L'égo a quatre ans...
1, 2, 3, nous irons au bois... relire les numéros précédents.
4, 5, 6, les vidéos, aussi.
7, 8, 9, au gui l'an neuf.
10, 11, 12, c'est mieux que les aventures de « La Pérouse » !
L'égo, c'est comme les huitres, il en faut douze pour être heureux.
Edito
Ça me tape sur le système
Je suis abasourdi quand je vois toutes ces bêtises comme ce train Perpignan-Rungis chargé de légumes remplacé par plus de 20 000 camions ; la signature du traité CETA de libre échange entre le Canada et la France ; l’arrêt du glyphosate constamment reporté ; bientôt même peut-être la privatisation des routes nationales…
Quand tout s’échauffe autour de nous, on sent que nos gouvernants ne sont attirés que par l’argent, le profit, le rendement, la croissance… mais pour qui cette croissance ? Certainement pas pour l’humanité.
Alors qu’il faudrait agir au plus vite pour stopper l’hémorragie et rendre à la terre tout ce qu’on lui a pris, certains en profitent pour faire de l’argent.
Combien de temps encore va-t-on donner plus de droits aux multinationales au détriment des populations de la planète ?
Un grand merci aux lobbys pour leur efficacité.
A croire que l’esclavage et l’asservissement des humains a été sciemment pensé.
Août 2019 - Le "Système" au détriment de l'humanité et de la planète
Alors qu'il faudrait radicalement stopper la croissance pour éviter cette catastrophe écologique annoncée, le "système" lui ne voit que le profit, l'argent et les dividendes en ratifiant par exemple des traités de libre échange comme le CETA...
Pensez à vous abonner à notre chaîne
Par Didier Leplat
Illustration Alain Isenegger
L’engrenage infernal
Par Alain Isenegger
Travail, vacances, retraite, une triste réalité !
Je préfère :
Harmonie avec tous,
Accomplissement personnel,
Transmission des acquis et fin paisible,
Et parfois, un peu de rébellion pour poivrer l’ensemble.
Putain…
J’aurai du faire philo et non pas arts plastiques.
Fuck the system !
Par François Lebert
Horreur et putréfaction !
Scandale et stupéfaction !
Il y a une feuille blanche
Une page vierge de tout propos
Étalée sur mon bureau !
Pas un mot dessus
Pas un trait pas une ligne
Même pas une tache d'encre
Une page entière
Sans que je donne mon avis
Sur la situation
Sans que je dénonce
À tort ou à raison
Une injustice irréparable
Un scandale inévitable
Alors le cœur battant
Le cerveau incandescent
Je prends
Ma plus belle plume
Pour écrire ces mots :
FUCK THE SYSTEM !
Le système, oui, mais lequel ?
Par Guy Coda
Selon le dictionnaire, un système est un ensemble d’éléments qui interagissent entre eux selon certains principes.
Il est déterminé par sa frontière, sa mission, ses interactions avec son environnement, ses fonctions, ses ressources. Il y a plusieurs catégories de systèmes :
- Conceptuelle (les maths, la physique quantique, la philo, l’art…)
- Concrète (système nerveux, système éducatif - les deux ne faisant pas toujours bon ménage…)
- Un appareillage (assurant une fonction déterminée, la bagnole, la plomberie…)
- Un réseau (politique, réseaux sociaux…)
Jusque-là tout va bien. Mais regardons de plus près :
Les systèmes conceptuels comme les maths par exemple, ou la philo, c’est dur à comprendre (j’en sais quelque chose…) mais ça PEUT se comprendre ! La preuve, y a des mathématiciens, des philosophes, des physiciens, des artistes !!!
