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L’Ego du moi(s) Vidéo

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- Avec l’actualité des expositions

- Avec des petites vidéos

Avril 2018 - Le poisson sort du bocal

Comme un poisson mort

Edito

Texte et collage Philippe Belleney

Aujourd'hui, je suis allé au marché et j'ai acheté une botte de radis...

Aujourd'hui, je suis allé au marché et j'ai acheté une botte de radis et des crosnes argentés...

Aujourd'hui, je suis...et j'ai acheté...argentés et un fromage de chèvre. Le premier qui se trompe à ce petit jeu de mémorisation a perdu et comme le poisson que j'ai acheté au marché aujourd'hui, fait le « mort ».

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Pourtant, ce beau poisson que j'ai acheté au marché aujourd'hui n'a pas demandé à quitter son bocal, il se trouvait bien là-bas dans sa mer bleu. Et le voilà, étendu tout raide dans la glace et le froid sur un étal dont il n'imagine aucunement la réalité.

Prenons nous un tel risque lorsque volontairement nous sortons de notre bocal? Parfois oui, plonger hors de ses murs dans l'inconnu, juste pour voir. « J'ai pris des rides et puis des coups aussi des remords » (B.Lavilliers).

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Sortir de son bocal... comme ces astronautes en fusée dont certaines ne sont jamais arrivées, étrangement, ou peut être pour ne pas avoir peur, ils le portent sur la tête, le bocal. Un extraterrestre dira, un jour en trouvant un astronaute sur son rivage planétaire « bizarre cet être a voulu rentré dans son bocal mais il ne devait pas être très malin, il n'a pas vu qu'il avait le corps trop gros pour s'y sentir à l'aise, étrange, étrange ». Et si cet extraterrestre ressemble à un poisson, ce qui peut arriver, et qu'il va au marché, il pourrait très bien mettre notre homme sur son dos et le mettre en vente sur son étal.

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Aujourd'hui, je suis allé au marché et j'ai acheté une botte de radis … et un cosmonaute mort.

Comme quoi il faut être prudent quand on sort de son bocal.

Et pour éviter bien des désagréments il vaudrait peut être mieux supprimer tous les bocaux, les poissons sont bien dans la mer, toutes les cages, les oiseaux sont bien dans les airs, toutes les chaînes, les hommes étaient bien à courir nus dans les prairies... il paraît que ce mythe s'appelle l'Eden.

« Au marché martien » collage

Larguer la proie

Texte et dessin de François Lebert

Pour une ombre inconnue, les crocs blancs d'un petit maître de rien du tout raconte l'histoire d'un calcul rénal.

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Si la petite fille sur la banquise ne dit rien, c'est parce qu'elle ne connaît pas encore la splendeur escamotée des filins d'acier.

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Tout au fond d'une grotte, des bijoux de pacotille étincellent aux doigts d'une éternité en fuite...

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La couronne du roi des carottes racle les lames du parquet, effaçant toutes traces des disparus de la retraite aux flambeaux.

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Main noire, arrachée de la terre, dressée vers la lune, comme un arbre solitaire, la puissance de la vie t'anime...

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La soif, la course et l'étreinte de la glace basculent sans bruit entre chaos et silence, fanfare désarmante au milieu d'une oreille en coin.

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Une esclave blanche murmure des onomatopées aux portes du caporal épinglé.

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L'ange exterminateur, sa lanterne à la  main, cherche la misère en prenant son pied.

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Parti depuis l'aube des temps à la rencontre d'un grand voyage, il erre, d'une rive à l'autre de l'infini.

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Sa rivale, avec une démarche haute en couleur, houspille les chiens qui se prennent pour des loups.

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Le ciel est sa maison, la terre son paillasson.

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Le poids des montagnes assure la viabilité de l'édifice.

Elle écoute la chanson d'un pavé balancé par un mur à la peau trouée dans la mare d'un estomac tenaillé par la faim.

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Entre l'étoile et le vermisseau un fil musical traverse les années lumières, vertige et magie de la physique quand elle devient cantique...

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Une étoile brisée comme un rêve est attendue à la porte du garage.

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L'orage nouveau craque sous la dent comme un soleil ivre d'espace et de vie.

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La gaufrette oubliée s’effrite sous un piano dont les notes tombent du ciel.

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La révélation cachée sous la poussière cherche son chat.

Ou le regard perçant de l'aigle couronné par le ciel.

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Répéter en une seule fois le contenu de l'histoire. De toute l'histoire.

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Se prendre la tête par la main.

Dévaler la pente en roue libre.

Jeter des mots en vrac sur une feuille blanche...

Le cœur vidé comme une poubelle...

