Décembre 2019 - La reconnaissance faciale en Chine et ailleurs

L’Ego du moi(s) Vidéo

sur

Vidéo de l'Ego du moi(s) décembre 2019

Dans le style « brèves de comptoir »

Différents échanges dont le sujet principal s’oriente finalement sur la reconnaissance faciale avec toutes les bêtises que peut apporter l’ignorance réelle du sujet...

Edito

Par Didier Leplat

Individu, on vous a à l’œil !

Difficile de rester incognito


Jusqu’à présent, il nous était normal et rassurant de rester anonyme, incognito, quand on est dans la rue et/ou hors de chez soi… Faire ce qui nous plait sans jugement ni analyse ni prise de tête était la norme de tous les jours et tout simplement synonyme de liberté.


Déjà, ce n’était pas très facile, quand on était connu, de passer inaperçu avant l’ère du numérique. Mais maintenant, n’importe quel quidam à moins d’être déguiser ou transformer accroche toutes les caméras de surveillance, y compris celles des smartphones qui nous observent et nous dévisagent.


Chez nous, en Europe, nous pouvons encore respirer et profiter de quelques libertés, mais pour combien de temps encore ?

Didier Leplat

Chiottes

dessin Alain Isenegger
dessin Alain Isenegger
dessin Alain Isenegger

Vue de dessus

Vue de dessous

Par Alain Isenegger

Pied de nez !

Par François Lebert

La reconnaissance faciale, chez moi,

c'est tous les matins, au réveil :

si je ne me reconnais pas dans la glace,

je ne me dis même pas bonjour !!!

dessin François Lebert

Reconnaissance faciale… mon cul !

LA RECONNAISSANCE FACIALE ! Voilà une idée qu’elle était bonne ! Encore une invention made in China -merci l’empire du milieu- que nos démon-craties occidentales avaient importée avec enthousiasme et avait appliquée illico, trop contentes de pouvoir enfin contenir -du moins l’espéraient-elles- les débordements d’une population jamais contente (on se demandait bien pourquoi) qui s’évertuait à foutre la merde partout où elle le pouvait sans la moindre reconnaissance pour les bienfaits que leur dispensaient quotidiennement nos généreux édiles.


Donc ainsi fut fait, et tout le monde fut rapidement fiché : dans les écoles, pas le moindre élève n’échappait à l’œil scrutateur et infaillible de la machine, dans les couvents pas une bonne sœur, vierge ou pas, pas un curé, pas un capucin, dans la vie laïque pas un employé, pas un cadre, même les flics, les gendarmes, les postiers, les pharmaciens, les clodos, les contrôleurs des finances, les collectionneurs de timbres, les gens séniles, les jansénistes, les gens bien et les autres, même les députés (de gauche), ainsi que Bernard Henry Lévy,  tout le monde y passait. Et on pouvait toujours contester: « vous savez, c’est pas moi, c’est quelqu’un qui me ressemble, peu ou prou, un sosie peut-être, mais c’est pas moi, c’est sûr ! Comment l’aurais-je fait si je n’étais pas né ! Si ce n’est toi, c’est donc ton frère ! Je n’en ai point ! C’est donc quelqu’un des tiens car… etc. etc. » 


Mais rien à faire, la machine est in-fai-llible et ses résultats, par voie de conséquence, étaient ir-ré-fu-tables !


Bon, y a bien fallu se faire une raison mais quand même ! Et la colère grondait ! Impuissante, certes, mais elle grondait.

Or à cette époque-là il y avait dans Paris une famille de gens dont on ne savait pas très bien d’où ils venaient mais dont on connaissait la réputation un peu sulfureuse : soupçonnés de quelques méfaits mineurs (viols, braquages de banque, rackett, extorsion de fonds et j’en passe), mais jamais condamnés faute de preuves, ils continuaient donc leurs méfaits en toute impunité, affublés d’un gilet jaune histoire d’emmerder un peu «ces râleurs qui savent que gueuler mais qui casseraient pas trois pattes à un canard» comme ils se plaisaient à les appeler et que par ailleurs ils détestaient cordialement.  


Jusqu’au jour où la reconnaissance faciale arriva et mit un terme (provisoire, on va le voir), à leur artisanat.


