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L’Ego du moi(s) Vidéo

sur

 

- Avec l’actualité des expositions

- Avec des petites vidéos

Mars 2018 - Mars, dieu de la guerre

L’Ego en visite sur Mars

Edito

Texte et photos Philippe Belleney

Chers amis lecteurs, nos reporters de l'égo du moi(s) vous proposent ce mois-ci l'interview exclusive de Rake d'''O,ü entitée martienne rencontré par notre équipe lors de son voyage sur la planète rouge.

 

L'égo : Que pensez-vous cher Rake d'''O,ü de notre amarissage surprise et inopiné ?

 

Rake d'''O,ü :

L'égo : Vous êtes étonnés, on le serait à moins ! Est-ce que vous nous trouvez beaux, beaux comme des dieux ?

 

Rake d'''O,ü :

L'égo : Je me demande s’il comprend vraiment ce qu'on lui dit ?

 

Rake d'''O,ü :

L'égo : Bon ben les gars, euh ! Il est peut être temps de retourner sur terre avant que ça se gâte !

 

Rake d'''O,ü :

L'égo : Nous allons quand même vous apporter la civilisation, la science, le bonheur...

 

Rake d'''O,ü :

Petit groupe d’entitées martiennes avec Rake’’’O,ü à leur tête

Ultime odyssée

Dessin de François Lebert

Entre guerre et amour

Par Alain Isenegger

Dessin de Alain Isenegger

Dans cet espace magique

Intergalactique

Sur sa colline Aréopage

Le guerrier est immobile

Triste présage

Il est seul avec son épée

Son bouclier

Ses yeux sont noirs

Il se remémore ses victoires

Il scrute l’horizon

Avec passion

Paysage désertique

Terre rouge et mystique

Il s’appelle Mars ou Arès

Peu importe

Il est le dieu de la guerre

Fils de Jupiter

 

Parfois

Vénus il aperçoit

Il aimerait l’approcher

Mais ne peut que la contempler

Dessin de Alain Isenegger

Malheureux

Toujours silencieux

Mars va se coucher

Demain il reverra sa bien-aimée…

Au loin

Dans la pénombre

Quand la nuit tombe

Sur Mars Vénus semble se poser

Pour se reposer

Mais ce n’est qu’illusion

Mystification

L’aphorisme du moi(s)

Pourquoi veut-on coloniser Mars ?

parce qu’il n’y a  plus de place sur terre,

et bientôt ce sera « Mars ou crève ! »

Par Guy Coda

Dessin de Guy Coda

De la guerre aux militaires ou inversement ?

Texte et photos Didier Leplat

Longtemps, enfant, j’étais hanté à l’idée de faire mon service militaire. C’est vrai que durant une grande partie de mon enfance on ne parlait que de la guerre d’Algérie. Les attentats, l’OAS, la fusillade du Petit-Clamart sur la DS du Général de-Gaulle. Et puis aussi des amis de mes parents qui avaient perdu leur fils là-bas. 

 

Mon père, anti-militariste, objecteur de conscience, relativisait tout ça, mais j’étais un peu traumatisé quand même. Ma mère était une vraie poule et me cajolait vraiment beaucoup, jamais je n’avais été en colonie de vacances et l’idée de partir de chez moi était vraiment inenvisageable. La guerre se termina en 1962, année de mes 10 ans, ceci me laissa du temps pour souffler avant mon départ sous les drapeaux !

 

Déjà à la rentrée de septembre 1968, je me suis retrouvé interne au lycée technique de Chartres. Cela m’a permis de me détacher du cocon familial et de me prendre en main, seul.

 

Bref, les études passèrent, le sursis demandé achevé, il fallut bien me rendre à l’évidence qu’il fallait y aller à ce foutu service militaire ! J’avais 20 ans, ma fille Stéphanie était déjà née, tous les contacts paternels pour un éventuel piston éclusés, rien n’y fit. Et en octobre 1973, je fus incorporé à Versailles Satory. La seule chose où « ils » ne s’étaient pas trompés, c’était de me placer dans le Génie ! 

 

Une fois dans la caserne, je m’étais donné comme objectif d’en sortir le plus rapidement possible et de ne pas y rester un an.

 

A force de persuasion, d’écoute, d’attention et d’un comportement spécial, ils m’ont libéré au mois de décembre, soit à peine trois mois passés en leur compagnie. Inutile de vous raconter la joie que j’avais quand je suis rentré chez moi !

 

Durant cette période, j’ai pu écrire, prendre des notes et philosopher. 

 

Les français face au service national

L’armée, c’est incompréhensible. Tout individu du sexe masculin y apprend à réaliser des actes absurdes, comme :

- passer le balai, matin, midi et soir ;

- marcher en ordre serré ;

- dormir en faisant semblant de dormir durant les appels.