Les systèmes concrets comme le système nerveux, on n’y connait rien, même si on y est confrontés en permanence quand on appartient au système éducatif, mais ça PEUT s’apprendre ! La preuve, y a des toubibs, des enseignants, des énervés…
Un appareillage, aussi complexe soit-il, ça PEUT se démonter, on peut aussi lire le mode d’emploi, donc ça PEUT s’utiliser ! La preuve, j’ai démonté mon aspirateur (remarquez que j’ai pas encore réussi à le remonter comme il faut…)
Les réseaux sociaux, on sait comment ça marche, ça PEUT rendre service comme ça PEUT foutre la merde. La preuve, qui ne s’est pas répandu sur Facebook, Instagram, tweeter ?
Mais le système politico économique, alors là…! Est-ce que ça peut se comprendre ? Parce que quand on y regarde de plus près, de quoi est-ce qu’on s’aperçoit-il ? Que nos vies se dégradent de plus en plus (emploi, travail sous-payé, chantage au chômage, bénéfice des actionnaires, et j’en passe) qu’on ne peut pas se défendre parce que la justice, le manque de personnel et de moyens, le prix des avocats etc. etc.
Vous voyez ce que je veux dire… que notre liberté est de plus en plus compromise par une police aux ordres, par des lois imbéciles de plus en plus répressives, par l’endettement chronique de tous ceux, et ils sont de plus en plus nombreux, qui n’appartiennent pas au sérail, par le chômage…
Newton réfléchissant aux conséquences de la gravitation universelle
Or on constate que ces gens qui contrôlent le système essaient en permanence, tout en bouffant du homard, de vous convaincre qu’ils se battent pour vous, pour améliorer votre vie, pour vous défendre, vous rendre libres, que sais-je encore, et que sans eux c’est foutu !
Néanmoins, y a de plus en plus de fric et de plus en plus de pauvres ! Est-ce que ça, ça PEUT se comprendre ? Non, hein ? Même ceux qui nous roulent dans la farine, je ne suis pas convaincu qu’ils comprennent tout, mais bon, ils tiennent le manche...
…Mais quoi qu’il en soit ça PEUT faire mal et dans l’état actuel des choses, ça ne PEUT PAS s’arranger, à moins qu’on prennent une bonne fois notre destin en mains !
Y A DU BOULOT!!!
Je cherche la faille dans le système
Par Henri Plessiet
Le titre est dans la photo !
Texte et illustration infographique de Pierre Belleney
Les épisodes précédents : Après être passé par Shima, un programme du plan sanitaire du Ministère de la Santé Publique, Piero vit une perturbation de sa libido et de son identité de «genre»; ses bonzaïs, son amie Alicia, la fourmi Annabelle, Leonardo le piroguier, le soutiennent en la quête de son intégrité. Entre temps, Alicia est partie pour une contrée lointaine.
Le Vieux Shima, 21 juillet 2019
Chère Alicia,
le ventilateur est en route ; la langue de bœuf refroidit. Il me faudra encore la peler quand elle sera moins chaude.
Fatigué.e par la soirée sur la Pride de Vieux Shima, j’ai essayé de faire la sieste ; deux petits jeunes me disent qu’ils viennent dîner mardi ; des jumeaux. Il est question de fêter le départ de l’un à Saint-Martin.
Je surveille les patates en train de cuire, pour ce soir, dans le bouillon de la langue de bœuf. La langue, c’est pour demain, qu’elle prenne bien son temps pour refroidir, bien fraîche, avec une vinaigrette.
Il est déjà presque cinq heures. M’est venue l’heure de pondre la copie pour l’égo du moi(s) ; thème : « système » ; à livrer avant le vingt sept juillet. J’adore ! Quand je commence, je ne sais jamais où je vais atterrir.
J’ouvre le traitement de texte et le navigateur internet ; je ne fais de la pub pour personne en ce monde où nommer entraîne tant de tracas juridiques ; j’ai tendance à faire mauvaise pub ; l’internet ne devrait appartenir à personne, comme tout ce qui est bien commun. Bref.
System D : « Fonctionnement ou conduite de projet sans moyens importants (« D » en référence à Débrouillardise ou Démerde). » Article « Système D » de Wikipédia.
