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L’Ego du moi(s) Vidéo

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Vidéo de l'Ego du moi(s)

Juin 2018 - L’abstraction ou le jour le plus long

Partant du principe que l'abstraction est le jour le plus long, nous pouvons définir à partir de ce néologisme de nombreuses équations et résultats mathémathicosphoriques dont certains pourraient paraître farfelus.

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Tout cela étant quand même très abstrait et loin de nos préoccupations journalières, nous avons demandé au professeur Kéklok d'éclairer nos lanternes quant à cette étrange parabole, hyperbole ou pérypasdebol (au choix) ressemblant fortement à un sujet du bac philo n'ayant pour seul but : la transpiration estudiantine sur les bancs de l'amphi.

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Parmi celles dont il a bien voulu nous démontrer l'existentialité concrète, très fort pour de l'abstraction, nous avons retenu les méta-équations 1 et 2, assez explicites pour un néophyte.

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Merci Professeur Kéklok et rappelons-nous que la terre est bleue comme une orange.

Edito

L'abstraction est le jour le plus long

Le professeur Kéklok en pleine démonstration !

Texte Philippe Belleney

Photo Didier Leplat

Méta-équation 1 :

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A+ B- S++  = (tract x 6 troën) - ( L- A++ / Mer – Mi + Ch- +El 3e)

                        ___________        _________________________

                                ion-                              1 x Ener + J

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Méta-équation 2 :

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  ( J + lo-Ng+ ) x (6x2) = 1944 x (+ x 10'6 ) x ( O- B+ U- S++ x 10'6 )

                            ____

                           plage : 14

Photo Didier Leplat

Abstraction votre honneur !

Texte et dessin de François Lebert

Soleil brûlant

Désirs factices

Pulsion des uns

Haine des autres

Abstraction votre honneur

Abstraction totale !

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Rêves d'amour

Cœur et corps affligé

Des roses et des larmes

Un piano sur une plage

Abstraction votre honneur

Abstraction totale !

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Un oiseau au balcon

Ciel bleu limpide

Bouton d'or en plein champ

Abeilles bourdonnantes

Abstraction votre honneur

Abstraction totale !

​

Une page blanche

Un bateau en fuite

Le chat qui ferme les yeux

Un sourire sans condition

Abstraction votre honneur

Abstraction totale !

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Des hommes

Des hommes outragés

Des hommes brisés

Des hommes martyrisés

Des hommes délibérément assassinés

Abstraction votre honneur 

abstraction totale !

​

​

Selon Hitler, la conscience était une invention des juifs...

Abstraction ou abjection, votre honneur ?

Dessin de François Lebert

L’aphorisme du moi(s)

Par Guy Coda

Le principe des vases communicants établit qu'un liquide homogène remplissant plusieurs récipients, reliés entre eux à leur base et soumis à la même pression atmosphérique, s'équilibre à la même hauteur dans chacun d'eux.

C'est pour ça qu'en juin les jours s'allongent et les jupes des filles raccourcissent ! Cela relève donc de la mécanique des fluides...

Dessin de Guy Coda

Abstraction d’une île avec vrai bateau

Dessin de Guy Coda

Les saisons

En essayant d’appliquer les théories du célèbre peintre russe Vassily Kandinsky

Par Alain Isenegger

Abstraction

Abstraction 

Abstraction

Vous avez dit abstraction

Formes généreuses

Ténébreuses 

Nébuleuses

Voguant dans les airs

Dans les constellations pleines de mystères

Débordantes d’imagination

De réflexions

Faisant travailler ton cerveau

Comme un char attelé de mille chevaux

Abstraction

Abstraction

De formes de sons de couleurs

D’humeurs

A toi de percevoir l’imaginaire

Pour toi pour les tiens pour tous

De la condition et des couleurs de la terre…

Dessin d'Alain Isenegger

Printemps

Dessin d'Alain Isenegger

Automne

Eté

Hiver

Dessin d'Alain Isenegger
Dessin d'Alain Isenegger

De moins en moins d’oiseaux : abstraction ?