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Je lui laisse ma place !

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Au plus près de la nature, de l'inattendu, sous les replis du ciel,

derrière le miroir de l'indicible, des femmes chantent, et la musique devient Dieu !

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Dans l’œil du poisson repose sans fin une mer primitive.

Le voyage de  « Fish and chips »

Par Alain Isenegger

Dessin de Alain Isenegger

« Fish and-chips » c’est mon poisson et à chaque début du mois d’avril, c’est les vacances et la sortie du bocal pour le grand rush avriliste. Poisson futé prévoit des embouteillages sur toutes les voies navigables françaises : ça va sentir la marée !

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A la maison notre chat  « Pas sur-sur-de-lui » se méfie car en avril le poisson est roi.

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Cette année notre joyeux avriliste à de nombreux projets, notamment celui de rendre visite à son fidèle ami « Poisson soluble » demeurant dans le fameux aquarium du non moins célèbre André Breton.

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Ensemble ils partiront rejoindre un autre ami « Merlan-frit ». 

Nos trois amis iront se mélanger à la foule, porteront la bonne parole, se liront d’amitié en laissant l’empreinte de leurs logos sur les épaules ou le dos des badauds incrédules.

Des visites sont prévues dans les nombreuses citées paroissiales, lieu de rencontre des nombreux adeptes du culte du poisson et de la marée.

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Ils iront également manifester leur mécontentement devant la statue du bon Charles IX qui en 1564 décida que l’année commencerait le 1er janvier au lieu du 1er avril selon soit disant l’ancien calendrier.

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Enfin, après le merveilleux voyage du trio de l’Ego sur la planète Mars, « Fish and chips, Poisson soluble et Merlan-frit » ont décidés de les contacter afin d’élaborer ensemble une autre sortie dans l’espace dans la constellation du Poisson.

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Les vacances seront bien remplies, mais attention, le retour dans le bocal est impératif avant la fin du mois d’avril car pour rien au monde ils ne souhaitent rater les préparations, les défilés et les manifestations d’une fête aussi importante que celle du 1er Mai.

L’aphorisme du moi(s)

Par Guy Coda

« à la pêche, il ne faut pas lâcher la lamproie pour l'omble ! »

La maquereau sort du bordel

(D’après Daumier)

Dessin de Guy Coda

Ça mord à tous les coups !

Texte et photos Didier Leplat

Créatif, graphiste, photographe et travaillant dans un journal, c’était chaque année ma mission pour l’édition du 1er avril de créer un poisson d’avril qui devait se trouver dans les pages du journal.

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Tout le monde me faisait confiance, des rédacteurs au secrétaire de rédaction et même jusqu’au patron.

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L’Action Républicaine dans les années 70 avait son siège social rue Doguereau à Dreux. C’était là aussi qu’était fabriqué le journal : de la rédaction à la photogravure.

Il y avait plusieurs éditions dont une sur Dreux et l’autre sur Nogent-le-Rotrou. A l’époque, j’habitais Dreux et c’est tout naturellement sur cette ville que je travaillais pour créer cette farce rituelle et annuelle.

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Je n’ai pas retrouvé dans mes archives les journaux en question, mais je me souviens très bien en 1976. Le passage souterrain sous les voies ferrées rue Saint-Denis venait d’être terminé. L’idée était de faire croire aux lecteurs que ce passage est maintenant transformé en galerie marchande et quoi de mieux comme premier commerce d’y établir une poissonnerie !

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Le concept nous plaisait bien à la rédaction et aussitôt je me lançais dans les prises de vue pour réaliser mon montage. Il n’y avait pas « photoshop » à l’époque, mais cela n’empêchais pas les photos montages. Après avoir bien déterminé l’angle des éclairages et l’angle de prise de vue pour raccorder facilement les perspectives, il suffisait de faire des tirages papier à la bonne échelle et de les découper et les coller. Je n’ai pas retrouvé le montage qui a servi à la publication, aussi je me suis servi cette fois de « Photoshop » pour réaliser à nouveau cette construction.

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Dans ces années là, à la rédaction, nous étions habitués à dîner dans un petit restaurant en bas de la rue Saint-Denis et là, la patronne ayant lu l’article, nous assura qu’elle viendrait acheter son poisson là-bas, surtout quand je lui ai dis que j’arrêtais le journal et que c’est moi qui ouvrait la poissonnerie !

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Je confiais à mon ami rédacteur Thierry Noël le soin de m’écrire un bon texte pour faire passer l’idée aux lecteurs. Quant à moi, je me lançais dans la réalisation d’un photomontage le plus réaliste possible afin de proposer les photos du projets.