« Système D », D, comme « Dada ». Là, j’ai le choix :
- je dérive « en une remise en cause de toutes les conventions et contraintes idéologiques, esthétiques et politiques » ; ceci pourrait vexer nombre de lecteur.ices,
- je dévoile mes vieux trucs pour-quand-je-ne-tiens-pas à rester bloqué.e, frustré.e sur ma page blanche et m’y retrouver à dessiner les plans d’un planeur nommé « Clitoris » ; je me
glisse au plus près du sujet, l’effleure, délicatement, que personne n’en soit point effarouché.e.
Je viens de peler la langue. Les patates sont cuites. J’ai fait la vaisselle. je continue ma petite histoire en douceur.
Contre la désorganisation mentale totale qui me submerge depuis que je suis né.e, je fourre mon nez dans Wikipédia, une référence qui a l’avantage d’être « commune ». J’avais écrit « a le mérite » ; je rectifie : il faut sans cesse purifier son esprit des valeurs morales iniques qui le colonisent. « Avantage » est-il plus approprié ? (Propriété ! ça continue). Je retiens quelques phrases et hop ! Je bricole comme un.e bachelier.lière ; mon Hedera helix peine à grimper au plafond, découragé par tout cet espace qui nous sépare.
Est-ce du plagiat ? Cette horrible faute d'ordre moral, civil ou commercial ? Je suis intègre, sans mauvaises intentions, conforme à ce que je suis réellement; mais le système patriarcat, marchandises, merchandising et Cie est violent ; il m’entraîne à l’être. Je cogne, avec mes mots ; avec les mains, j’ai arrêté quand je suis rentré.e au lycée. « Cool, Take it Easy (Eagles dans le K7) and Peace and Love ». Mes mains ont retrouvé leur douceur de bébé ; mais pas mes mots.
Je pourrais partir en tapis volant, aux tréfonds de quelque trou noir égaré au milieu d’Alpha Centauri, commencer à te décrire comment fonctionne le plus courant des plus commerciaux des systèmes d’exploitation ; j’adore semer ma curiosité là où il est interdit de fourrer son nez à moins que de n’avoir une autorisation en bonne et due forme des religieux et des législateurs. Je suis juste pirate, une pirate, ou la femme du pirate, à bord d’un vaisseau, aux larges de Saint-Martin où l’un des jumeaux va bientôt partir.
Tu m’as bien suivi.e en toutes les interactions aléatoires de ce système simple qui me conduit à la fin de l’histoire. Mais est-ce bien nécessaire, que de finir une histoire d’amour...
Je t’embrasse
Expositions - Festivals
Le festival photo de Bellême (61) du 8 juin au 2 septembre
Du 8 juin au 2 septembre prochain, la ville de Bellême dans le Perche accueille la 3e édition de son festival, qui met l’eau, la mer et les océans à l’honneur.
Organisé par l’Agence pour la Promotion de la Photographie Professionnelle en France (APPPF), société créatrice du concours des Photographies de l’année et éditrice du magazine Profession Photographe. Le Festival Photo de Bellême accueille à nouveau dix photographes sur le thème « L’homme et son territoire », dans les rues, parcs et lieux emblématiques de la petite cité de caractère.
L’Espace Photo du Perche, situé dans le cœur historique de la ville de Bellême et totalement dédié à la promotion et à la valorisation de la photographie professionnelle, fait évidemment partie du circuit. Sa particularité est d’associer plusieurs activités complémentaires et interactives – une galerie photo, la rédaction du magazine Profession Photographe, une maison d’édition et une librairie photo – autour d’un objectif commun : favoriser la reconnaissance du travail de photographes professionnels auprès du grand public et du monde de l’entreprise.
L’Espace Photo du Perche présente aux visiteurs l’exposition des treize lauréats de l’édition 2019 du concours des Photographies de l’année, pendant toute la durée du festival, ainsi que les livres des photographes invités, cartes postales, posters, etc. Sans oublier le guide du festival – avec la présentation des dix photographes – distribué gratuitement.
