Avril 2021 - Salut les Rur’bains (urbanisme et ruralité)

V02 mise à jour le 16 avril 2021

L’Ego du moi(s) Vidéo

sur

Vidéo de l'Ego du moi(s) Avril 2021

Salut les rur'bains ! ou comment mettre en avant ce grand fossé qui sépare ces deux mondes entre modernité culture et nature... Urbanisme et ruralité font-ils bon ménage ? à vous de le découvrir dans ce nouvel opus de l'Ego du moi(s) d'avril.

Les RURBAINS : terme inconnu du petit Larousse

Par Alain Isenegger

L’Ego s’est renseigné ! Voici les résultats de l’enquête de l’Ego qui nous  amènent à revisiter nos livres de cuisine.

Recette pour une potée urBAINaine :

Prenez un grand faitout, mélanger à égale quantité les produits des supers, des hypers, des grandes surfaces.

Pour la touche personnelle, ajouter un peu de béton haché, une tranche de pollution et une pincée de stress. (variante: le béton haché peut être remplacée par de l’échangeur saturé).

Faire cuire à feu rouge, au CO2 ou à ses congénères, pendant le temps des bouchons.


A déguster dans sa voiture, de préférence avec un cru millésimé Embouteillage.

Recette pour une potée RURale :

Prenez un grand faitout, mélanger à égale quantité les produits du jardin et des marchés locaux.

Pour la touche personnelle, ajouter,  la beauté des paysages  et le chant des oiseaux.

Ajouter une pincée de joie de vivre.

Faire mijoter à feu doux le temps qu’il faudra.

A déguster à la campagne, dans un écrin de verdure avec un  cru millésimé senteur de Provence.


Bon appétit …

dessin Alain Isenegger

Habitat rural ou habitat urbain ?

Certaines préfèrent la bite à Rural ! (D’après  une réflexion de Dame Maryvonne)

Tracer sa route

Par Paul Baringou

Paul Baringou
Paul Baringou
Paul Baringou
Paul Baringou

Tous les moi(s) un petit condensé de l’actualité
vue par notre dessinateur de presse du Mans.

Construire les villes à la campagne

Texte et dessin Davido

Dessin de Davido

«On devrait construire les villes à la campagne

Car l'air y est plus pur.»

Citation de Louis-Auguste Commerson

Quoiqu'on la prête aux riches.


Ainsi, c'est Alphonse Allais qui toujours gagne

Au jeu de cette nature.

Nous offrons, car de bons mots nous commerçons,

Parenté belle mais triche.


Ceci dit, nombreux reprennent cette vanne,

La proclament, la murmurent

Ou l'enseignent, voyant en tout une leçon...

Partout, où qu'elle se niche.


En France, pour beaucoup le pays de cocagne,

Ce n'est point faire injure

Aux paysans comme au bâti des maçons,

Car tout le monde s'en fiche,

Que d'installer près d'un champ sa caravane

De citadin en cure

Lorsque, pour respirer entre deux moissons,

Nous traversons des friches.

Très souvent, quitter sa ville serait le bagne

Car ils faudrait s'inclure

Aux villageois dont les pratiques, les façons

Nous montreraient godiches.


Mais dès vendredi, de plus en plus se magnent

Pour une villégiature 

Au grand air, vers les vignes, le blé, le cresson, 

Car du rural s'entichent.


Menant au vert ses enfants et sa compagne, 

Dans sa jolie voiture

Un père pollué y voit comme un frisson

Et libère son caniche.


Ainsi donc bientôt, des villes à la campagne,

Ceci je vous le jure,

Viendront s'investir de nombreuses missions,

A en faire fuir les biches,

Tandis qu'au décompte des agneaux et des ânes,

Entre murs et clôtures,

S'ajouteront aux casses des liens que nous tissions,

Laitière et sa potiche.

Les rur’bains

Par Guy Coda

1985- Un petit trois pièces charmant rue Daguerre, Paris 14 ème

Elle : Je veux un enfant !