Il faut dire que les cinq frangins (car ils étaient cinq), bien qu’ils aimassent beaucoup les dames (certaines s’en étaient aperçu à leurs dépens) n’acceptaient pas facilement les échecs, et comme ils ne manquaient pas d’imagination ils trouvèrent très vite la solution :

- Hé ! Tu sais quoi ?

- Quoi ?

- Quoi ?

- Quoi ?

- Quoi ?

- Et ben on n’a qu’à se balader avec un masque sur la gueule, comme ça on pourra continuer nos affaires sans se faire choper !

- Ah ouais, pas con ! (là aussi, quatre fois) Ouais mais quoi, comme masque ?

- Et ben… heu… la tronche à Macron !

- Super ! (x4)

Ainsi fut fait et à la suite du braquage suivant, la reconnaissance faciale, qui faisait bien son boulot, ne manqua pas de dénoncer le responsable … 

Et celui-ci eut beau se défendre, rien à faire, la machine était infaillible et ses résultats ir-ré-fu-tables !


Les élections présidentielles anticipées eurent lieu quelques mois plus tard.

dessin Guy Coda

Reconnaissance faciale… mon cul !

(Ou comment cacher sa gueule sans perdre la face)

Par Guy Coda

De la liberté à la reconnaissance faciale

Texte et photo Baptiste Colliette

De nos jour, la reconnaissance faciale nous accompagne au quotidien, enfin presque, que ce soit pour déverrouiller nos téléphones d’un simple coup d’œil ou encore la multitude de filtres photos sur nos réseaux sociaux préférés (Instagram, Facebook, Messenger, Snapchat,... ) qui, par la réalité dite virtuelle viennent modifier nos visages. Le marché de la reconnaissance faciale représentait en 2018 4,5 milliards de dollars et devrait connaître plus de 10% de croissance par ans jusqu'à 2026.


De plus, la reconnaissance faciale est également utilisée à la gare du Nord à Paris depuis 2017 au poste de douane en prenant l’Eurostar, mais aussi aux aéroports de Paris depuis l’été 2018.


Comment fonctionne la reconnaissance faciale ? 

Il y a plusieurs étapes, premièrement il faut capturer le visage de la personne à reconnaître, appelée «capture de référence» qui sera utilisée en outil de comparaison, ensuite via un appareil photo (celui d’un téléphone ou bien par le biais d’une camera de surveillance «intelligente» par exemple) une image va être capturée puis être comparée avec les captures de références afin de retrouver le bon visage. Les points de reconnaissance dont se basent les algorithmes de reconnaissance sont précis et basés sur les points les plus importants du visage comme la position des yeux, l’écart des oreilles, des détails fin d’un visage comme des rides, ou des traits particuliers qu’un visage peut avoir (éléments physiques particuliers). 


En France, la reconnaissance faciale a déjà fait ses preuves au niveau de la sécurité intérieure, notamment en 2016 à Nice pour sécuriser la Fan zone de l’Euro ou encore le carnaval de cette même année. Aussi la reconnaissance faciale viserait à s’installer aussi dans des lycées dans les villes de Nice et de Marseille afin de contrôler les élèves systématiquement à chacun de leurs passages devant ces dispositifs futuristes. 


Le gouvernement lui aussi aurait pour but de mettre en place un accès aux services publics par la reconnaissance faciale (banques, sites internet officiels, métro…).


Alicem (Authentification en LIgne CEritifiée sur Mobile) est testée depuis juin 2019, c’est une application qui doit simplifier les démarches administratives en ligne et créer une identité numérique sécurisée.

Moolight Studio

L’idée de la reconnaissance faciale inquiète les défenseurs de la liberté, leur principale crainte a son propos serait que cette technique engendre le fichage des individus, ce qui poserai un problème d’anonymat dans l’espace public. En d’autres termes nous ne seront plus libre de circuler de manière totalement anonyme dans les rues et espaces publiques. Et pourtant la reconnaissance faciale, étant de plus en plus présente dans nos vies, est en train de se démocratiser.