Les photographes exposés
Frédéric Briois
Didier Charre Michel Riehl
Stéphane Delpeyroux
Julien Gérard
Patrick Landmann
Grégory Pol
Stéphane Scotto
Franck Seguin
Benoît Stichelbaut
Christian Vallée
Infos pratiques
Festival du 8 juin au 2 septembre 2019
Espace Photo du Perche
9 rue Ville Close – 61130 Bellême
www.festivaldebelleme.com
Bellême, petite cité de caractère du Perche
Ancienne capitale de la province du Perche, Bellême a conservé un riche patrimoine architectural et un « esprit » unique qui la distingue des autres cités percheronnes. La rue d’Alençon puis la rue Ville Close, à laquelle on accède par l’imposant porche médiéval, sont jalonnées d’hôtels particuliers. En effet, Bellême est habitée jusqu’au XIXe siècle par de nombreuses familles nobles et bourgeoises des environs.
En 1229, la cité subit le siège de la reine Blanche de Castille, accompagnée du jeune Saint Louis, afin de mâter la rébellion de Pierre de Dreux. La Croix Feue Reine, érigée sur la route du Mans à l’emplacement du campement des troupes royales, témoigne de cet événement historique.
Un marché se tient dans la ville près de l’église Saint-Sauveur tous les jeudis depuis plusieurs siècles. Autrefois, il s’y vendait une grande quantité de produits agricoles comme en témoignent encore les noms de quelques rues ou places telles que les rues aux Gélines, Coquetière ou la place au blé.
La ville surprend également avec ses 80 commerces variés – antiquaires, galeries d’art, boutiques de vêtements et de chaussures, librairies, etc. – et des produits de bouche uniques et raffinés, comme ceux de la célèbre chocolaterie Bataille.
A voir : le porche médiéval, l’Hôtel Bansard des Bois, l’Hôtel de Fontenay, l’église Saint-Sauveur, la maison Boucicaut, etc.
Evénements : des brocantes, le salon des antiquaires, le Festival Photo, le Septembre musical de l’Orne, les Mycologiades internationales, le marché de Noël et les illuminations, etc.
Infos pratiques : Office de Tourisme du Perche en Normandie - Boulevard Bansard des Bois - 61130 Bellême
www.perchenormand.fr
Actualité des livres
Bertrand Arbogast : Sur les toits - Meurtre dans le Perche
Qui a tué la femme en rouge ?
Gauthier Toussaint arrive à Mortagne-au-Perche pour refaire le toit d’un restaurant sur la place principale de la commune. De son toit il aperçoit, un matin au fond d’une ruelle, le corps d’une femme en rouge. Le temps qu’il descende de son échafaudage, qu’il traverse la place et court dans la ruelle, le corps a disparu. Il ne sait pas quoi faire et n’ose pas prévenir la gendarmerie par crainte de ne pas être cru.
Adrien, un jeune homme désœuvré, l’observe de sa fenêtre, ils entrent en contact et sympathisent. Gautier l’embauche sur ce chantier. Ils vont découvrir par hasard le corps de la femme en rouge et vont se transformer en enquêteurs. Vont entrer en jeu un professeur de philosophie passionné par Alain, un couple de deux femmes bibliothécaires, un libraire transformiste, une correspondante de presse peintre…
Gautier qui vient de perdre son fils, devenu islamiste sans qu’il le sache, oublie un peu son deuil à travers cette enquête et l’amitié que lui porte Adrien.
Les deux hommes vont découvrir les dessous de la province et comprendre qu’il n’y a pas qu’à Paris qu’ils se passe de vilaines choses.
L’artisanat reste important dans le livre et deux architectes sont aussi de la partie. Gautier et Adrien réussiront à élucider ce crime et se donneront rendez-vous pour un nouveau chantier dans la Sarthe avec à la clé peut-être une nouvelle enquête.