… Et bien d’autres choses encore.

 

Il est même très difficile de trouver de la part d’un porteur de commandement un ordre qui puisse avoir un côté positif ;

par exemple « Ne nettoyer que si c’est sale ! ».

 

D’ailleurs, la poussière est l’ennemi numéro un de l’Armée. Ceci est prouvé quand dès votre arrivée au camp on vous impose de balayer.

 

L’Armée française a déclaré la guerre à la poussière. Force de frappe : 90% de vieux balais, 10% de balais neufs. De plus, les poubelles doivent toujours être vides : ce qui les rend parfaitement inutiles. Mais à l’armée, tout ce qui est inutile devient utile du fait que c’est inutile, donc tout-à-fait normal.

 

D’où la maxime : « Mon capitaine, pouvez-vous me dire à quoi sert une poubelle ? » Et le capitaine au lieu de répondre tout simplement « à déposer les ordures », il braille : « Une poubelle, il faut la vider, matin, midi, soir ».

 

Un sous-lieutenant de carrière dixit :

« … Il y a deux sortes d’espions, ceux qui travaillent pour la patrie et ceux qui travaillent pour de l’argent. De toute façon, ceux qui travaillent pour de l’argent ne vont jamais loin, moi si j’étais espion, je travaillerai pour ma patrie, car s’il m’arrivait des ennuis, je serai fusillé, mais j’aurai l’âme en paix, personne ne viendra cracher sur ma tombe… »

« …Insistez sur vos tenues, achetez des élastiques au foyer pour vos bas de pantalon, les cols de chemise par dessus le col du treillis, lassez les rangers comme on vous l’a montré, ne mettez pas vos mains dans les poches… »

« …Vous avez un motif sérieux pour rigoler ?… »

 

Durant une manœuvre avec simili bataille, balles à blanc et même hélicoptères, un caporal disait :

« …C’est pas le moment de fumer ! Bon planque toi davantage, ils pourraient bien passer par là, ces cons là… »

 

Durant un cours d’instruction sur le tir, un instructeur dixit :

« … La ligne de mire, c’est la ligne imaginaire passant par le centre de l’œilleton et le milieu du sommet du guidon. Pour ceux qui n’ont pas compris, prendre la ligne de mire, c’est aligner son œil avec la ligne de mire, et viser, c’est prendre la ligne de mire et la placer au milieu de la base du visuel. Est-ce que tout le monde a compris ? Vous feriez bien d’en faire un petit croquis. D‘ailleurs, si vous utilisez ça à la lettre, vous verrez, vous ferez mouche à tous les coups et surtout, pensez qu’ici, c’est la première balle qui compte, car si vous ne tuez pas l’ennemi le premier, c’est lui qui vous aura… »

 

Dictée : La base de la discipline 

« …La discipline faisant la force principale des armées, il importe que tout supérieur obtienne de ses subordonnés une obéissance entière et une soumission de tous les instants, que les ordres soient exécutés littéralement sans hésitation ni murmure.

L’autorité qui les donne en est responsable et la réclamation n’est permise aux subordonnés que lorsqu’ils ont obéi ; si l’intérêt du service demande que la discipline soit ferme, il veut en même temps qu’elle soit paternelle. Toute rigueur qui n’est pas de nécessité, toute punition qui n’est pas déterminée par le règlement ou que ferait prononcer un sentiment autre que celui du devoir, tout acte, tout geste, tout propos outrageant d’un supérieur envers son subordonné seront sévèrement interdits… »

 

Mes pensées militaires d’époques

Soldat, que tu sois vainqueur ou vaincu, reste homme ; tu dois bannir les armes et détruire la haine pour laisser à l’homme sa personnalité et ses qualités.

 

Tu dois reconnaître l’individu avec qui tu combats comme ton semblable, comme un homme identique à toi avec la seule pensée de bien vivre.

 

Pense à ta liberté, à ta puissance, tu es homme, reste-le. Ne t’abaisse pas à perdre ta vie pour quelques kilomètres carré de territoire qui ne t’appartiendront jamais. N’oublie pas que la seule société existante est la société humaine, comprenant tous les individus du genre humain.

Photo de La Lune par Didier Leplat
Photo de La Lune par Didier Leplat
Photo de La Lune par Didier Leplat

Il fallait apprendre à monter, démonter et nettoyer les armes !

Photo de La Lune par Didier Leplat

La caserne de Versailles Satory, en haut les bâtiments dortoirs un petit matin de brouillard et en bas dans la chambrée

Photo de La Lune par Didier Leplat

Schéma remis à chaque « sapeur » concernant la façon de faire son lit !

Philosophie autour de l’armée

Quand on dit que l’armée n’a pas pour but de briser la personnalité, ce n’est pas tout à fait faux, mais cela devient exact lorsqu’on voit que c’est un de ses moyens de réussite quant à son maintien.