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Ce qui est sûr, c’est que nous, au journal, cela nous faisait bien rire, surtout quand des échos nous parvenaient et qui attestait de la croyance de nos conneries !

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Une autre année, nous avions fait croire aux lecteurs que pour gagner des places de stationnement dans le centre de ville, le beffroi allait être démonté. Le beffroi, étant un monument incontournable pour l’histoire et l’architecture de la ville de Dreux, le Conseil municipal avait décidé de le conserver quand même et simplement de le déplacer en le démontant « pierres à pierres » et le remontant un peu plus loin. Et pour ne pas empiéter davantage de places de stationnement, il avait été décidé de le reconstruire juste au dessus d’un des clochers inachevé de l’église saint-Pierre.

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Rigolade, décontraction, tel était le but de ces annonces bidons !

Photo de La Lune par Didier Leplat
Photo de La Lune par Didier Leplat

Nous sommes en 1976, le souterrain qui passe sous les voies ferrées en remplacement du passage à niveau rue  Saint-Denis à Dreux vient d’être achevé.

Photo de La Lune par Didier Leplat

La photo d’une devanture de poissonnerie je ne me souviens plus à quel endroit, mais j’ai essayé de respecter la même perspective et le même angle de prise de vue pour parfaire l’assemblage (Pas de photoshop à l’époque !)

Un de mes collègues du journal photographié dans la rue avec son beau poisson dans le dos

Photo de La Lune par Didier Leplat

La poissonnerie moderne ! Un bien beau concept et une belle infrastructure pour réhabiliter le commerce local

Le printemps est là

Le printemps est là, les cerisiers sont en fleurs. Spectacle séculaire depuis l’ère Edo (1607-1868), de la notion du Beau.

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Magie de la nature qui s’offre aux badauds. Nous ne sommes plus dans un monde réel, nous partons dans l’irréel, entrons dans les estampes d’Utagawa Hiroshige, pour le rêve et l’imaginaire.

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Des guinguettes, canotages, marchands ambulants de beignets, brochettes, saké... sont au rendez-vous. Bateleurs, spectacles de rue font aussi partie de la fête, pour la joie de cette foule contemplative allant faire Hanami.

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Le cerisier, dit Sakura, dont la fleur est l’emblème du Samouraï, qui comme elle, est éphémère dans sa beauté, son savoir vivre et mourir dans l’honneur et la dignité. Le plus souvent il meurt à la fleur de l’âge, au sommet de sa splendeur, sans avoir donné de fruits, tels ces sublimes cerisiers. Cette période de l’année a inspiré beaucoup de peintres, de poètes et écrivains japonais, comme le romancier Ango Sakaguchi : « Sous les fleurs de la forêt de cerisiers. ».

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Dans la langue japonaise, le mot Art n’existe pas : pour les Japonais, le Beau est une œuvre, tout comme un tableau, une sculpture, un meuble, une cascade, un arbre, un rocher...

Ils ne font pas la différence, sinon que ce soit beau.

Photo de La Lune par Didier Leplat

Texte et photos Jean Fernand

Photo de La Lune par Didier Leplat
Photo de La Lune par Didier Leplat
Photo de La Lune par Didier Leplat
Photo de La Lune par Didier Leplat
Photo de La Lune par Didier Leplat
Photo de La Lune par Didier Leplat
Photo de La Lune par Didier Leplat
Photo de La Lune par Didier Leplat
Photo de La Lune par Didier Leplat
Photo de La Lune par Didier Leplat
Photo de La Lune par Didier Leplat
Photo de La Lune par Didier Leplat
Photo de La Lune par Didier Leplat

Nouveau livre

50 ans d’évolution de la contestation

De Mai à Mai (1968-2018)

Témoignages, photos, dessins par les artistes de l’Ego du moi(s)

« De Mai à Mai » est une publication de L’Ego du moi(s) - Les Indépendants du Perche

1968-2018 - Cinquante années de contestations qui ont forgées le caractère de milliers de Français.

Parmi eux, nos artistes de l’égo du moi(s) qui nous livrent ici leurs souvenirs mémoire et nous proposent leur ego 68 en photos, dessins politiques, installation.

Tournons ces pages engagées sur leurs visions de cette grande émotion de Mai qui bourgeonne régulièrement lorsque le printemps devient chaud.