C’est le quatrième roman Bertrand Arbogast, journaliste retraité habitant St-Denis-les-Ponts en Eure-et-Loir
ISBN : 979-10-94543-11-5
18 euros
Les Editions du Loir 14 place de la Liberté 28200 Châteaudun
www.leseditionsduloir.fr
Jean-Yves Duval : Le rêve éveillé du Calife (Ella Editions)
Adolescent, Abou Youssouf fait un rêve prémonitoire : à la tête de combattants moudjahiddin, il abolit les régimes autocratiques arabes et recrée les frontières de l’Empire Ottoman. Dans son rêve, il est la réincarnation d’Hassan Ibn al-Sabbah, le « Vieux de la Montagne » qui avait fondé au XIe siècle la redoutable secte des haschichins et passe pour être le premier théoricien du terrorisme politico-religieux.
Parvenu à l’âge adulte, Abou Youssouf s’engage, au nom de la Nation Islamique, à bâtir un califat planétaire, Musulmania, comme Hitler et le régime nazi avaient rêvé de bâtir Germania et Thomas More Utopie.
Arthur et Djamila, deux jeunes français, vont se retrouver au centre de la lutte implacable menée contre cet homme insaisissable.
Le rêve éveillé du calife est un thriller palpitant qui plonge le lecteur au cœur du terrorisme et l’entraîne dans les coulisses des pouvoirs qui influencent le monde.
ISBN : 978-2-36803-371-5
Ella Editions - 42 route de Chavannes - 28300 Lèves
ella-editions@orange.fr
Jean-Yves Duval en signature à la Maison de la Presse de Mamers (72) Photo Didier Leplat
Jean-Yves Duval, journaliste romancier, secrétaire général du Think tank «Nouvel avenir», est diplômé de l’institut National des Hautes Etudes de Sécurité (INHES) et de l’Institut des Hautes Etudes de La Défense Nationale (IHEDN). Le rêve éveillé du calife est son huitième roman.
Puzzle macabre
Après avoir exercé sa coupable activité d'intermittent du spectacle durant 50 ans comme comédien, metteur en scène, auteur, marionnettiste, le voici donc qui sort à 76 ans son premier roman. Un thriller qui vous entraîne dans une enquête au cœur du Perche et de Nogent-le-Rotrou de 1871 à nos jours.
Luc Rigel en signature à l’espace culturel Leclerc à Nogent-le-Rotrou (28) Photo Didier Leplat
Quand Matt, journaliste au Miroir Républicain, reçoit un message de son vieux copain fossoyeur au cimetière de Nogent-le-Rotrou, il ne se doute pas où il met les pieds.
Relever une tombe pour faire un peu de place, certes, mais quand il s’agit de cette jeune fille sauvagement assassinée cent trente ans auparavant, une vieille et sombre histoire remonte à la surface.
Il faudra patienter jusqu’à la dernière page pour que cette affaire, dont les racines plongent dans le Perche du dix-neuvième siècle, livre tous ses secrets.
Luc Rigel est comédien, auteur et metteur en scène. Sous son nom de scène (Luc Ritz), il n’a cessé depuis 1959 d’enchaîner les spectacles en France et à l’étranger. Il a naturellement choisi le Perche, sa région d’adoption, pour situer le cadre de son romain policier.
ISBN : 978-2-35992-063-5 - 10€
Editions de l’Etrave - La Talbotière - 61130 Igé - contact@editions-etrave.fr
Dramagraphies - Acte II
Michel Lagarde réalise des autoportraits photographiques multiples en noir et blanc. Il ne s’arrête pas aux frontières d’un art ni à celles d’une définition.
Son dernier livre Dramagraphies Acte II est le résultat d’un travail considérable, empruntant au maquettiste et à l’architecte, au décorateur et au comédien, à l’éclairagiste et au peintre.