 

Car c’est pour défendre sa propre stratégie que l’Armée doit briser la personnalité de l’individu. Ne pas oublier que la force de l’Armée, c’est qu’elle n’en a pas et que tout acte, toute action ne sont justifiés que par un ordre. C’est à dire que subjectivement, l’Armée n’a aucune force, ce n’est qu’objectivement qu’elle obtient sa puissance qui est considérée comme gigantesque par des individus objectifs.

 

C’est pourquoi l’Armée doit conserver pour se maintenir, le refus de discuter les ordres, et aussi de ne donner des responsabilités à personne. Chaque individu ne doit se poser de question quant aux ordres donnés. Il croit ainsi sa conscience libérée car il n’a fait qu’obéir et obtempérer aux ordres.

 

Tout individu qui s’encastre dans cette société, perd petit à petit sa personnalité, sa subjectivité, son esprit critique, ses responsabilités et par là même automatiquement sa liberté. Car cette liberté implique dans tous les cas un choix défini et une responsabilité.

 

Or on remarque étrangement que ceux qui sont considérés comme asociables à l’armée sont des individus qui ont un caractère propre et dont rien ne peut modifier leur axe de pensée. Au contraire, sont considérés normaux ceux qui s’adaptent le plus naturellement à cette vie étrange. C’est uniquement la loi du nombre qui a faussé ici le sens des mots normal et anormal. Déjà, comment peut-on être asociable dans une société qui n’en est pas une ? Et n’est-il pas dangereux pour l’humanité de s’apercevoir qu’environ 95% des hommes perdent leur personnalité, leur jugement, leur liberté d’expression, leur esprit critique au bout de deux à trois mois passés à l’armée.

 

L’armée n’est une société qu’au sens propre du mot mais pas au sens profond.

 

La liberté du militaire moyen est purement bestiale car malheureusement il devient assimilable à un corps qui ne peut plus être en action de sa propre volonté. On dit souvent que l’homme est le seul des animaux à pouvoir s’adapter à n’importe quelle situation, c’est vrai, mais c’est surtout lorsque le sujet reste sujet, c’est à dire conscient pleinement de sa personnalité. Sinon, il s’adapte mais il perd ses qualités d’être humains.

 

Et le tout sans parler de la vente et la fabrication des armes en France ni du port d’armes aux Etats-unis.

Vive la vie !

Photo de La Lune par Didier Leplat

Une des rares personnes avec qui j’ai communiqué durant ces trois mois passés dans cette caserne ! Impossible de me souvenir de son nom

Photo de La Lune par Didier Leplat
Photo de La Lune par Didier Leplat

Versailles Satory, une vaste étenduede baraquement et de gadoue

Hokusai, sumo et manga

Photo de La Lune par Didier Leplat

Jean Fernand devant l’entrée du musée Hokusai

Photo de La Lune par Didier Leplat

Une visite au musée Hokusai à Tokyo nous entraîne sur une route plus longue que prévue. Plusieurs définitions du mot « manga » ont toutes en commun la simplicité du trait et du message délivré.

Utilisé de tous temps pour communiquer, c'est le peintre Hokusai qui donnera naissance aux mangas modernes avec ses recueils d'estampes intitulés «  Hokusai manga ».

Photo de La Lune par Didier Leplat
Photo de La Lune par Didier Leplat

Le maître Hokusai (statue de cire)

Photo de La Lune par Didier Leplat
Photo de La Lune par Didier Leplat

De pinceaux en esquisses, les mangas deviennent le style graphique japonais exporté dans le monde entier avec des dérivés multiples, poupées, jeux vidéos, costumes etc...

 

Les mangas guerriers des temps modernes, chevalier de l'imaginaire, évoluent dans des mondes fantastiques où se mélangent la sexualité, la violence dans un monde virtuel. Ces combattants de l'apocalypse sont souvent inspirés de l'histoire des samouraïs.

Photo de La Lune par Didier Leplat
Photo de La Lune par Didier Leplat

A la sortie du musée, une petite promenade dans le quartier sumo nous plonge en plein cœur du sujet. Nous sommes bien au Japon.

Vitrine de mangas autour du musée (15 à 30 cm)

Photo de La Lune par Didier Leplat
Photo de La Lune par Didier Leplat
Photo de La Lune par Didier Leplat
Photo de La Lune par Didier Leplat

Entrée du temple sumo

Le jeu du cadavre exquis

Le Dictionnaire du surréalisme donne du cadavre exquis la définition suivante : « jeu qui consiste à faire composer une phrase, ou un dessin, par plusieurs personnes sans qu'aucune d'elles ne puisse tenir compte de la collaboration ou des collaborations précédentes. »

 

Ce jeu a été inventé à Paris, au 54 rue du château, dans une maison où vivaient Marcel Duhamel, Jacques Prévert et Yves Tanguy. Il fait partie des créations inspirées par le concept d'inconscient.

