoncent dans le malheur sans faire de bruit, la pluie, le vent, les tornades emportent au loin nos déchets, nos excréments, la douleur ne s'efface pas, mais les joies et les peines disparaissent avec le temps.

 

Il ne me reste plus qu'à célébrer la beauté de ce mystère infini,

sans chercher à en savoir trop...

 

Pour ceux qui salissent la vie, je n'existe pas... Dans ma citadelle intérieure, je lève mes couleurs...

 

On ne sait jamais ce qui se passe dans la tête d'un poète,

surtout quand le soleil se lève...

Optimiste, j’aimerais bien…

Par Alain Isenegger

Dernièrement un ami m’a dit :

 

« Alain, ta vision du monde est un peu pessimiste, essaie d’y mettre un peu plus d’optimisme »

 

Je l’ai écouté, je l’ai compris, mais il y a toujours la vérité qui tue…

 

1 % de la population dans le monde détient 99 % des richesses de notre planète.

L’aphorisme du moi(s)

Par Guy Coda

Les bretons prétendent que le soleil se lève à l’est et se couche à Lorient.

La terre s’arrêterait donc là

Sans aller jusqu'à reprendre les paroles d'un titre célèbre, ma réflexion de Terrien en détresse se pose ici

Par Marie VDB

Il est difficile, au bout d'un certain temps, de faire abstraction totale des événements et actualités qui polluent notre planète et met en berne la notion même d'humanité.

 

Pourtant, après avoir tournée et retournée toute cette cochonnerie, m'être penchée sur la question de ce qu'est vraiment l'être humain, j'en retire toujours des bribes d'espoir.

 

Nous sommes des mammifères ayant évolué, peut-être grâce à nos doigts opposés (la pince magique de nos mains) pour commencer à fabriquer de menus objets, puis des peintures rupestres, puis l'écriture. Il va sans dire qu'arrivé à la narration d'un texte construit, l'Homme devait avoir acquis une pensée abstraite. Une révolution ! Nous sommes des Etres en permanence en recherche de réponses, curieux, inventifs, emphatiques. D’ailleurs notre cerveau nous dote des neurones miroirs en concentration suffisamment abondante pour apprendre en permanence de l'autre, le comprendre et même ressentir ses émotions.

 

Il est vrai que l'actualité met en avant des faits pour le moins abjectes et rarement les belles initiatives, les petites choses de tous les jours qui font que notre humanité est belle. L'Homme est duel, certes, mais je rencontre tous les jours des gens formidables, qui parfois font des erreurs, qui parfois sont cons, mais qui au final, par leurs actions ou leurs réflexions, apportent une pierre à ce bel édifice.

 

Je ne crois pas me voiler la face en pensant que l'Etre humain est fait de grandeur. seulement, on retient plus facilement les choses laides.

Is, le gardien endormi (Photo Philippe Belleney)

Nous sommes « duel », c'est un fait. Et la peur est un poison pour l'Homme. Comme les animaux, lorsque la menace est là, ou il fait le mort, ou il attaque. Dans son dernier choix, il peut aussi choisir d'être un rempart contre la cruauté et les inégalités.

A nous de choisir quelle voie nous souhaitons emprunter, et quelle voix écouter.

Un monde fou !

Texte et photos de Didier Leplat

Je n’avais pas encore 12 ans, et j’étais déjà inscrit dans un club d’astronomie aux Arts et Métiers à paris. Il s’appelait le « Club des jeunes techniciens ». Je m’y rendais tous les samedis après-midi et mon plaisir était toujours à son apogée.

 

Après le train de banlieue et le métro, l’entrée au musée des Arts et Métiers se faisait par une petite porte. Celle-ci franchie, un autre univers se présentait à moi. Pour nous rendre dans la salle réservée au club, nous devions en effet traverser des anciennes salles du musée fermées au public. Il y avait des choses extraordinaires à regarder, des machines fabriquées avec du bois et du laiton, des engrenages, ou par exemple je m’en souviens bien, un théodolite tout en laiton affublé d’un boîtier photo… Bref un univers magique quand on n’a pas 15 ans et que tout vous passionne, la photo, la technique et l’astronomie entre autre !

C’était du steampunk avant l’âge !

 

Alors quoi de mieux pour vous parler de la forme de la Terre

que de vous parler d’astronomie. 