Texte et photos Didier Leplat

Ravitaillement en plein vol (fin mai 2018)

C’est depuis quelques temps que je m’intéresse aux oiseaux de mon jardin alors que paradoxalement on en voit de moins en moins. La retraite m’a permis d’installer mon bureau dans ma maison située à la campagne et de ma fenêtre je peux contempler arbres et verdure représentés par 4000 m2 clos de mur.

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Auparavant pour des raisons professionnelles et précises, j’ai du investir dans un téléobjectif de 400 mm. Celui-ci m’a et m’est bien utile pour cette chasse (dans le bon sens) aux oiseaux, même si parfois une focale plus longue serait nécessaire !

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Sans forcément les nourrir, sauf l’hiver, je me suis vite aperçu que beaucoup d’oiseaux me rendaient visite malgré la présence de trois chats.

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Le premier oiseau à m’intriguer fut ce « pic épeiche » qui venait régulièrement piquer dans un arbre. Toujours le même arbre et pratiquement toujours au même endroit. Cet oiseau de la taille d’un merle est très rapide et on peut constater dans son regard perçant qu’il n’est pas là pour rigoler ! Puis, ce fut au tour de son congénère le pic vert. Lui, il se fait remarquer plutôt en venant chercher sa nourriture directement dans l’herbe. C’est facile de le repérer avec son petit béret rouge genre commandant Cousteau ! Il a la même ténacité que son cousin le pic épeiche. Bien sûr, tout ce petit monde est bien souvent accompagné par des merles, des pigeons et parfois même par un écureuil. Celui-ci passe d’arbre en arbre à la vitesse d’un éclair.

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Parmi les merles, il y en a un que je reconnais facilement car il a une petite plume blanche. Déjà trois ans que je le vois régulièrement et c’est toujours un plaisir de l’entendre chanter. Au printemps, l’an passé, j’ai du sauver deux petits merles tombés du nid et qui ne savaient pas encore voler correctement. Deux trois jours à les surveiller, à écarter les chats et ils ont pu s’envoler avec élégance.

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Entre temps, c’est une escadrille de mésanges, des noires et des bleues qui se succèdent devant ma fenêtre. Elles sont bien souvent accompagnées par un couple de rouge-gorge. Parfois, un petit troglodyte passe, mais il ne se mélange pas.

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Et puis, c’est le balai d’oiseaux que je ne connaissais pas qu’il est rare de trouver dans les jardins. Des Sittelles Torchepot avec leur bec très effilé et avec un bandeau gris foncé autour des yeux comme pour ne pas se faire remarquer. Elles courent bien souvent le long des troncs d’arbres toujours la tête dirigée vers le bas.

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Selon les saisons, je reçois d’autres invités. Bien sûr comme chaque année, les hirondelles reviennent dans leur nid qu’elles avaient abandonné au sortir de l’été. Après rafistolage et consolidation, c’est une installation radicale prévue pour l’élevage intensif de petits. C’est deux et jusqu’à trois portées par an et c’est dans mon garage !

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Cette année, quatre bébés pointent déjà leur bec et ils les ouvrent en grand dès que les parents arrivent. Ça promet !

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Autre découverte récente, l’existence d’un nid de grimpant des jardins le long de la toiture de la maison, c’est un oiseau rigolo qui donne l’impression de grimper le long des murs à l’image d’un lézard. Je n’ai pas encore réussi à le prendre en photo correctement mais j’espère y arriver, un peu comme ce couple de « gros-bec » que j’ai aperçu l’autre jour au fond du jardin.

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Quel bonheur de les contempler et de les protéger, ils en ont bien besoin. Je doute qu’on arrive prochainement à un accord positif et radical pour l’arrêt total et définitif des pesticides et du glyphosate qui sont la source première de leur extinction. Plus d’insectes, plus de nourriture. 