En quittant la France, on s’aperçoit assez vite que d’autres pays utilisent déjà ce système aussi innovant qu’inquiétant à des fins éthiquement parlant un peu plus douteux, c’est le cas de la Chine notamment qui a mis en place un système de crédit en utilisant la reconnaissance faciale. Ce système qui semble tout droit sorti d’un épisode de la série Black Mirror est appelé «système de crédit social», c’est un projet du Parti communiste chinois lancé en 2014 et qui devrait être effectif en 2020, un système à points qui évalue le comportement des citoyens dans les lieux public ainsi que sur les réseaux sociaux et internet en général. Autrement dit, leur comportement dans l’espace public et numérique aurait des conséquences sur leur vie réelle (pénalité, interdiction de circuler en train, avions,…).


De plus, ce procédé vise également à mettre en place «une liste noire pour les infractions fiscales», de repérer les violations de la sécurité routière et d’imposer des «restrictions de comportement en ligne». 


Ce système dépasse largement le Big Brother que nous connaissions déjà tous, mais avons-nous envie de vivre dans un monde où nous sommes notés, pistés et réprimandés ? 

Avons-nous envie d’être reconnu avant même de rentrer dans un lieu ?

Dans ce futur, la question de liberté ne semblerait plus qu’être un lointain souvenir…

Quelle Liberté ?

Texte et illustration Patrick Davido

- Chers auditeurs, vous avez la parole en toute liberté. Je prends une première intervention. Qui est à l’appareil ?

- C’est Gérard.

- Bonjour Gérard. Justement, que pensez-vous de ces nouvelles technologies sophistiquées qui permettent déjà aux chinois d’utiliser la reconnaissance faciale?

- Vous dites que vous donnez la parole en toute liberté mais je sais bien que c’est faux.

- Pourtant, vous vous exprimez sur notre onde en direct et librement, cher Gérard. Nous souhaitons connaître votre avis sur notre thème de ce matin ; cette  sécurité renforcée par la possibilité donnée, grâce aux nouvelles technologies, je le répète, de mieux identifier un contrevenant…

- Avec ce gouvernement, on ne peut plus rien dire, de toute façon.

- Euh… mais ici, on donne à tout le monde la parole, Gérard. 

Si, bien évidemment, vous pensez que l’on donne d’abord des outils de répression et de fichage, comme c’est déjà le cas en plaçant de nombreuses caméras dans les communes… ceci avant d’offrir un précieux apport aux enquêteurs pour combattre la délinquance... vous pouvez le dire !

- Tu parles ! D’abord je suis sûr que tout est enregistré. C’est devenu une vraie dictature ici, que je vous dis. Je sais très bien que je ne peux rien dire !

- Nous demeurons en démocratie et notre émission en atteste ; le droit d’opinion et la liberté d’informer existent ! Ce qui n’est pas le cas partout !

- On est libre de rien ! Qu’est-ce que vous racontez ! Je ne peux plus rouler comme ça me chante et je  ne peux pas fumer en public sans me prendre une réflexion. C’est ça la liberté, dans ce pays ! ? 

- Hum… Ce n’est pas l’«Archipel du Goulag» mais…

- Chiche que je dise ce que j’ai à dire ! Tiens-donc !

- C’est bien ce que je vous demande, Gérard.

- C’est vrai ! ? Alors laissez-moi dire…

liberté chérie

- Dites, Gérard. Dites…

- Ben voilà. Moi qui vous parle, et puisqu’on m’entend dans le poste, faudrait peut-être que Pierrot aille chercher les clés de la bagnole chez Lucette. T’étais pas joignable sur ton Smartphone et je sais que t’écoutes ces conneries. Y a plus de canettes au frais et la supérette ferme à midi !

- Biiien… Merci Gérard.

- Et c’est pas tout. Dites-bien aux auditeurs qui vous écoutent que vous êtes tous des planqués dans les médias. La vraie liberté d’expression, c’est la liberté de dire qu’on veut nous fermer notre gueule !!! Pas vrai ?…

-  …

-  Ca vous plait pas que je dise ça, hein !  Je savais bien qu’on n’était pas libres.

L’appli « Reconnaissance fessiale »

Philippe Govin

Par Philippe Govin © Les lapinsgovin

Ma Mémé et la reconnaissance faciale !