Sortie prévue pour le 28 avril

Format 21 x21 cm

84 pages

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20 euros + 5 euros de port

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En pré-commande ici

Les pages

avec les textes et dessins d’Alain

Les pages

avec les textes et photos de Didier

Les pages avec les textes et dessins de François

Les pages avec les textes et sculptures de Philippe

Le cadavre exquis du moi(s)

Photo de La Lune par Didier Leplat
Photo de La Lune par Didier Leplat
Photo de La Lune par Didier Leplat
Photo de La Lune par Didier Leplat

Le dessin de base par Philippe

Et le dessin de Didier

Le dessin d’Alain

Festival « Prise de terre » 2018 suite - Arnouville (28)

Le mot de Claire Garros

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Prise de Terre, cela fait 14 ans que cela dure, et cette année, la biennale s’intégre au Printemps d’InPACT...

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... comme, aujourd’hui plus que jamais, une urgence se fait sentir, on rejoint leur cause, “L’agriculture citoyenne fait sa Prise de Terre“, cela fera une superbe Prise de Terre. Pour cette fois, notre but est de mettre à disposition d’une quinzaine d’artistes représentants tous les arts le site du festival Le Printemps d’InPACT....

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Pour cette fois encore, la Basse Cour offre aux artistes un terrain d’action afin qu’ils puissent laisser libre cours à leur imagination, trouver de nouvelles sources d’inspiration pour leur création et leur parcours personnel.

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Pour cette fois encore, Prise de Terre permet aux artistes de rencontrer d’autres artistes, de travailler en synergie, afin de se donner une impulsion créative.

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Cette exposition permet aux artistes de se donner du temps sur une création précise en étant accueillis en résidence de jour, des temps de réflexions, de discussions et de confrontations d’idées avec d’autres artistes et pourquoi pas de travail commun ou parallèle...

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C’est dans un esprit de rencontre entre artistes, de partage et d’émulation que nous imaginons cette exposition à la ferme. 

Cet esprit d’ouverture et d’aventure artistique est propice au dialogue entre artistes mais aussi avec le public. Nous souhaitons que les visiteurs puissent être en contact avec l’œuvre et son créateur.

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Prise de Terre n’est pas une exposition en galerie, mais doit être un lieu de prise de risques, d’innovations, de recherches.

Le PRINTEMPS d'InPACT - 18-19-20 Mai

renseignements  www.bassecour.fr

Quelques projets et travaux en cours

Laurent Belloni

Comme nous allons habiter un champ de 2 ha qui est mis à disposition du festival Le printemps d’InPACT, il est important que les créations trouvent une place un peu scénographiée. 

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Après mûres réflexions, on s’est dit qu’un module commun de travail serait sympathique, repérable de loin sur le site, et donnerait un peu de verticalité dans le champ... Notre choix s’est arrêté sur un cube de 2 m d’arête, où d’ailleurs il n’y aurait que les arêtes de livrées... en bambou qui plus est. Voilà l’espace de jeu pour chacun(e), aux artistes de le pénétrer, ou non, de s’accrocher dessus, ou non, de le dépasser, ou non, de le rendre occultable, ou non...

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Aux visiteurs de les apprécier !

Anne Boutin-Coutin

Christian Pichard

Leslie O’Méara

Zobladé

Zobladé

Télécharger le dossier de presse

L’actualité des expositions

Maison des Arts - Antony

Appel aux artistes

9e exposition

à La Chapelle-Guillaume (28330)

Du 1er au 3 juin 2018

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5 prix décernés

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Pour vous inscrire (avant le 6 mai) :

Bernard Gerout  06 24 43 88 06

gerout.bernard@orange.fr

Commandez ici

Et toujours notre Hors-Série

L’étrange histoire de Zela’r Mor

L’étrange histoire de Zela’r Mor

Brochure 28 pages plus couverture

Format 21 x 29,7 cm

12 euros + port (3 euros)

Alors... Voilà... 

Entrer en « L’étrange histoire

de Zéla’r Mor »

ne peut se faire

en toute innocence...

Te voilà prévenu !

Par Philippe Belleney

et Didier Leplat

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Douze sculptures pour une histoire, douze signes pour l’aboutissement. Du haut des chapiteaux de l’abbatiale de nos pensées se sont détachées les stances de Zéla.

Les sculptures en pierre de Philippe Belleney et les univers 3D virtuels de Didier Leplat sont deux mondes pourtant très éloignés mais finalement si proche !

Ce fut un sacré challenge de rassembler les univers de ces deux artistes !

Cette promenade que Philippe et Didier vous proposent a plusieurs sens, à vous de découvrir les vôtres.

L'ennui : L’étrange histoire de Zela’r Mor
Philippe Belleney et Didier Leplat en pleine cogitation

Les deux compères en pleine préparation et cogitation chacun dans son domaine d’activité.

L’un avec sa massette et ses ciseaux,

l’autre avec sa souris et son appareil photo

A commander sur le site de l’Aéropage :

www.lareopage.com

N’hésitez-pas à cliquer sur les photos pour les agrandir

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