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Cette année, je n’ai pas revu le pic épeiche et je m’inquiète. Ne faisons pas abstraction de ce phénomène et luttons contre ces gens qui nous assassinent à petit feu ; car après les abeilles, les oiseaux, ce sera bientôt notre tour. Résistance !

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Malgré tout, l’espoir est là, et déjà cette année, les premiers bébés hirondelles ont vu le jour.

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Une petite vidéo que j’ai faite cet hiver :

https://www.youtube.com/watch?v=0l5ZP3oBg9A

Photo Didier Leplat

Maman hirondelle arrive pour le ravitaillement (fin mai 2018)

Ravitaillement en plein vol (fin mai 2018)

Le pic vert

Un bruant zizi

Photo Didier Leplat
Photo Didier Leplat

Le merle avec sa plume blanche

Photo Didier Leplat

Une fauvette à tête noire

Photo Didier Leplat

Un rouge queue

Le pic épeiche au travail sur son arbre

Photo Didier Leplat
Photo  Didier Leplat
Photo Didier Leplat

Mon copain l’écureuil

Les bébés hirondelle (2017)

Photo Didier Leplat
Photo Didier Leplat

Mon copain le rouge Gorge tout au long de l’année

Une mésange charbonnière
Photo Didier Leplat
Photo Didier Leplat

Une bergeronnette grise

Photo Didier Leplat

Un bruant jaune

Photo Didier Leplat

Ils ont faim !

Photo Didier Leplat
Photo Didier Leplat

Un geai des chênes

Un moineau

Un moineau

Une Sittelle torchepot
Photo Didier Leplat

Une mésange charbonnière

Un tout petit troglodyte

Une sittelle torchepot

Bec à bec (fin mai 2018)

Un tout petit troglodyte

Le temps des murmures (extraits)

Texte et illustrations de Marie VDB

Un rayon de Lune se pose délicatement sur la chevelure d’or, joue avec ses reflets, enveloppe le petit tas de linge ramassé sur lui-même. Un mouton de nuage brumeux s’écarte, pour que la lumière, curieuse, se promène sur les contours de l’enfant égarée.

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- Pourquoi tu m’importunes ? Je veux rester dans l’ombre de la nuit.

- Que t’arrive t-il petit bout d’enfant ? Tu ne devrais pas être dans la chaleur d’une belle couette ?

- J’attends.

- Qu’attends-tu ?

- J’attends que ça passe. Ca prendra le temps qu’il faut.

- Que le Temps passe ou ne passe pas ne changera rien. Je connais bien le Temps, il prend son temps. Il va doucement pour certains, vite pour d’autres. Le Temps passera, mais ça ne changera rien. Il est étonnant le Temps, tu sais ! Il t’arrivera de dire qu’il est passé trop vite alors que tu as pris ton temps. Mais ton temps, lui, il s’en fiche. Les bons moments qui durent longtemps semblent moins longs que les mauvais qui sont très courts.

​

Claire réfléchit à cet étrange concept. Elle ne comprend pas bien, elle n’a pas apprit ça à l’école. La maîtresse, peut-être même, n’en a jamais entendu mot. Elle aimerait bien que la Lune l’éclaire sur la question.

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- Alors il sert à quoi, le Temps ?

- Il est très utile, mais l’homme lui a donné une valeur.

- Comme quand mon père dit que « le temps, c’est

de l’argent ? ».

- Oui, comme quand les Hommes disent ça. Ils disent aussi « ne perds pas ton temps ». Comme si le Temps se perdait ! Il ne se perd pas, lui ! C’est vous qui vous perdez en lui !

- Alors, si le Temps ne sert pas à avoir de l’argent pour être heureux, il sert à quoi ?

- Ha ! L’argent sert à être heureux ?! On achète donc son bonheur, sur la Terre ?