Lui : Je sais, on en a déjà parlé ! Mais il va falloir déménager, tu le sais bien ! On a déjà du mal à payer le loyer, alors si en plus on prend un appartement plus grand, on ne pourra pas rester ici !

Elle : Je sais, je sais, tu n’arrêtes pas de le répéter.

Lui :  Il faut choisir : avoir un môme, je suis d’accord, j’en ai autant envie que toi, mais dans ce cas il faudra bouger ! Rester ici avec un enfant c’est pas possible, tu le sais bien !

1990- Un petit quatre pièces porte de Vanves

Elle : Tu sais, je ne supporte plus ce quartier ! C’est invivable, cette immeuble est tellement mal isolé qu’on entend respirer les voisins dès qu’ils ont coupé leur télé ! Quand ils la coupent ! Et puis pour les commerces, bonjour, faut faire le tour de l’arrondissement pour trouver un magasin digne de ce nom ! Alors les cabas chargés dans le métro, ça va, quoi !

Lui : Ouais, je sais, moi aussi j’en ai marre ! Au fait, je ne t’ai pas dit, j’ai reçu un courrier de l’agence, ils vont encore augmenter le loyer !

Elle : C’est vrai ? Et pourquoi tu ne m’as rien dit ? Tu sais que j’accouche dans quelques moi ! Comment on va faire avec un enfant de plus si on ne peut pas prendre plus grand ? 

1996- Une maison isolée dans la campagne Beauceronne

Lui : Je me demande si on ne devrait pas acheter une voiture ! D’accord, la gare n’est pas loin, mais d’ici à la Défense on a je ne sais pas combien de changements, entre le train, le métro, le bus ! ça devient impossible ! On n’a plus vingt ans !

Elle : Je te crois ! Mais bon, on n’a quand même que la quarantaine ! Et puis on a le bon air de la campagne, on peut se balader, faire du vélo, ça entretient ! C’est pas à Paris qu’on pourrait avoir ça !

Lui : Oui, mais quand même, une voiture ça serait pas mal… parce que faire les courses à vélo….

2004- La même maison isolée dans la même campagne

Lui : T’as fait le contrôle technique de ta voiture ?

Elle : Non, j’ai rendez-vous la semaine prochaine. Et toi, t’en es où avec la tienne ?

Lui : Ça va, le garagiste m’a appelé, elle sera prête ce soir !

Elle : On a de la chance de l’avoir celui-là ! Parce que si elle avait pas été réparée, ta bagnole, comment t’aurais fait lundi pour aller au boulot ?

Lui : C’est sûr que depuis que la SNCF a fermé la ligne, on est vraiment coincés ! C’est quand même pas normal de fermer des lignes comme ça ! Faudrait qu’on fasse quelque chose, je sais pas, moi, une pétition, ou…

Illustration de Guy Coda

Elle : Allez, rêve pas, tu vas pas te battre contre des moulins à vent !

Lui : T’as raison, le mieux ce serait de trouver un boulot ici…

Elle : Sauf qu’il n’y en a pas ! On a essayé des tas de fois, pour rien ! Le peu d’entreprises qui existent dans le coin sont au complet ! Ils n’embauchent plus ! Leur réponse est toujours la même, genre : on est une petite structure, la conjoncture actuelle, la concurrence étrangère, etc. etc.

Lui : Je sais ! Le gros de l’activité est concentré en région Parisienne ! C’est bien le problème ! Et on nous rabat les oreilles avec la décentralisation ! Ah elle chouette, la «décentralisation» !  

2012- Une maison plus petite, moins chère, mais bien plus loin au fin fond de la Beauce 

Elle : T’es au courant ? Y a un pic de pollution et à partir de demain les diesels ne pourront plus entrer dans Paris ! Comment on va faire pour aller travailler ?

Lui : Je sais pas ! J’en ai parlé à mon boss pour lui expliquer, mais il n’a rien voulu savoir ! Tu sais ce qu’il m’a dit ?