Cette passion était aussi alimentée par la conquête spatiale et la course à la Lune que se livraient les russes et les américains. C’était l’époque « Gemini » avec les premières sorties extra-véhiculaires. Cela me faisait rêver qu’un jour, moi aussi, je pourrais contempler la Terre vue de là-haut ! J’avais 12 ans et tous les espoirs étaient envisageable à la vitesse où s’enchaînaient ces exploits.

 

Etudier les astres permet aussi d’en apprendre beaucoup sur la Terre. C’est ce qui se passait dans ce club où notre maître nous enseignait par la pratique les rudiments. La place de la Terre dans le système solaire, son inclinaison qui génère les saisons, le travail de la Lune pour les marées et l’équilibre général de rotation de notre planète… Tout cela n’avait plus de mystère pour moi.

La forme de la Terre on le sait est légèrement aplati sur les pôles, on la compare souvent à une orange.

Durant les trois années passées au club, j’ai construit un télescope en polissant moi-même le miroir. J’y ai adapté une monture équatoriale pour permettre les suivis d’étoiles en rendant l’axe de rotation du télescope parallèle à l’axe de rotation de la Terre. J’ai appris les poses longues, admiré les éclipses de Lune, et quelque fois celles du soleil. Je me souviens de ce jour, ou plutôt ce matin vers quatre heures, où j’ai pu admirer, avec une petite lunette astronomique que j’avais fabriquée, Saturne qui passait derrière la Lune : somptueux, inoubliable, quand tout à coup, au ras des cratères lunaires, surgit cette belle planète avec ses anneaux.

 

Et quoi de mieux pour apprendre le monde

que d’étudier la Terre et l’univers. 

Les Grecs du temps de Eratosthène, environ au 3e siècle avant Jésus-Christ, avaient étudié avec leurs moyens (Pythagore était passé par là !), les phénomènes célestes simples et par la logique de l’observation et des calculs en avaient conclu que la Terre était ronde, ils avaient réussi à déterminer son diamètre ainsi que la distance qui la séparait de la Lune et du soleil.

 

Quand la religion s’en mêle 

Malheureusement, les romains prirent ensuite le pouvoir et toutes ces connaissances s’estompèrent petits à petits. D’autant que les chiffres romains n’aidaient pas à faciliter la pratique des mathématiques : c’était très compliqué, essayez de multiplier ou diviser en chiffres romains ! La religion et le moyen âge en ont remis une couche, et il fallut attendre Galilée vers 1600 pour tout remettre en question… Mais avec beaucoup de difficultés engendrées par l’Eglise.

 

L’argent et la finance au pouvoir  

Aujourd’hui en 2017, on peut dire que le monde n’est pas en forme. L’homme gaspille, pollue de plus en plus, même si une minorité commence à en prendre conscience. Un monde dominé par l’industrie du pétrole et son système d’agriculture chimique qui tue petit à petit. Nous vivons au dessus de nos moyens, en pratiquement 7 mois, nous utilisons autant de ressources que la Terre ne peut en produire en un an, et cela s’empire d’année en année : le jour du dépassement cette année fut le 2 août. Un autre phénomène, c’est la prise de pouvoir de l’argent et de la finance qui en leur nom, pour la croissance et pour le bénéfice de quelques personnes seulement, écrasent tout, la terre et les humains en même temps. Cette politique à court terme arrive espérons-le à sa fin mais elle est très coriace et on en arrive à ce que ce soit l’homme lui-même qui gère l’évolution par ses actions. (L’anthropocène)

 

Cela permet de relativiser et de se rendre compte que l’être humain n’est vraiment pas grand chose, d’une part par son peu de pouvoir sur la mécanique quantique, d’autre part, par le peu de temps qu’il passe sur terre individuellement. Pourtant l’intelligence de l’Homme est si grande qu’il en arrive à s’auto détruire et cela en moins d’un siècle. Pourvu qu’il réagisse vraiment à temps, avant que sa destruction soit irréversible (Vidéo à regarder).

 

Le savant Stephen Hawking prédit quatre scénarios catastrophes les plus probables pour la fin du monde : la guerre nucléaire, le réchauffement planétaire, un virus créé par l’homme et la prise de pouvoir des robots.

Une de mes « Bissections symbolisantes » qui se prête à merveille à notre sujet mensuel !

Lunette astronomique avec sa monture équatoriale, gravure trouvée dans le livre « Comment étudier les astres » édité en 1908.