Par Didier Leplat

Etrange cette photo que j’ai faite de ma grand-mère en 1966. Avait-elle ce don prémonitoire de deviner l’avenir ?


Toujours est-il qu’elle n’a pas hésité à chausser ces lunettes futuristes pour l’époque : c’était les premières lunettes « Polaroid », dont les verres pouvaient stopper les reflets et notamment la réflexion des Ultra-violets. Ce verre coûtait cher au moment de son lancement et c’est certainement pourquoi cette monture ne proposait qu’une bande très étroite pour la rendre abordable. 


Très mode et futuriste ces lunettes se trouvaient à l’époque davantage portées par les mannequin de chez André Courrèges que sur ma grand-mère !


Certainement, ainsi affublée aujourd’hui,  ma grand-mère tromperait les caméras de reconnaissance faciale !

Bravo Mémé !

La Mémé

17 Novembre 2019, premier anniversaire
du mouvement des Gilets Jaunes


Cher Ego, je vous ai parlé d’Abdul Latif dans l’épisode des aventures de Piero à Shima, «Hoʻoponopono», précédemment publié dans le numéro de septembre 2018 ; je me promène avec Alicia, en string léopard, au bord de la rivière et nous rencontrons alors notre nouvelle copine, la fourmi Annabelle. 


Plus tard, je me suis rappelé.e que j'avais déjà croisé Annabelle, l'année précédente, lors de la gay pride ; cela m'a pris un certain temps ; beaucoup plus de temps qu'un logiciel de reconnaissance faciale. Aussi, suis-je convaincu.e que ces outils nous sont nécessaires parce qu'Alzheimer est de plus en plus à la mode ; je sais, je vous propose un raisonnement retord et parfaitement de mauvaise fois.


Les industries trouvent extrêmement rentable de nous plonger au cœur d'un environnement de plus en plus perturbé par des montagnes de molécules de synthèse; ce système d'exploitation, Operating System, ou OS, un sacré os dans la douce harmonie céleste, perturbe abondamment nos chers petits systèmes hormonaux. 


Ils nous sont chers, parce que, sans eux, nous perdons tout goût à la vie ; la vie, c'est faire l'amour et, faire l'amour avec un système hormonal détraqué par des perturbateurs agro-bio-pharmaco-industriels, ce n'est pas simple, voire, éventuellement, impossible.


Donc, pour résumer, sont produit, à des fins purement mercantiles, de multiples poisons chimiques qui entraînent, mais est-ce bien certain ? est-ce bien certain ? (je sens que vous doutez) une altération cellulaire, voire, oh, horreur, des cancers ! Ah, je meurs ; mais non, mais non ; parce que tout est prévu : il suffit de se faire piquer ; une bonne injection d'un bloqueur d'hormones, synthétique (le bloqueur), a pour effet d'empêcher qu'un vilain cancer hormono-dépendant, ou toute autre maladie hormono-dépendante comme l’endométriose, se gave de vos hormones pour continuer à construire son nid délétère dans votre corps.


"On n'a rien sans rien" et "faut souffrir pour être belle". Tout est tellement incertain en ce pari qu'oser même émettre un doute est déjà presque une félonie, bien que, cependant, de savantes études américaines et européennes prouvent qu'il y a problème à utiliser de telles technologies thérapeutiques : les patient.e.s subissent les "effets secondaires" de ces blocages androgéniques et œstrogéniques dont l'un est, semble-t-il, semble-t-il (la cohorte étudiée est-elle respectable ? N’y a-ton glissé quelques indécrottables junkies), une attaque de la mémoire, porte ouverte à Alzheimer.


Nous voici bien dans le vif du sujet qui est de comment «identifier» correctement les visages de parent.e.s, am.i.e.s, patron.ne.s et propriétaires, majeur.e.s et mineur.e.s, représentant.e.s des force de l’ordre, et autres ennemi.e.s éventuel.l.e.s surtout si, de surcroît, en ce monde cruel, le terrorisme semble être une arme pour soutenir la machine à profits et divins psycho-rigides pouvoirs.