- Je ne sais pas, je suis petite. Ce sont des histoires de grandes personnes. Et le Temps alors ?

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La Lune prend le Temps. Elle se penche sur lui afin qu’il lui insuffle les mots justes. 

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- Le Temps au départ, c’est le rythme. Le Temps porte toutes les notes qui forment la vie.

- Tu veux dire que la vie est une musique ?

- Oui. Tout dans l’univers est musique. Elle est pulsation, comme ton cœur. Elle est fréquence, comme une onde. L’univers joue la plus majestueuse des symphonies et pour placer les notes de son harmonie, il les dépose sur le fil du Temps.

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- C’est bien tout ça, mais je n’y comprends pas grand-chose à ce charabia ! Tu n’aurais pas un exemple à me donner ? Ce serait moins abstrait pour moi. 

- Tout, autour de toi, si tu l’observes bien, possède son propre rythme : les saisons par exemple. Vois-tu, même l’Homme a ses saisons.

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- Et l’hiver, c’est quoi chez l’humain ?

- C’est le repos.

- Quand je dors ?

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- Non, pas tout à fait. Tu es plus vivante qu’à l’éveil. Vois-tu, ton âme vient sur Terre pour apprendre. La Terre est une grande école de la vie.  L’hiver, c’est un peu comme les grandes vacances, tu rentres chez toi et retrouves ta famille, tes amis, ou tu attends que leur temps vienne. Tu es heureuse et ça ne coûte pas de temps, car le Temps est relatif.

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- Mais tu parles de la mort ?

- Oui, c’est comme ça que vous la nommez.

- Je n’aime vraiment pas la mort, c’est moche la mort, c’est comme les cris. Ca fait mal.

- Rien n’est vraiment laid, tout n’est qu’apprentissage, passage, naissance, chemin, évolution, aboutissement, repos. Crois-moi, elle n’est laide qu’à vos yeux, car vous avez oublié.

L'Hiver par Marie VDB
L'automne par Marie VDB
Le printemps par Marie VDB

Le printemps

L’été

L’automne

L'été par Marie VDB

L’hiver

Les cadavres exquis du moi(s)

Réalisés durant le tournage de la vidéo du mois

Alain

François

Alain Isenegger
François Lebert
Philippe Belleney
Didier Leplat

Philippe

Didier

Festival prise de terre : œuvres d’artistes (Arnouville 28)

Le Printemps d'INpact

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Plongez dans une nouvelle ruralité avec dix associations défendants l'écologie, la biodiversité, l'agriculture biologique et cette façon de vivre sur notre planète en s'y intégrant le mieux possible et en laissant de côté notre costume de super prédateur.

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Les artistes de « Prise de terre » ont participé au printemps d'INpact en créant sur place leur vision de l'événement dans

12 cubes de 2 mètres d'arêtes.

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Les quelques 5000 visiteurs présents lors de ces trois jours du festival ont pu voir s'achever les œuvres, participer et rencontrer les artistes dans une organisation sans faille .

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Retrouvez la suite des infos du printemps d'INpact et de prise de terre sur le site de la ferme de la basse cour : www.bassecour.fr

L'avenir plus ou moins proche : Laurent Belloni

Ô Gras, Ô Désespoire : Philippe Belleney

Un bras

Ô Gras, Ô Désespoire : Philippe Belleney

Zone de blanchiment des déchets : Zobladé
Le temps de la récolte : Laurence Montceau
La leçon de chose : Anne Boutin Coutin

Zone de blanchiment des déchets : Zobladé

Le temps de la récolte : Laurence Montceau

La leçon de chose : Anne Boutin Coutin

L’abstraction comme un coup de torchon

Texte et peintures Jean Fernand

Le torchon, ce morceau de tissu, manipulé, maltraité chaque jour : s’humidifiant le plus souvent dans la cuisine, après la vaisselle, maculé à essuyer des fonds de casseroles, fourneaux et tant d’autres choses encore...