Une photo de Mars prise par le moniteur du club avec une petite chambre 9x12 cm au foyer d’un télescope de 200mm de diamètre, le même que celui dont j’ai poli le miroir.

La bible de tout photographe amateur qui se lance dans la photo astronomique. Dans les années 60, je le dévorais avec assiduité ! Cette édition date de 1952 !

Mes photos de l’éclipse totale de soleil d’août 1999.

Où tout cela va-t-il nous mener ? 

Je m’étais déjà penché sur le problème en créant un diaporama dans les années 80 « Le dernier retour » (CF newsletter de mars 2017).

 

Comme l’humanité ne cessera pas de progresser, il est important que nous soyons conscients des dangers de notre avancée au niveau scientifique et technologique et que nous les contrôlions, dit Hawkins. «Je suis un optimiste et je suis convaincu que nous pouvons le faire».Par contre pour le professeur Mathis Wackernagel, « ni l'austérité ni la croissance n'éviteront la faillite du système, le défaut de régénération de la Terre sera le facteur limitant de notre économie. », « Car la tendance finira par se renverser, que ce soit à dessein ou par désastre ».

 

La plupart des menaces qui nous guettent découlent de nos progrès scientifiques et technologiques et surtout de la croissance infinie.

 

De mon côté, je suis mitigé dans mes pensées, soit d’espérer que d’ici peu, une prise de conscience réveille l’humanité ou au contraire de craindre que rien ni personne n’arrive à empêcher cette auto-destruction.

Une de mes photos de la comète « Hale-bopp » prise en 1995 avec ma petite lunette de 50mm et un film hypersensibilisé. Cette comète était visible à l’œil nu et c’était un phénomène fantastique à regarder.

Fort de ses connaissances d’astronomie et de géographie, Erathostène mis au point une méthode purement géométrique pour estimer la circonférence de la Terre. Pour cela, il partit de la constatation suivante : « Dans la ville de Syène, à midi le jour du solstice d’été, le soleil éclaire le fond des puits ».

 

Que signifie cette phrase énigmatique ? Tout simplement qu’à Syène, le 21 juin à midi, le soleil est exactement à la verticale du sol (et que ses rayons peuvent donc atteindre le fond des puits.)

 

Le 21 juin, mais cette fois à Alexandrie, il observa l’ombre du Phare, et mesura l’angle qu’elle formait avec son sommet. Après avoir mesuré cet angle, Eratosthène fit ce qu’aurait fait tout bon élève de 5e, il fit une figure et appliqua un théorème de géométrie.

 

La figure ci-contre montre la surface de la Terre, et la manière dont les rayons du Soleil viennent la frapper le 21 juin à Syène (point A) et à Alexandrie (point B). D’après le théorème des angles alternes-internes, les deux angles en rouge sur la figure sont égaux.

 

L’angle au sommet du phare est donc égal à l’angle qui sépare les deux villes à la surface de la Terre.

Le calcul de la circonférence de la Terre par Erathostène en -200 avant JC

Puisque la mesure de cet angle par Erathostène à Alexandrie donne 1/50e de cercle, la distance entre Syène et Alexandrie vaut 1/50e de la circonférence de la Terre. Et pour calculer celle-ci, il ne nous reste plus qu’à connaître la distance de Syène à Alexandrie.

 

A l’époque, l’unité de mesure est le « stade » (chez les Egyptiens, il valait 157,5 m). La distance entre les deux villes est donc d’environ 5 000 stades. Et puisque cette distance vaut 1/50e de la circonférence de la Terre, c’est que cette dernière mesure environ 250 000 stades. Soit 39 375 km. Pas mal quand on sait que la véritable valeur est environ de 40 000 km !

Le monde après Monsanto ?

Univers virtuels de Didier Leplat

Alors que les preuves de la nocivité des organismes génétiquement modifiés (OGM) apparaissent au grand jour, les grandes firmes internationales de l’industrie agrochimique (comme Monsanto et Bayer qui figurent au premier plan) continuent de réprimer violemment les citoyens qui tentent d’amener un débat indispensable sur l’utilité sociale des OGM.

Habituées à dicter leur loi aux gouvernements, ces sociétés doivent maintenant compter avec un éveil civique susceptible de contrecarrer leurs projets.