Elle : Non, mais j’imagine ! Sans doute la même chose que le mien: « Vous n’avez qu’à changer de voiture ! Faut vous adapter ! La philosophie de notre maison, c’est que nous sommes une grande famille dont chaque membre doit être capable de faire face à toutes les situations !…»

Lui : Putain ! On est vraiment dans la merde !

Elle : Tu sais quoi ? Des fois j’ai envie de tout laisser tomber et d’aller élever des chèvres dans le Larzac…

Lui : ….????....!!! Tu sais que c’est pas con ce que tu dis ! Maintenant que les mômes sont casés…

Urbains : ne racontez plus de salades

dessin François Lebert

Par François Lebert

dessin François Lebert

Tout le monde au… vers où ?

Par Philippe Govin © Les lapinsgovin

Philippe Govin

D’un univers à l’autre

Par Didier Leplat

Je suis né en banlieue parisienne à La Garenne-Colombes, à 3 km de Paris par la Porte Champeret et de La Défense.


Mon père, inventeur, surtout obnubilé par la mécanique, les engrenages, les pistons et l’électricité ne parlait pas d’agriculture, encore moins de saison ni de plantation… Si, parfois ma mère, qui aimait avoir quelques trucs dans le petit jardin d’à peine 10x10m devant la maison s’occupait tant bien que mal de ses dahlias qu’elle avait placés dans des pots.


C’est vrai que nous avions un groseillier qui était planté en diagonale du terrain, un figuier à côté de la porte d’entrée, et une petite pelouse que mon père tondait de temps en temps avec sa tondeuse mécanique qu’il fallait pousser. Mais cela ne suffisait pas à me faire la « culture » de la campagne.


Aux grandes vacances, pourtant, nous allions séjourner chez ma tante et ma grand-mère dans le Jura. Celles-ci habitaient dans une petite ville de 1500 habitants traversée par une route nationale très passagère. Point de campagne ni nature ici aussi ou lorsque nous allions faire des visites chez les cousins. Il y avait le cousin Joseph et Fernande sa femme à Saint-Amour qui se faisaient un plaisir de présenter à mes parents leur potager avec tous les légumes bien alignés, bien arrosés ! Je revois les rangs de haricots, les salades, les courgettes… bien des noms que j’ai mis du temps à assimiler !


C’était différent encore chez le cousin de Sagy en Saône-et-Loire. Lui, il était paysan, agriculteur et éleveur. J’aimais bien aller dans sa grange pour monter sur le tracteur et actionner le volant et les manettes, tellement dures que je ne pouvais, en fait, rien bouger. Il y avait aussi le tas de fumier devant la maison et la cabane au fond du jardin pour faire ses besoins. On aimait pas trop y aller avec ma sœur !


Il élevait des cochons et des vaches et j’avais un peu peur quand je rentrais dans l’étable. Il fallait monter un escalier devant le perron pour arriver dans sa salle de vie, c’était typique avec la magnifique toile cirée décorée sur la table, le calendrier de l’année affiché et des étagères sur lesquels étaient posés nombre de pots pour la cuisine, le compteur bleu, des boîtes et des bricoles partout. Nous y allions bien souvent dans l’après-midi et ils nous offrait un coup de vin rouge et du saucisson ! Pour nous les enfants, c’était plutôt une petite grenadine et moi je ne disais pas non pour le saucisson. Il était malgré tout en avance sur le temps concernant sa voiture, c’était une Prairie Renault sorte de SUV 4x4 !

 

C’était bien sûr un chasseur, mais il savait que nous aimions pas du tout ça dans la famille, il évitait donc d’en parler ! Par contre c’était impressionnant de voir éparpillée un peu partout dans la salle sa collection de «Chasseur Français».


J’aimais bien toutefois regarder les vaches dans les prés, mais j’avais peur des insectes quand nous nous promenions dans la campagne ! Bref, la caricature parfaite du vrai parisien !