 

Quelques grands noms de la littérature et de la peinture ayant pratiqué ce mode d’expression.

 

Yves Tanguy, Marcel Duhamel, Jacques Prévert, André Breton,

Max Ernst, Frida Kahlo, Joan Miró, Man Ray, Tristan Zara,

Paul Éluard, Robert Desnos...

 

Ce mois-ci les trois compères de l’Ego, Didier Leplat, Philippe Belleney et Alain Isenegger se sont livrés à cet exercice.

(Dessin libre, une couleur noire). Ci-contre, le résultat :

Photo de La Lune par Didier Leplat

Alain, le dessin de base

Le dessin de Didier

Photo de La Lune par Didier Leplat
Photo de La Lune par Didier Leplat
Photo de La Lune par Didier Leplat

Et le dessin de Philippe

Festival « Prise de terre » 2018  - Arnouville (28)

La biennale de Land'art de la ferme de la basse-cour à Arnouville prend une nouvelle voie en ouvrant ses portes à un grand festival d'agro-culture. Quelle place aura demain l'agriculture biologique et le courant de pensée d'une nouvelle société humaine face au non-choix de l'industrie agro-alimentaire.

 

De nombreuses associations animeront le festival qui déplace sa date de septembre pour occuper l'espace culturel de la Pentecôte.

Parmis les 15 artistes choisis pour créer lors de l'événement, nous connaissons bien Patrice Demongeot, Laurence Montceau, Christophe Dumont, Anne Boutin-Coutin, Philippe Belleney.

Photo de La Lune par Didier Leplat

Archive 2016 : Christophe Dumont

Photo de La Lune par Didier Leplat

A vos agendas donc, pour garder une place de libre et venir découvrir ce festival unique en terre de Beauce.

 

Le PRINTEMPS d'InPACT - 18-19-20 Mai

renseignements  www.bassecour.fr

Photo de La Lune par Didier Leplat

Archive 2016 : Laurence Montceau

Littérature

Photo de La Lune par Didier Leplat

Notre ami Olivier Cojan vient de remporter le prix 2018 décerné par le Lions Club (District 103 Centre) pour son livre « Le pays où vont mourrir les rêves » Ella éditions.

 

Bravo à lui.

L’actualité des expositions

Expo des Indépendants du Perche

Inscription ouverte jusqu’au 24 mars 

Vous pouvez vous inscrire en ligne ici :

www.souris-verte.fr/indep/bulletin/bul2018.html

Les modalités d’exposition, c’est ici :

www.souris-verte.fr/indep/modal.html

Peinture - Aquarelle - Gravure - Pastel

Dessin - Photo - Sculpture

Pour chaque artiste, le nombre maximum d’œuvres admises se répartit de la façon suivante :

Jusqu'à 30x40cm : 6 œuvres

Au delà de 30x40cm : 4 œuvres

Au delà de 60x80cm : 2 œuvres.

 

Toutes les œuvres devront obligatoirement être réalisées dans la même technique.

L'utilisation des cadres est permise dans la mesure ou ceux-ci ne sont pas dépareillés.

Toutes les œuvres devront être munies d'un système d'accrochage solide. Chacune devra porter au verso le nom et l'adresse de l'artiste et le titre de l'œuvre.

Nous nous chargeons de l'accrochage.

Commandez ici

Et toujours notre Hors-Série

L’étrange histoire de Zela’r Mor

L’étrange histoire de Zela’r Mor

Brochure 28 pages plus couverture

Format 21 x 29,7 cm

12 euros + port (3 euros)

Alors... Voilà... 

Entrer en « L’étrange histoire

de Zéla’r Mor »

ne peut se faire

en toute innocence...

Te voilà prévenu !

Par Philippe Belleney

et Didier Leplat

 

Douze sculptures pour une histoire, douze signes pour l’aboutissement. Du haut des chapiteaux de l’abbatiale de nos pensées se sont détachées les stances de Zéla.

Les sculptures en pierre de Philippe Belleney et les univers 3D virtuels de Didier Leplat sont deux mondes pourtant très éloignés mais finalement si proche !

Ce fut un sacré challenge de rassembler les univers de ces deux artistes !

Cette promenade que Philippe et Didier vous proposent a plusieurs sens, à vous de découvrir les vôtres.

L'ennui : L’étrange histoire de Zela’r Mor
Philippe Belleney et Didier Leplat en pleine cogitation

Les deux compères en pleine préparation et cogitation chacun dans son domaine d’activité.

L’un avec sa massette et ses ciseaux,

l’autre avec sa souris et son appareil photo

A commander sur le site de l’Aéropage :

www.lareopage.com

N’hésitez-pas à cliquer sur les photos pour les agrandir

 

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