En effet les OGM «passent» mal dans l’opinion, tout particulièrement en Europe. Aucune précaution n’est prise quant aux risques irréversibles pour l’environnement, la santé et la bio-diversité ; aucune étude scientifique n’a pu conclure ni à leur innocuité ni à l’absence de risques liés à leur dissémination accidentelle, ni même se prononcer sur leurs prétendus bienfaits.

Les grandes firmes du domaine, en premier lieu Monsanto, ont donc déployé une stratégie de contournement : il ne s’agit pas de prouver que leurs produits ne présentent aucun danger, mais de les promouvoir comme autant de remèdes aux problèmes de malnutrition et de santé publique du tiers-monde et, surtout, comme une solution de rechange à un péril, certes bien réel, celui des pesticides. Avec des «codes de bonne conduite» et autres « chartes éthiques » dont elles se dotent pour occulter ce qui reste leur unique objectif : garder les mains libres à l’échelle planétaire en vue de créer toujours plus de «valeur» pour l’actionnaire et supprimer l’autonomie des agriculteurs et des paysans en les rendant otages de leurs produits chimiques. Avec des campagnes publicitaires minutieusement élaborées et massivement financées, elles espèrent bien « retourner » les esprits récalcitrants.

Tous les moyens sont bons pour se faire de l’argent sur le dos des populations les plus fragiles, tout en affichant une parfaite bonne conscience.

D’après un texte d’Agnès Sinaï

L’actualité des expositions

L’expo « Les envoûtés » au château de La Loupe

Plus de 350 personnes sont venus jeter leur bille dans l’entonnoir de l’entrée de l’expo !

 

Beaucoup de compliments par des gens que nous avons réellement envoûtés !

 

Voici une petite vidéo de l’exposition si vous n’avez pas eu la chance de venir la voir.

Cliquez sur la photo

Pour lancer la vidéo

Exposition Face à Face : 

« Entre Beauce et Perche »

 

Pour le Perche : 

Jean-Pierre Champdavoine l’Aquarelliste/photographe 

Pour la Beauce : 

Francis Malbéte le Photographe/Peintre

 

Du 5 septembre au 28 Octobre

Chapelle Saint-Marc

Rue de la Chevalerie 28160 Brou

Renseignements : OTI: 02 37 47 01 12 -

Exposition du mardi au samedi de 10h à 12h et de 15h à 18h.

Et toujours notre Hors-Série

L’étrange histoire de Zela’r Mor

L’étrange histoire de Zela’r Mor

Brochure 28 pages plus couverture

Format 21 x 29,7 cm

12 euros + port (3 euros)

Alors... Voilà...

Entrer en « L’étrange histoire

de Zéla’r Mor »

ne peut se faire

en toute innocence...

Te voilà prévenu !

Par Philippe Belleney

et Didier Leplat 

 

Douze sculptures pour une histoire, douze signes pour l’aboutissement. Du haut des chapiteaux de l’abbatiale de nos pensées se sont détachées les stances de Zéla.

Les sculptures en pierre de Philippe Belleney et les univers 3D virtuels de Didier Leplat sont deux mondes pourtant très éloignés mais finalement si proche !

Ce fut un sacré challenge de rassembler les univers de ces deux artistes !

Cette promenade que Philippe et Didier vous proposent a plusieurs sens, à vous de découvrir les vôtres.

L'ennui : L’étrange histoire de Zela’r Mor
Philippe Belleney et Didier Leplat en pleine cogitation

Les deux compères en pleine préparation et cogitation chacun dans son domaine d’activité.

L’un avec sa massette et ses ciseaux,

l’autre avec sa souris et son appareil photo

A commander sur le site de l’Aéropage : 

www.lareopage.com

N’hésitez-pas à cliquer sur les photos pour les agrandir

 

Vous pouvez aussi relire les newsletters précédentes

Cette newsletter est une production de l’Aréopage - Les Indépendants du Perche ©2017

Toute reproduction même partielle est interdite sauf accord des auteurs

Google Analytics est un service d'analyse Web fourni par Google. Google utilise les données recueillies pour suivre et examiner l'utilisation de ce site, préparer des rapports sur ses activités et les partager avec d'autres services Google.

Google peut utiliser les données recueillies pour contextualiser et personnaliser les annonces de son propre réseau de publicité.

Données personnelles recueillies: données de cookies et d'utilisation. Lieu de traitement: États-Unis. Trouver ici la politique de confidentialité de Google.