Photo Didier Leplat

Ma jeunesse à La Garenne-Colombes à côté de La Défense

Le cousin de Sagy et sa femme posant devant ses cochons

Photo Didier Leplat

Heureusement, tout ceci a bien changé et mon incrustation dans le Perche depuis maintenant plus de 40 années m’a fait comprendre et apprendre beaucoup de choses. 


Par contre je n’ai toujours pas la main verte et je suis toujours davantage tourné sur la culture que sur la culture !

Des masques et des casques

Texte et photo : Pierre Belleney

Entre la vieille et la nouvelle Shima – aux bords de la rivière, de la voie de tram, d’une allée piétonne et d’une piste cyclable qui conduit à la mer – s’étend la promenade étrange de vieux messieurs et de vieilles dames, de caniches et de landaus, de fumeurs et de fumeuses, d’amoureux et d’amoureuses, de mateurs d’amoureux et d’amoureuses. Il y souffle un petit air d’accordéon de guingois dans une rustique guinguette qui grouille de rats en goguette sous le regard d’un héron qui picore des grenouilles et se prend pour Valéry Giscard d’Estaing; quelques fiers canards colverts et leurs grises canes baguenaudent entre canettes et bombes  Belton Premium Molotow.

Au bord du cours d’eau qui serpente entre les arbres, dans cette atmosphère douce et sereine, assis confortablement en digne posture, à l’écoute de mon intériorité, je regarde le courant emporter les feuilles tombées et j’y dépose une pensée vagabonde. N’essayez pas de modifier le flux de l’eau qui s’écoule paisiblement… me dit la femme qui parle aux esprits tourmentés.

Je me fais mon petit meunier tu dors et voilà que le moulin s’emballe: en pleine méditation, qu’entends-je? Est-bien la voix de Michelin?

—Alors, mon petit chat, comment vas-tu?

Oui, c’est certain. C’est bien le Michelin qui passe en mode drague sauvage. Ma réponse ne peut être que déplaisante:

—J’erre dans les gouttières, je traîne dans les égouts des faubourgs. J’ai faim de rats.

—Ah! Quel festin de roi!

—Au poivre, à la sauge, à la menthe, à la citronnelle et au laurier. Ils détestent, mais j’adore!

—Exactement! Dans une bonne pâte de plâtre et de farine.

—Je les déguste, d’une manière fort civile, dans la salle à manger de mon pavillon, coussinets calés sur un tapis de Turquie, sous le regard des chouettes effraies et des hiboux calés dans le magnolia qui ombrage la pelouse.

—Dans les cieux patrouillent les drones, les buses et les milans…

—Dans les fourrés, grouillent les serpents, la fouine, le putois, l’hermine et le renard…

—le loup et la belette, ha, ha, ha!

—Entends-tu ce bruit?

—Oh! une invasion de Ninjas!

—Tu me suis tout à fait bien.

—On se casse?

—Fi du plaisir, que la crainte corrompt.

—Remonte ton masque! Ils arrivent.

Le tram fait ding-ding. À l’horizon, sous le ciel bleu, les verrières verticales, les façades blanches en trapèzes inversés et élancés, les coupoles dorées de Shima la Nouvelle attendent mon retour. Glissent les feuilles mortes au fil de l’eau, trottent le long des rives les rats de ville au mazout et les rats des champs au Roundup; gonfle ma tumeur de chagrin.

Montage et photographies: Pierre Belleney

2008, abri-bus de Plaissan, département de l’Hérault, un village viticole en pleine mutation urbaine, à 35 minutes de Montpellier centre-ville.

Le groupe de danse Hip Hop D32 porte le nom de la route départementale qui relie les villages laborieux à l’autoroute, vers Montpellier ou Paris ainsi que les zones touristiques de l’arrière-pays et du littoral agathois (Cap d’Agde); étroite, bordée de platanes, sous-dimensionnée pour un trafic surdimensionné, elle est particulièrement dangereuse; cette particularité fait que les populations riveraines la nomment route de la mort, car elles en sont les premières victimes. En 2006, j’y ai rencontré un platane alors que j’étais en situation de covoiturage. Le choc entraîna le décès de l’un de mes passagers, membre de Hip Hop D32. J’étais alors président de l’association para-municipale Le Cap (Comité d’Animation de Plaissan) et j’avais pleinement participé à la prise de contact entre une amie chorégraphe à Gignac et plusieurs jeunes de Plaissan interessé·e·s par cette activité.