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Ce torchon auquel l’on ne prête aucune autre attention que trame ménagère, peut être aussi un magnifique support pour un artiste ; ce morceau de tissu ne finira pas sa vie dans une poubelle...

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Ce torchon devient centre d’intention hypnotique.

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Il est là, de sensation atypique : de la beauté subjective d’un regard, il devient le support d’une création à venir, un désir viscéral de lui donner vie.

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Ces visages, non seulement nous envisagent mais nous dévisagent : l’on se demande alors « qui es-tu toi, et toi là qui m’implore et me touche... ».

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L’artiste donne vie à l’objet, quel qu’il soit.

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Le torchon devient à lui seul, une société du spectacle, comme l’a si bien exprimé Guy Debort.

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Ce non vivant, un torchon, devient l’objet de contemplations dans le regard, « ici et maintenant » de celui qui fuit sa réalité pour s’immerger dans l’imaginaire de ma peinture.

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Posons-nous la question : regarder le torchon, est-ce se regarder à travers lui ?

Nouveau livre

TIRAGE LIMITE à 75 ex

Déjà 30 ex vendus

Ne tarder pas à commander !

50 ans d’évolution de la contestation

De Mai à Mai (1968-2018)

Témoignages, photos, dessins par les artistes de l’Ego du moi(s)

Le livre : de mai à mai édité par l'Ego du moi(s)

« De Mai à Mai » est une publication de L’Ego du moi(s) - Les Indépendants du Perche

1968-2018 - Cinquante années de contestations qui ont forgé le caractère de milliers de Français.

Parmi eux, nos artistes de l’égo du moi(s) qui nous livrent ici leurs souvenirs mémoire et nous proposent leur ego 68 en photos, dessins politiques, installation.

Tournons ces pages engagées sur leurs visions de cette grande émotion de Mai qui bourgeonne régulièrement lorsque le printemps devient chaud.

Format 21 x21 cm

104 pages + couverture

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20 euros + 5 euros de port

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Pour acheter :

Dessin Alain Isenegger
Mai 68 : l'Odéon entre deux cars de CRS
Les dessins de François Lebert
Les sculptures de Philippe Belleney

Les pages

avec les textes et dessins d’Alain

Les pages

avec les textes et photos de Didier

Les pages avec les textes et dessins de François

Les pages avec les sculptures de Philippe

L’actualité des expositions

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Et toujours notre Hors-Série

L’étrange histoire de Zela’r Mor

L’étrange histoire de Zela’r Mor

Brochure 28 pages plus couverture

Format 21 x 29,7 cm

12 euros + port (3 euros)

Alors... Voilà... 

Entrer en « L’étrange histoire

de Zéla’r Mor »

ne peut se faire

en toute innocence...

Te voilà prévenu !

Par Philippe Belleney

et Didier Leplat

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Douze sculptures pour une histoire, douze signes pour l’aboutissement. Du haut des chapiteaux de l’abbatiale de nos pensées se sont détachées les stances de Zéla.

Les sculptures en pierre de Philippe Belleney et les univers 3D virtuels de Didier Leplat sont deux mondes pourtant très éloignés mais finalement si proche !

Ce fut un sacré challenge de rassembler les univers de ces deux artistes !

Cette promenade que Philippe et Didier vous proposent a plusieurs sens, à vous de découvrir les vôtres.

L'ennui : L’étrange histoire de Zela’r Mor
Philippe Belleney et Didier Leplat en pleine cogitation

Les deux compères en pleine préparation et cogitation chacun dans son domaine d’activité.

L’un avec sa massette et ses ciseaux,

l’autre avec sa souris et son appareil photo

A commander sur le site de l’Aéropage :

www.lareopage.com

N’hésitez-pas à cliquer sur les photos pour les agrandir

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