Toutes ces images répondent à l’envie de raconter des histoires. Elles croustillent, dans le noir et blanc de la scène, entre le rire jaune et le maintien pincé, entre le grotesque et la solennité.
Son site internet : http://michellagarde.com
Editions du «Petit Oiseau» en colaboration avec l’APPPF
Vous pouvez commander en ligne ici
Le livre : 29€
Format 30 x 30 cm, 100 pages
Co-édité par l’APPPF et les éditions du Petit Oiseau
mai 2019, ISBN : 978-2-9552629-5-5
L’escamoteur - ©Michel Lagarde
Objectif Trombinotron
Dans cet ouvrage, je vous explique comment j’ai pu, par le hasard de découvertes diverses et la rencontre de personnes fortuites, créer le Trombinotron.
C’est une machine fantastique
pour faire des portraits
Elle nous permet de naviguer à travers les siècles puisque le chemin parcouru par la lumière passe à travers un objectif datant de 1890, et traverse une chambre en bois de 1930, pour finalement se retrouver piégée par un capteur numérique contemporain.
Vous comprendrez comment je crée mes portraits à l’ancienne, inspiré de ma culture du courant pictorialiste, en passant par Nadar, Proust et bien d’autres influences.
20€
ISBN : 978-2-9568736-0-0 - Edition mai 2019 - 104 pages plus couverture
Edition - Conception - Réalisation : Didier Leplat - www.didier-leplat-photo.com
30, rue de la Ferrière - 28240 Fontaine-Simon - didier@didio.biz
Vous pouvez commander en ligne ici
Portraits réalisés au Trombinotron
Mon père inventeur
L’avion à aile ronde
Robert Leplat, a déposé plus de 400 brevets dans sa vie. Son fils Didier Leplat, vous retrace son parcours dans ce livre de 128 pages.
Créateur de PMP
la célèbre marque de trains électriques miniatures HO des années 1950.
Le pantographe des locomotives électriques
C’est en créant ses modèles réduits de locomotive qu’il eut l’idée de la simplification des pantographes et en déposa le brevet.
Le pistolet distributeur d’essence
C’est en effet lui qui a inventé le système à venturi
qui stoppe la pompe quand votre réservoir est plein.
l’avion à aile ronde
Le manque de moyens financiers ne lui a pas permis d’aller jusqu’à la commercialisation de son invention.
La poupée qui marche
Après étude et dépôt de brevet, la société qui lui avait acheté a déposé le bilan et la poupée n’a jamais été commercialisée.
Robert Leplat - 1916-1999
ISBN : 978-2-9526482-9 - 20 euros - Mars 2019 - 128 pages
Edition - Conception - Réalisation : Didier Leplat
didier@didio.biz - 30, rue de la Ferrière - 28240 Fontaine-Simon
Vous pouvez commander en ligne ici
Le pistolet distributeur d’essence que tout le monde connait
Un coffret PMP
La poupée qui marche
Le pantographe que l’on retrouve sur la plupart des locomotives
Notre partenariat avec « La Gazette »
Depuis bientôt un an, nous travaillons en partenariat avec l’association « L’amitié Beauce, Perche et Thymerais » qui édite tous les trimestres la revue « La Gazette ».
Cette revue vient de recevoir l’agrément préfectoral « Jeunesse - éducation populaire locale » qui découle des 22 années d’activité associative générée par l’association.
Cet échange très riche, nous permet de profiter de 6 pages à l’intérieur de cette revue pour y transmettre nos informations et notre point de vue sur l’art, la poésie et la philosophie.
Le numéro 46 vient de paraître, il vous permettra de découvrir votre région et une grande partie de ses acteurs dans des échanges plein d’humanité.
N’hésitez-pas à vous abonner.
La Gazette - Beauce, Perche et Thymerais
Le magazine culturel de vos communes
Renseignements : 02 37 29 06 07 ou 06 49 40 12 95
4 rue de la Mairie 28190 PONTGOUIN
site : gazette28.com
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