Je savais pertinemment qu’effectivement, et avec toute l’ironie affectueuse et provocatrice qui sied en cette situation, Plaissan était bien grave délinquant, ou, plus exactement, une inexorable fabrique de délinquance, de no futur entre glyphosate et chômage endémique.

L’actualité des Livres

Cliquez sur le titre de chaque livre pour voir les infos

Par Didier Leplat (photos)
et Pierre Fressonnet (textes)

Dreux, nos années 1970

Par Alain Thirel

Il me poussera d’autres ailes que les anciennes…

Par Stéphane Maillot

Par Dominique Godfard

Notre partenariat avec « La Gazette »

Depuis plus d’un an maintenant, nous travaillons en partenariat avec l’association « L’amitié Beauce, Perche et Thymerais » qui édite tous les trimestres la revue « La Gazette ».


Cette revue vient de recevoir l’agrément préfectoral « Jeunesse - éducation populaire locale » qui découle des 22 années d’activité associative générée par l’association.


Cet échange très riche, nous permet de profiter de 6 pages à l’intérieur de cette revue pour y transmettre nos informations et notre point de vue sur l’art, la poésie et la philosophie.


 et vous permettra de découvrir votre région ainsi qu’une grande partie de ses acteurs dans des échanges plein d’humanité.


N’hésitez-pas à vous abonner.

Le Perche par Didier Leplat
Le magazine la Gazette

La Gazette - Beauce, Perche et Thymerais

Le magazine culturel de vos communes

Renseignements : 02 37 29 06 07 ou 06 49 40 12 95

Place Saint-Nicolas 28190 Courville-sur-Eure

site : gazette28.com

Les expos et concerts en berne !

Chemin des ateliers du Perche

17-18 et 24-25 avril 2021

Uniquement sur rendez-vous

A Verneuil-sur-Avre, nous sommes prêts !

En attendant de vous retrouver, nous sommes actifs et nous travaillons toujours sur la programmation culturelle 2021/2022.

Dès que nous le pourrons, nous vous proposerons des spectacles, des animations et des expositions. Voici le programme prévu pour avril et mai :

• un seul-en-scène avec Gauthier Fourcade «si j'étais un arbre»

• Les Ménestriers pour un spectacle musical

• les jeux de la Ludo d'Iton

• le festival de l'Eure Poétique et Musicale

• un spectacle la compagnie de danse Le Monde devant avec « Si je murmure… »

• et des expositions à l’espace Saint-Laurent bien sûr !

On vous attend… à bientôt

Et pour celles et ceux qui ne nous connaissent pas encore,

La photo du service au grand comple :

• Julie Dautriche, responsable du service

• Didier Husson, adjoint en charge du développement culturel

• Lolita Marcel, régisseuse des spectacles

• Michaël Oudoux, Régisseur technique


Photo © KR Agency pour la ville de Verneuil 2021 - Tous droits réservés

N’hésitez-pas à cliquer sur les photos pour les agrandir


Vous pouvez aussi relire les newsletters précédentes

Cette newsletter est une production de l’Aréopage - Les Indépendants du Perche ©2021

Toute reproduction même partielle est interdite sauf accord des auteurs


V02 mise à jour le 16 avril 2021

Google Analytics est un service d'analyse Web fourni par Google. Google utilise les données recueillies pour suivre et examiner l'utilisation de ce site, préparer des rapports sur ses activités et les partager avec d'autres services Google.

Google peut utiliser les données recueillies pour contextualiser et personnaliser les annonces de son propre réseau de publicité.

Données personnelles recueillies: données de cookies et d'utilisation. Lieu de traitement: États-Unis. Trouver ici la politique de confidentialité de Google.