Bien entendu, cette forme outrancière de sauvagerie capitaliste doit être sévèrement combattue par tous les moyens. Il est hors de question que nous soyons terrorisé.e.s ; il est absolument nécessaire de nous protéger, de nous blottir, en tout bonheur, au cœur d'un douillet cocon en duvet d'oies, et d’y faire sereinement l'amour, à moins que, à moins que ! quelque maladie hormono-dépendante ne se soit emparée de nous, que quelque sein, utérus, prostate ne soient passé.e.s à la poubelle après quelques coups de bistouri autant invasifs que rentables. 


Ne nous inquiétons pas ! nous sommes protégé.e.s: «vous savez, il vaut mieux vivre sans tous ces encombrants organes déficients que mourir en les conservant». 


Il est évidemment tout à fait possible de refuser de tels traitements; cela est prévu; nous avons toute liberté d'accepter ou de refuser les thérapies. Mais, si nous les refusons, nous serons regardé.e.s avec de gros yeux, comme quelqu'un.e en qui on ne peut pas vraiment avoir confiance, quelqu'un.e qui ira chercher bonheur et santé auprès des charlatans, des sorcières, qui n'auront pas encore été emprisonné.e.s ou assassiné.e.s, comme des espion.n.e.s: au pays des sciences officielles et industrielles, il ne fait pas bon dire que les technologies lourdes font plus de mal que de bien; ce qui est, de toute façon, un discours sujet à caution parce que, depuis longtemps, des philosophes ont remis en cause cette simpliste dualité entre le bien et le mal. 


Quoiqu'il en soit, nous sommes libres; de choisir entre passer devant la caméra pour nous faire identifier sereinement ou refuser; et nous retrouver très probablement entre deux agent.e.s de l'ordre, fiché.e.s comme terroristes.


Refuser les bienfaits de la technologie, c'est n'avoir aucune confiance en la bonté de ceux et celles qui nous protègent. C'est être mauvais.e. Nous sommes mauvais.e de ne pas reconnaître toute cette bonté qui sue par tous les pores de nos bon.n.e.s savant.e.s.

Le selfie d’Annabelle

Par Pierre Belleney

Effondrement
Annabelle

Une tête de fourmi observée au microscope électronique  — Abdul Latif  —  publié sur la page FaceBook "Trust My Science".

Cependant, un.e bon.n.e savant.e a, primitivement, souvent, accepté beaucoup de choses, y compris certaines choses dérangeantes, avant que d'être digne de la confiance des trusts industriels.


Alzheimer nous guette ; aussi est-il est absolument nécessaire d’accepter, en toute bonne humeur, l’existence des logiciels à reconnaissance faciale. Sans eux, nous allons perdre tou.t.e.s nos ami.e.s de vue, surtout ceux et celles de FaceBook. Ce serait bien dommage.


Quoiqu'il en soit, cher Ego, ne sachant vraiment si j'ai bien répondu à votre question, sachez que ma copine Annabelle est d'accord : si vous craigniez quoique ce soit, elle veut bien que vous utilisiez sa tronche comme masque pour passer devant les caméras. 


Et, bonus ! vous savez quoi ? une toute petite erreur peut être facilement commise par le système de reconnaissance faciale : les yeux d'Annabelle sont les deux globes, sur le côté, qui ressemblent à des enceintes, et non pas ce qui semble être ses "yeux", au-dessus du "nez"; ces "yeux" sont les "fixations" des antennes, qui sont orientables. Ah ah ah ah ! La bonne blague.


Annabelle, je t'adore. Bisous à la compagnie, et, à la prochaine !


Le portrait d’Annabelle a été réalisé à partir des images suivantes :

1. Article «Système de reconnaissance faciale»— illustration «Schéma d'une modélisation 3D pouvant être issue d'une reconnaissance faciale» «3dHeadExample» — Mschepens — Travail personnel — Wikipédia — (CC BY-SA 4.0).

2, Une tête de fourmi observée au microscope électronique  — Abdul Latif  —  publié sur la page FaceBook "Trust My Science".

Annabelle

Fourmi

«3dHeadExample» — Mschepens — Travail personnel — Wikipédia — (CC BY-SA 4.0).

Et la reconnaissance dans tout ça ?

reconnaissance faciale

Par Henri Plessiet

Rien à foutre de la reconnaissante faciale

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Mise à jour le 29 novembre 2019

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